a
[Soziale Bewegung]
»Fais voir, en déjouant la ruse,
O republique à ces pervers
Ta grande face de Meduse
Au milieu de rouges éclairs.«
Französisches Arbeiterlied um 1850 cit bei Adolf Stahr: Zwei Monate in Paris Oldenburg 1831 II p 199
»Ramas d’hommes sans foi, sans âme, sans patrie,
Qui veut tuer les arts, le travail, l’industrie,
Ecraser sous ses pieds le culte de la croix,
Qui veut, dans une mer et de sang et de flammes,
Dont Paris sur son front a vu monter les lames,
Noyer temples, palais, prêtres, peuples et rois!«
Edouard D’Anglemont: L’internationale Paris 1871 p 7
»Palerme a l’Etna, Paris a la pensée.«
Victor Hugo: Paris [Littérature et philosophie mêlée Paris 1867 p 466/467] cit Georges Batault: Le pontife de la démagogie Victor Hugo Paris 1934 p 203
»Comme les surréalistes ne cessent pas de confondre le non-conformisme moral et la révolution prolétarienne, au lieu de suivre le train du monde moderne, ils tâchent de se replacer à un moment historique où cette confusion était encore possible, dans un climat antérieur au congrès de Tours, antérieur même au développement du Marxisme, l’époque des années 20, 30 et 40.« Emmanuel Berl: Premier pamphlet (Europe No 75 15 Mars 1929 p 402) Und das ist ja kein Zufall. Denn einmal sind hier Elemente – der anthropologische Materialismus, die Feindschaft gegen den Fortschritt – die gegen den Marxismus refraktär sind – zum andern spricht hier aber jener Wille zur Apokatastasis, der Entschluß: gerade die Elemente des »zu frühen« und des »zu späten«, des ersten Beginns und des letzten Zerfalls im revolutionären Handeln und im revolutionären Denken wieder einzusammeln. [a 1, 1]
Es ist wirklich in höchstem Grade notwendig, die Apotheose der Organisation und des Rationalismus, die die Kommunistische Partei angesichts der feudalen und hierarchischen Gewalten unermüdlich ins Werk setzen muß, genau in dieser ihrer polemischen Beziehung aufzufassen und sich klar zu machen, daß der Bewegung in sich ebenfalls mystische Elemente, wenn auch ganz anderer Art eignen. Noch wichtiger freilich, diese mystischen, der Leiblichkeit angehörenden Elemente mit den religiösen nicht zu verwechseln. [a 1, 2]
Episode aus der Februarrevolution. Am 23ten um 11 Uhr abends Schießerei am Boulevard des Capucines: 23 Tote. »Aussitôt les cadavres sont promenés par les rues avec une mise en scène savante et romantique. ›Minuit va sonner. Les boulevards sont faiblement éclairés encore par l’illumination pâlissante.〈‹〉« [Die Freudenillumination anläßlich des Rücktritts von Guizot] 〈»›〉Les portes, les fenêtres des maisons et des boutiques sont closes; chacun s’est retiré chez soi, le cœur oppressé de tristesse … Tout à coup un roulement sourd se fait entendre sur le pavé, quelques fenêtres s’entr’ouvrent avec précaution … Dans un chariot attelé d’un cheval blanc, que mène par la bride un ouvrier aux bras nus, cinq cadavres sont rangés avec une horrible symétrie. Debout sur le brancard, un enfant du peuple, au teint blême, l’œil ardent et fixe, le bras tendu, presque immobile, comme on pourrait représenter le Génie de la Vengeance, éclaire des reflets de sa torche, penchée en arrière, le corps d’une jeune femme dont le cou et la poitrine livides sont maculés d’une longue traînée de sang. De temps en temps, un autre ouvrier, placé à l’arrière du charriot, enlace de son bras musculeux ce corps inanimé, le soulève en secouant sa torche, d’où s’échappent des flammèches et des étincelles, et s’écrie en promenant sur la foule des regards farouches: Vengeance! Vengeance! On égorge le peuple! Aux armes! répondent des voix; et le cadavre retombe au fond du chariot qui continue sa route …‹ (Daniel Stern).« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris Paris 1926 p 396 ◼ Beleuchtung ◼ [a 1, 3]
Die durch Haussmann mobilisierten Arbeitermassen verglich man – in abträglicher Absicht – mit den in den Ateliers nationaux von 1848 inkorporierten. ◼ Haussmann ◼ [a 1, 4]
»Les lectures favorites de l’ouvrier tailleur sont les histoires de la Révolution de 1789: il aime à y voir développer la pensée que cette révolution était désirable et qu’elle a amélioré la condition des classes populaires. Il s’exalte à l’aspect dramatique donné aux hommes et aux événements par plusieurs auteurs célèbres … N’apercevant pas que la principale cause de son infériorité sociale est en lui-même, il aime à penser que ces hommes sont les modèles de ceux qui, réalisant un nouveau progrès, le soustrairont aux calamités de tout genre.« Le Play: Les ouvriers européens 〈Paris 1855〉 p 277 [a 1, 5]
