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[Beleuchtungsarten]
»et nocturnis facibus illustrata.«
Medaille von 1667 zur Erinnerung an die Einführung der Straßenbeleuchtung
»Napoleon hat wollene Decken, Sammet, Seide, Broderien, Gold und Silber, eine Glaskapsel über seinem Hut, Imortellenkränze und eine ewige Gaslampe.« Karl Gutzkow: Briefe aus Paris Leipzig 1842 I p 270 [T 1, 1]
Notiz auf 1824 bezüglich: »Paris a été éclairé cette année au moyen de 11,205 becs de réverbères … L’entrepreneur est tenu de faire l’allumage de toutes les parties de la ville en quarante minutes au plus, c’est à dire en commençant vingt minutes avant l’heure prescrite journellement et en finissant vingt minutes après; il ne peut confier plus de vingt-cinq lanternes à chaque allumeur.« Dulaure: Histoire 〈physique, civile et morale〉 de Paris depuis 1821 jusqu’à nos jours Paris 〈1835〉 II p 118/119 [T 1, 2]
»Un décor de rêve, où le jaune tremblotant du gaz se marie à la frigidité lunaire de l’étincelle électrique.« Georges Montorgueil: Paris au hasard Paris 1895 p 65 [T 1, 3]
1857 die erste elektrische Straßenbeleuchtung (beim Louvre). [T 1, 4]
Das Gas wird anfänglich in Behältern für den Tagesbedarf in die mondänen Etablissements geschafft. [T 1, 5]
»Je me déclare hardiment l’ami des quinquets; ceux-ci, à la vérité, se contentent d’éclairer et n’éblouissent pas; mais, beaucoup moins pétulante que le gaz, leur huile ne provoque jamais d’explosions; avec eux nous avons la respiration plus libre et l’odorat moins offensé. C’est une chose vraiment inintelligible pour moi que l’existence de tous ces marchands qui, fixés dans nos passages, restent constamment, et par les plus grandes chaleurs, dans des boutiques où, grâce au gaz, on pourrait se croire sous l’équateur.« ◼ Passagen ◼ Nouveaux tableaux de Paris ou observations sur les mœurs et usages des Parisiens au commencement du XIXe siècle Paris 1828 I p 39 [T 1, 6]
»L’éclairage des rues, pendant le même laps de temps, fut plus que doublé; le gaz remplaça l’huile; de nouveaux réverbères prirent la place des anciens appareils et l’éclairage permanent fut substitué à l’éclairage intermittent.« M. Poëte, E. Clouzot, G. Henriot: La transformation de Paris sous le second empire (Exposition de la Bibliothèque et des Travaux historiques de la ville de Paris) 〈Paris 1910〉 p 65 [T 1, 7]
Über die Comptoirdamen: »Den Tag über erscheinen sie in Papilloten und im Peignoir; nach Sonnenuntergang aber, wenn das Gas angezündet wird, in vollkommenem Ballstaat. Wenn man sie dann, von einem Feuermeer umgeben, an ihren Zahltischen thronen sieht, denkt man wohl zurück an die blaue Bibliothek und das Mährchen von Schönchen Goldhaar und der bezaubernden Prinzessin, wofern anders der Vergleich statthaft ist, da die Pariserinnen mehr bezaubern, als bezaubert sind.« Eduard Kroloff: Schilderungen aus Paris Hamburg 1839 II p 76/77 [T 1, 8]
Die blechernen Etageren mit künstlichen Blumen, die man auf den Buffets der Bahnhofswirtschaften etc. findet, sind Rudimente der Blumenarrangements, die ehemals die Caissière um sich hatte. [T 1, 9]
Dubartas nannte die Sonne »le grand-duc des chandelles«, cit bei M. Du Camp: Paris Paris 1875 V p 268 [T 1, 10]
»Les porte-lanternes auront des lanternes à l’huile à ›six gros lumignons;‹ ils seront distribués par postes distants de huit cents pas les uns des autres … ils auront une lanterne peinte au-dessus de leur poste en guise d’enseigne, et à la ceinture ›un sable‹ d’un quart d’heure aux armes de la ville … C’était encore là de l’empirisme; ces lumières ambulantes ne donnaient guère de sécurité à la ville, et les porteurs assommèrent plus d’une fois les personnes qu’ils accompagnaient. On les employait néanmoins faute de mieux, et on les employa si longtemps, que nous les retrouverons au commencement du dix-neuvième siècle.« Maxime Du Camp: Paris V p 275 [T 1, 11]
»Ils [les porte-falots] vont chercher des fiacres, ils aboient les voitures de maître, ils accompagnent les passants attardés jusqu’à leur domicile, montent à leur appartement et y allument les bougies. On prétend qu’ils rendaient volontiers compte, le matin, au lieutenant général de police de tout ce qu’ils avaient remarqué pendant la nuit.« Du Camp: Paris V p 281 [T 1 a, 1]
»Le brevet d’importation de Winsor pour Paris est daté du 1er décembre 1815; au mois de janvier 1817, le passage des Panoramas fut éclairé … Les premiers efforts des compagnies ne furent point heureux; la population semblait réfractaire à ce genre d’éclairage; on en redoutait les dangers, on l’accusait de vicier l’air respirable.« Du Camp: Paris V p 290 [T 1 a, 2]
»… ce lieu visité par la mort commerciale, sous ce gaz … comme tremblant de n’être pas payé.« Louis Veuillot: Les odeurs de Paris Paris 1914 p 182 [T 1 a, 3]
»Das Glas ist bestimmt in der Metallarchitektur eine große Rolle zu spielen. An Stelle dicker Mauern, deren Festigkeit und Sicherheit durch eine große Anzahl von Löchern vermindert wird, werden unsere Häuser so von Öffnungen durchsetzt werden, daß sie lichtdurchlässig erscheinen. Diese weiten Öffnungen aus dickem, einfachem oder doppeltem, mattem oder durchsichtigem Glas, werden während des Tages im Innern und nachts nach Außen einen magischen Glanz ausströmen«. Gobard: L’Architecture de l’avenir Revue générale d’architecture 1849 p 30 [Giedion: Bauen in Frankreich 〈Leipzig Berlin 1928〉 p 18][T 1 a, 4]
Vasenformen der Lampen. Die seltene Blume »Licht« ist in Öl gestellt. (Die Form auf einem Modekupfer von 1866) [T 1 a, 5]
Alte offen brennende Gasflammen hatten häufig eine Flamme in Schmetterlingsform und hießen danach papillons. [T 1 a, 6]
In der lampe Carcel, trieb ein Uhrwerk das Öl in den Docht herauf, während die Arganlampe (Quinquets) das Öl von oben aus einem Behälter in den Docht tropfen ließ und daher einen Schatten erzeugte. [T 1 a, 7]
Passagen – sie strahlten ins Paris der Empirezeit als Feengrotten. Wer 1817 die Passage des Panoramas betrat, dem sangen auf der einen Seite die Sirenen des Gaslichts und gegenüber lockten als Ölflammen Odalisken. Mit dem Aufblitzen der elektrischen Lichter verlosch das unbescholtne Leuchten in diesen Gängen, die plötzlich schwieriger zu finden waren, eine schwarze Magie der Tore betrieben, aus blinden Fenstern in sich hineinschauten. [T 1 a, 8]
Als am 12 Februar 1790 der Marquis de Favras wegen gegenrevolutionärer Konspiration hingerichtet wurde, waren der place des grèves und der Galgen mit Lampions behängt. [T 1 a, 9]
»Wir sagten im ersten Bande, daß jeder historische Zeitraum in eine bestimmte Tages- oder Nachtbeleuchtung getaucht sei; diese Welt hat zum erstenmal eine künstliche; sie liegt im Gaslicht, das schon in den Tagen, wo der Stern Napoleons sich zum Untergang neigte, in London aufflammte, fast gleichzeitig mit den Bourbonen in Paris einzog und in langsamem und zähem Vordringen sich schließlich alle Straßen und öffentlichen Lokalitäten eroberte. Um 1840 brannte es überall, sogar in Wien. In diesem lauten und trüben, scharfen und flackernden, prosaischen und gespenstischen Licht bewegen sich dicke geschäftige Kellerasseln von Krämern.« Egon Friedell: Kulturgeschichte der Neuzeit III München 1931 p 86 [T 1 a, 10]
Über das Café Mille et une nuits: »Tout y était d’une magnificence inouïe; il nous suffira de dire, pour en donner une idée, que la belle limonadière avait pour siége, dans son comptoir, … un trône, un véritable trône de roi, sur lequel avait siégé dans toute sa majesté un des potentats de l’Europe. Comment ce trône était-il venu-là? c’est ce que nous ne pourrions dire: nous affirmons le fait sans nous charger de l’expliquer.« Histoire des Cafés de Paris extraite des mémoires d’un viveur Paris 1857 p 31 [T 1 a, 11]