»La guerre des rues a aujourd’hui sa technique; elle a été mise au point, après la reprise de Munich à main armée, dans un curieux petit ouvrage confidentiel publié en grand secret par le gouvernement de Berlin. On n’avance plus dans les rues, on les laisse vides. On chemine à l’intérieur des maisons, en perçant les murs. Sitôt qu’on est maître d’une rue, on l’organise; le téléphone se déroule à travers les trouées des murailles, cependant que, pour éviter un retour de l’adversaire, on mine immédiatement le terrain conquis … Un des progrès les plus clairs est qu’on ne s’embarrassera plus du tout de ménager les maisons ou les vies. Auprès des guerres civiles de l’avenir, la rue Transnonnain paraîtra un épisode … innocent et archaïque.« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris Paris 1926 p 479 ◼ Haussmann ◼ [a 1 a, 1]
Budget der Familie eines pariser Lumpensammlers zwischen 1849 und 1851 bei F Le Play: Les ouvriers européens Paris 1855 p 274/75 Daraus: 〈»〉4e section. Dépenses concernant les besoins moraux, les récréations et le service de santé … Instructions des enfants: Frais d’école payés par le patron de la famille – 48f00; – livres achetés – 1f45 / Secours et aumônes (Les ouvriers de cette condition ne donnent point ordinairement d’aumônes.) / Récréations et solennités: Repas pris par la famille entière à l’une des barrières de Paris (huit excursions par an): vin, pain et pommes de terre frites – 8f00; — repas de macaroni au beurre et au fromage et vin pris les jours de Noël, du mardi gras, de Pâques et de la Pentecôte: dépenses comprises dans la 1re Son; – tabac à chiquer pour l’ouvrier (bouts de cigares ramassés par l’ouvrier), 6k8 valant à 5f00-34f00; – tabac à priser pour la femme (acheté), 2k3-18f66; – joujoux et autres cadeaux donnés à l’enfant – 1f00 … Correspondance avec les parents: Lettres des frères de l’ouvrier demeurant en Italie: une par an en moyenne … Nota. La ressource principale de la famille en cas d’accidents se trouve dans la bienfaisance privée … Epargne de l’année. (L’ouvrier, entièrement dépourvu de prévoyance, désireux surtout de donner à sa femme et à sa petite fille tout le bien-être compatible avec leur condition, ne fait jamais d’épargne; il dépense, jour par jour, tout ce qu’il gagne.)« [a 1 a, 2]
»Le dommage qu’apporte à la moralité de l’ouvrier imprévoyant la substitution de l’antagonisme à la solidarité consiste précisément en ce qu’elle lui fait perdre l’occasion d’exercer ses vertus naturelles sous la seule forme à laquelle il puisse pratiquement atteindre. Le dévouement qui se révèle par le désir de bien faire, par la sollicitude pour l’intérêt du patron, par le sacrifice des goûts et des passions inconciliables avec la régularité du travail, est en effet plus accessible à l’ouvrier que le dévouement qui consiste à assister les siens au moyen d’une somme d’argent … La vertu qui assiste et qui protège avec suite est surtout l’attribut des classes supérieures; elle peut se révéler, chez les ouvriers, par un élan immédiat et de courte durée; mais celle qui est le plus à leur portée se manifeste par l’accomplissement du devoir envers le patron.« MF Le Play: Les ouvriers européens Paris 1855 »Imprimé par autorisation de l’empereur à l’imprimerie impériale« p 278 [a 1 a, 3]
Die »petits propriétaires de la banlieue«. »Ils cultivent … des vignes donnant un vin de qualité inférieure, auquel l’impôt de consommation établi dans l’intérieur de la capitale assure dans la banlieue un débouché avantageux.« F Le Play: Les ouvriers européens Paris 1855 p 271 [a 1 a, 4]
»Es giebt eine tropische Pflanze, welche jahrelang unansehnlich bleibt und nicht zur Blüthe gelangt, bis man endlich eines Tages eine Explosion wie von einem Flintenschusse hört, und wenige Tage darauf steigt eine riesige wunderbare Blume aus diesem Strauche hervor, deren Wachsthum so rasch ist, daß man ihre Entwicklung sichtlich wahrnehmen kann. Ebenso dürftig und verkümmert befand sich der französische Arbeiter-Stand in einem Winkel der Gesellschaft, bis auf ein Mal die Explosion der Februar-Revolution gehört wurde. Dann aber stieg auch eine riesige Blume aus dem unansehnlichen Bäumchen hervor und diese Blume voll Saft und Leben, voll Schönheit und Bedeutung, hieß die Association.« Sigmund Engländer: Geschichte der französischen Arbeiter-Associationen Hamburg 1864 IV p 217 [a 2, 1]