»Le gaz a remplacé l’huile, l’or a détrôné la boiserie, le billard a bloqué le domino et le trictrac; où l’on n’entendait que le vol des mouches, on écoute les mélodies de Verdi ou d’Aubert!« Histoire des Cafés de Paris extraite des mémoires d’un viveur Paris 1857 p 114 [T 2, 1]
Grand Café du XIXe siècle – 1857 Boulevard de Strasbourg eröffnet. »De nombreux billards y montrent leur tapis vert; un comptoir splendide est illuminé par des fleurs de gaz. Tout vis-à-vis est une fontaine en marbre blanc, dont le sujet allégorique est couronné d’une auréole lumineuse.« Histoire des Cafés de Paris extraite des mémoires d’un viveur Paris 1857 p 111 [T 2, 2]
»Dès 1801, Lebon avait essayé l’éclairage au gaz à l’hôtel Seignelay, 47 rue Saint-Dominique. Le système fut repris le 1er janvier 1808: trois cents becs de gaz éclairèrent l’hôpital Saint-Louis avec un succès tel qu’on créa trois usines.« Lucien Dubech, Pierre D’Espezel: Histoire de Paris Paris 1926 p 335 [T 2, 3]
»En matière d’édilité, les deux grandes œuvres de la Restauration furent l’éclairage au gaz et la création des omnibus. Paris était éclairé, en 1814, par 5.000 réverbères, dont le service occupait 142 allumeurs. En 1822, le gouvernement décida que les rues seraient éclairées au gaz à mesure que les anciens contrats viendraient à échéance. Le 3 juin 1825, premier essai, par la Compagnie du Gaz portatif français, d’éclairage d’une place: la place Vendôme reçut quatre candélabres aux angles de la colonne et deux réverbères aux angles de la rue de Castiglione. En 1826, il y avait dans Paris 9.000 becs de gaz, 10.000 en 1828, 1.500 abonnés, trois compagnies et quatre usines, dont une sur la rive gauche.« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris p 358 [T 2, 4]
Aus dem Prospektblatt »Projet lumineux proposé par souscription pour la décoration de la fameuse promenade du Boulevard Saint-Antoine« aus dem achtzehnten Jahrhundert: »Le Boulevard sera illuminé par une guirlande de Lanternes qui regnera des deux côtés entre les arbres. Cette illumination se fera deux fois du semaine, le Jeudi et le Dimanche: et en cas de Lune, le lendemain des susdits jours. On commencera à allumer à dix heures; tout sera illuminé à onze … Comme cette espèce de Promenade nocturne ne peut convenir qu’aux Seigneurs ou aux Gens riches qui ont des voitures, ce n’est qu’à eux qu’on propose la souscription. On souscrira pour cette année, moyennant 18 livres, par chaque Maison; mais les années suivantes il n’en coutera que 12 liv. Les 6 liv. en sus de cette année étant pour les premiers frais de cet établissement.« p 3 »Les Caffés et les Spectacles qui bordent cette fameuse promenade méritent, à juste titre, des éloges: Oui, je le dirai à leur gloire, les galantes Lanternes dont ils décorent leurs illustres Baraques, m’ont fourni l’idée d’une Illumination universelle. Le célèbre Chevalier Servandoni m’a promis des dessins d’Arcades, de Guirlandes et de Chiffres galants, dignes de son génie fécond. Est-il un de nos Roulants fortunés qui ne s’empresse à contribuer à l’exécution d’un Projet aussi éclatant? Le Boulevard ainsi décoré deviendroit une Salle de Bal-paré, dont les Equipages formeroient les Loges.« [T 2, 5]
»Nach dem Theater ging ich in ein Kafee, es war ganz neu decorirt, im Renaissancestyl. Der ganze Salon von Spiegelwänden zwischen vergoldeten Säulen. Die rechnungführende Dame sitzt immer hinter einem prächtigen großen Tische auf Stufen erhöhet, vor ihr stehen das Silberzeug, Früchte, Blumen, Zucker und die Büchse für die garçons. Es ist nämlich Sitte, daß ein jeder Gast bei der Bezahlung eine Kleinigkeit für den garçon giebt, die von diesem in die Büchse geworfen wird, zu gemeinsamer Theilung.« Eduard Devrient: Briefe aus Paris Berlin 1840 p 20 [T 2 a, 1]
Zwischen Februar-Revolution und Juni-Insurrektion: »Wenn die Club-Sitzungen zu Ende waren, so durchzog man die Straßen, und die schlafenden Bürger wurden entweder durch Rufe: ›des lampions, des lampions!‹ denen zu Folge sie ihre Fenster illuminiren mußten, geweckt, oder muthwillig abgefeuerte Gewehre schreckten sie aus dem Schlummer … Man durchzog in endlosen Processionen Paris unter Fackelbeleuchtung, und einmal kam es sogar vor, daß ein Mädchen sich entkleiden ließ und sich bei dem Fackellichte ganz nackt der Menge zeigte, was dieselbe blos als eine Erinnerung an die Göttin der Freiheit der ersten französischen Revolution betrachtete … Der Polizeipräfect Caussidière erließ wohl einmal eine Proclamation gegen diese Fackel-Processionen, welche jedoch die Bürgerschaft von Paris noch mehr erschreckte, weil darin ausgesprochen wurde, daß das Volk erst die Fackel in die Hand nehmen solle, wenn die Republik in Gefahr käme.« Sigmund Engländer: Geschichte der französischen Arbeiter-Associationen Hamburg 1864 II p 277/78 [T 2 a, 2]
»C’est encore des femmes qui nettoient le jour et allument le soir, tout huileuses, les réverbères qu’elles descendent et remontent avec une corde remisée sous clé dans la potence pendant le jour, en attendant le gaz qui, depuis des années, flamboie dans les derniers bourgs anglais. A aucun prix, les marchands d’huile et de quinquets ne veulent en entendre parler, et ils ont trouvé tout de suite sous la main deux écrivains recommandables, MM. Charles Nodier et Amédée Pichot … pour dénoncer … dans un in-octavo tous les inconvénients et perversités du gaz, y compris le danger de notre subversion totale, par explosion, étant aux mains des malfaiteurs.« Nadar: Quand j’étais photographe Paris 〈1900〉 p 289/90 [T 2 a, 3]
Feuerwerke und Illuminationen wurden schon unter der Restauration veranstaltet, wenn in der Kammer ein Gesetzentwurf der Ultraroyalisten gefallen war. [T 2 a, 4]
Angesichts einer Blinden- und einer Irrenanstalt folgender Exkurs über das elektrische Licht: »J’arrive aux faits. La lumière jaillissant de l’électricité a servi d’abord à éclairer les galeries souterraines des mines; le lendemain, les places publiques, les rues; le surlendemain, les usines, les ateliers, les magasins, les spectacles, les casernes; le jour d’après, l’intérieur de la famille. Les yeux, en présence de ce radieux ennemi, ont fait bonne contenance; mais, par degrés, est survenu l’éblouissement, éphémère au début, puis périodique, puis, en fin de compte, opiniâtre. Voilà pour le premier résultat. – Je comprends; mais la folie des grands seigneurs? – Nos gros bonnets de la finance, de l’industrie, du haut négoce, ont trouvé bon … de … faire faire le tour du globe à leur pensée, eux restant au repos … Pour cela, chacun d’eux a cloué, dans son cabinet de travail, sur un coin du bureau, les fils électriques qui rattachent sa caisse avec nos colonies d’Afrique, d’Asie, d’Amérique. Commodément assis devant la table, il a fait bavarder sous ses doigts les lointains correspondants de ses comptoirs semés sur la surface du globe. L’un lui disait, à dix heures du matin, le naufrage d’un navire millionnaire …; un autre, à dix heures cinq minutes, l’écoulement foudroyant de la plus solide maison des deux Amériques; un troisième, à dix heures dix minutes, l’entrée rayonnante dans le port de Marseille d’un bâtiment comblé de ce qui se récolte aux alentours de San-Francisco. Tout cela, coup sur coup. Ces pauvres têtes, si robustes qu’elles fussent, ont fléchi, comme fléchiraient les épaules d’un Alcide de la halle, s’il s’avisait de les charger de dix sacs de froment, au lieu d’un. Voilà pour le second résultat.« Jacques Fabien: Paris en songe Paris 1863 p 96-98 [T 3, 1]
Julien Lemer: Paris au gaz Paris 1861: »Je tire le rideau sur le soleil; il est bien et dûment couché; n’en parlons plus; je ne vois plus désormais d’autre lumière que celle du gaz.« (p 10) Der Band enthält außer pariser Stimmungsbildern, deren erstes ihm den Titel gibt, drei Novellen. [T 3, 2]
An der place de l’Hôtel de Ville gab es – um 1848 – ein Café du Gaz. [T 3, 3]
Mißgeschick des Aimé Argand. Seine vielfache Verbesserung der alten Öllampe durch doppelten Luftzug, in der Form eines Hohlzylinders geflochtnen Docht, Glaszylinder u. a. wurde ihm zuerst von Lange in England streitig gemacht, mit dem er sich assoziierte, sodann von dem Pariser Quinquet geraubt, der der Erfindung den Namen gab. So endete Argand elend: »La misanthropie qui s’était emparée de lui, au retrait de son brevet, le conduisit à chercher dans les sciences occultes une sorte de compensation … ›On le voyait pendant les dernières années de sa vie, errer dans les cimetières pour y recueillir les ossements et la poudre des tombeaux qu’il soumettait en suite à des procédés chimiques, cherchant ainsi, dans la mon, le secret de prolonger la vie.‹« Er selber ist jung gestorben. A Drohojowska: Les grandes industries de la France L’éclairage Paris p 127 [T 3 a, 1]
Carcel, inventeur des lampes à mouvement d’horlogerie. Das sind Lampen, die aufgezogen werden müssen. Sie enthalten ein Uhrwerk, das aus einem tiefliegenden Behälter das Öl in den Docht pumpt. Der Fortschritt gegenüber dem über dem Docht befindlichen Behälter, aus dem das Öl herabsickert, bestand darin, daß die Beschattung durch eben diesen hochliegenden Behälter fortfiel. Seine Erfindung datiert von 1800. Seine enseigne »B.-G. Carcel, inventeur des Lycnomènes ou lampes mécaniques, fabrique les dites lampes.« [T 3 a, 2]
»L’allumette chimique est un des plus abominables engins que la civilisation ait produits … Grâce à elle, chacun de nous porte l’incendie dans sa poche … Je … déteste ce fléau permanent, toujours disposé à faire explosion, toujours prêt à brûler l’humanité à petit feu et en détail. Si vous suivez M. Alphonse Karr dans la croisade qu’il s’est mis à prêcher contre le tabac, il faut en même temps lever l’étendard contre l’allumette chimique … Si nous n’avions pas dans nos poches l’occasion qui fait le fumeur, nous fumerions moins.« H de Péne: Paris intime Paris 1859 p 119/120 [T 3 a, 3]
Nach Lurine – »Les boulevarts« in »Paris chez soi« 〈Paris 1854〉 – die erste Gasbeleuchtung 1817 im Passage des Panoramas. [T 3 a, 4]
Anläßlich der endgültigen Etablierung der Laternen in den pariser Straßen (im März 1667): »Je ne sais guère que l’abbé Terrasson, parmi les gens de lettres, qui ait médit des lanternes … A l’entendre, la décadence des lettres datait de leur établissement: ›Avant cette époque, disait-il, chacun, dans la crainte d’être assassiné, rentrait de bonne heure chez soi, ce qui tournait au profit du travail. Maintenant, on reste dehors le soir et l’on ne travaille plus.‹ C’est là certainement une vérité, dont l’invention du gaz est loin d’avoir fait un mensonge.« Edouard Fournier: Les lanternes Histoire de l’ancien éclairage de Paris Paris 1854 p 25 [T 3 a, 5]
In der zweiten Hälfte der sechziger Jahre des achtzehnten Jahrhunderts kamen mehrere Flugschriften heraus, die sich in poetischer Form mit den neuen Laternen beschäftigten. Die folgenden Verse entstammen dem Gedicht Les sultanes nocturnes et ambulantes contre Nosseigneurs les reverberes A la petite vertu 1769:
»La pauvre amante au lieu d’amants,
Ne trouve que des reverberes,
Dans cette brillante cité,
Autrefois ton second Cythère,
Tes nymphes mettent pied à terre;
Tendre mère de volupté,
On les veut forcer aujourd’hui
De s’accroupir dans un étui,
Autrement fiacre octogénaire;
Qui par B., par F., les conduit
Où les fiacres n’ont rien à faire …
Miséricorde, quand la nuit
Permet de quitter le réduit;
Car la vie est si nécessaire;
Pas un coin, pas un carrefour,
Où le reverbère ne perce;
C’est un verre ardent qui traverse
Tous nos desseins formés au jour …«Edouard Fournier: Les lanternes Histoire de l’ancien éclairage de Paris Paris 1854 p 5 (des besonders paginierten Gedichtabdrucks) [T 4, 1]
1799 legt ein Ingenieur in seinem Hause Gasbeleuchtung an und überträgt so auf den Gebrauch, was nur als Experiment im physikalischen Laboratorium bekannt war. [T 4, 2]
»On peut parfois, dit-on, éviter ces revers
En choisissant l’abri des passages couverts;
Oui, mais dans ces couloirs où l’oisif se pavane,
Fume en bleus tourbillons la feuille de Havane,
…
Rends-nous, par tes efforts, l’existence plus douce,
Ecarte de nos pas toute rude secousse;
Pour prévenir à temps les volcans destructeurs
Des salons de lecture et des restaurateurs,
Dès que la nuit commence, ordonne qu’on explore
Tous les lieux infectés par le gaz inodore,
Et qu’on donne l’éveil avec des cris de peur,
Sitôt qu’on sent filtrer l’inflammable vapeur.«Barthélémy: Paris Revue satirique à M G Delessert Paris 1838 p 16 [T 4, 3]
»›Welch’ eine herrliche Erfindung‹ – ruft Gottfried Semper aus – ›ist die Gasbeleuchtung! Mit welchen Mitteln bereichert sie (abgesehen von deren unendlicher Wichtigkeit für den Bedarf des Lebens) unsere Festlichkeiten!‹ Dieser merkwürdige Vorrang der festlichen vor den alltäglichen oder vielmehr allnächtlichen Zwecken – die Nacht der Städte wird selber vermöge der allgemeinen Illumination zu einer Art von dauerndem erregtem Feste – verrät deutlich den morgenländischen Charakter dieser Beleuchtung … Daß in Berlin nach bereits zwanzigjährigem Betriebe einer Gasanstalt im Jahre 1846 erst knapp zehntausend Privatflammen gebrannt wurden, ist … auf die folgende … Weise erklärt worden: ›Zum großen Theil waren hieran natürlich die allgemeinen geschäftlichen und socialen Verhältnisse schuld; es war für eine gesteigerte Thätigkeit während der Abend- und Nachtstunden immer noch kein eigentliches Bedürfnis vorhanden‹« Dolf Sternberger: Panorama Hamburg 1938 p 201 u 202 (die Zitate aus Gottfried Semper: Wissenschaft, Industrie und Kunst Braunschweig 1852 p 12; Handbuch für Steinkohlengasbeleuchtung hg von NH Schilling München 1879 p 21) [T 4 a, 1]
Zur Abdeckung des Himmels der Großstadt durch die künstliche Beleuchtung ein Satz bei Wladimir Odojewskij: Das Lächeln des Toten: »Vergeblich erwartete er einen Blick, der zu ihm aufgeschlagen würde.« Russische Gespenstergeschichten München 〈1921〉 p 53 Ähnlich das Motiv der Aveugles von Baudelaire, das auf »Des Vetters Eckfenster« zurückführt. [T 4 a, 2]
Gaslicht und Elektrizität. »Je gagnai les Champs-Elysées où les cafés-concerts semblaient des foyers d’incendie dans les feuillages. Les marronniers frottés de lumière jaune avaient l’air peints, un air d’arbres phosphorescents. Et les globes électriques, pareils à des lunes éclatantes et pâles, à des oeufs de lune tombés du ciel, à des perles monstrueuses, vivantes, faisaient pâlir sous leur clarté nacrée, mystérieuse et royale, les filets de gaz, de vilain gaz sale, et les guirlandes de verres de couleur.« Guy de Maupassant: Clair de lune Paris 1909 p 222 (La nuit cauchemar) [T 4 a, 3]
Gaslicht bei Maupassant: »Tout était clair dans l’air léger, depuis les planètes jusqu’aux becs de gaz. Tant de feux brillaient là-haut et dans la ville que les ténèbres en semblaient lumineuses. Les nuits luisantes sont plus joyeuses que les grands jours de soleil.« Guy de Maupassant: Clair de lune Paris 1909 p 221 (La nuit cauchemar) Der letzte Satz gibt die Quintessenz der »italienischen Nacht«. [T 5, 1]
Die caissière im Gaslicht als lebendes Bild, als Allegorie der Kasse. [T 5, 2]
Poe in der Philosophie de l’ameublement: »L’éclat est la principale hérésie de la philosophie américaine de l’ameublement … Nous sommes violemment affolés de gaz et de verre. Le gaz, dans la maison, est complétement inadmissible. Sa lumière, vibrante et dure, est offensante. Quiconque a une cervelle et des yeux refusera d’en faire usage.« Ch〈arles〉 B〈audelaire〉: Œuvres complètes éd Crépet Histoires grotesques et sérieuses par Edgar Poe Paris 1937 p 207 [T 5, 3]