Organisation der Staats-Werkstätten (ateliers nationaux) durch Thomas. »Es genügt anzuführen, daß Emile Thomas die Arbeiter in Brigaden und Compagnien eintheilte, und daß deren Führer nach dem allgemeinen Stimmrecht von den Arbeitern gewählt wurden. Jede Compagnie hatte ihre Fahne, und Emile Thomas bediente sich bei dieser Organisation anderer Civil-Ingenieurs und der Schüler der polytechnischen Schule, welche durch ihre Jugend einen moralischen Einfluß auf die Arbeiter ausübten … Aber trotzdem die Minister der öffentlichen Arbeiten den Ingenieurs des Staates befahl, Arbeiten vorzuschlagen …, entschlossen sich die Ingenieure der Direction der Brücken und Wege doch nicht, diesem Befehle des Ministers nachzukommen, weil in Frankreich von jeher eine große Eifersucht zwischen den officiellen und den Civil-Ingenieurs besteht, und es die letzten waren, welche die National-Werkstätten dirigirten. Thomas war daher auf seine eigenen Ressourcen angewiesen, und er konnte nie einer solchen Armee von Arbeitern, die sich täglich vermehrte, irgend eine nützliche Arbeit anweisen. So ließ er z. B. Bäume aus der Umgebung vor Paris nach der Stadt bringen, um dieselben auf den Boulevards pflanzen zu lassen, weil während der Februar-Kämpfe die ehemaligen Bäume der Boulevards niedergerissen worden waren. Die Arbeiter zogen singend und träge mit den Bäumen durch Paris … Andere Arbeiter, die z. B. Brückengeländer zu reinigen hatten, wurden zum Gespötte der Vorübergehenden, und so kam denn auch die Mehrzahl dahin, ihre Zeit blos mit Kartenspiel Singen u.dgl. auszufüllen … Die National-Werkstätten wurden … bald der Anziehungspunkt für alle Vagabonden und Müßiggänger, deren ganze Arbeit darin bestand, mit ihren Fahnenträgern durch die Straßen zu ziehen, hie und da das Straßen-Pflaster zu verbessern oder Erde aufzuwerfen und dgl., aber im Ganzen genommen zerlumpt, verwildert, schreiend und singend zu thun, was ihnen eben in den Sinn kam … Eines Tages kamen auf einmal 600 Schauspieler, Maler, Künstler, Commissionairs, welche erklärten, daß die Republik jedem Bürger Arbeit garantirt habe, und daß daher auch sie darauf Anspruch machten; Tomas machte dieselben zu Inspectoren.« Sigmund Engländer: Geschichte der französischen Arbeiter-Associationen Hamburg 1864 II p 268-271 ◼ Flaneur ◼ [a 2, 2]
»Weder die Maires noch die Polizei-Commissaire, die die Bulletin unterzeichnen mußten, durch welche die Zuständigkeit der Arbeiter zu Paris bezeugt wurde, konnten bei den Drohungen, die gegen sie laut wurden, irgend eine Controle ausüben. Sie gaben in ihrer Angst sogar Kindern von 10 Jahren Bulletins, mit denen dieselben sich präsentirten und um Zulaß in die National-Werkstätten ansuchten.« Sigmund Engländer Geschichte der französischen Arbeiter-Associationen Hamburg 1864 II p 272 [a 2 a, 1]
Episodisches aus der Juni-Insurrektion: »Man sah Weiber siedendes Oel oder heißes Wasser auf die Soldaten gießen und dabei schreien und brüllen. Auf vielen Punkten gab man den Insurgenten Branntwein, der durch verschiedene eingemischte Ingredienzien dieselben bis zum Wahnsinn aufregte … Einige Weiber schnitten mehreren gefangenen Mobilgarden die Geschlechtstheile ab, man weiß, daß ein Insurgent in Weiberkleidern mehrere gefangene Officiere köpfte …, man sah Köpfe von Soldaten auf Spießen, die auf Barrikaden aufgepflanzt waren. Viele Züge, die man erzählt, waren erfunden, z. B. daß die Insurgenten gefangene Mobilgarden zwischen zwei Bretter gebunden und so lebendig in Stücke gesägt hätten. Dagegen sind einzelne Dinge vorgefallen, die ganz eben so scheußlich waren … Viele Insurgenten bedienten sich solcher Kugeln, die nicht mehr aus den Wunden genommen werden konnten, weil ein Draht durch dieselben gezogen war, der auf beiden Seiten herausreichte. Hinter mehreren Barrikaden standen Spritzen, mit denen man Vitriol-Oel auf die angreifenden Soldaten spritzte. Es wäre unmöglich, alle die teuflischen Grausamkeiten anzuführen, welche von beiden Seiten begangen wurden, es genügt zu sagen, daß die Weltgeschichte nichts Aehnliches aufzuweisen hat.« Engländer lc II p 288/89 [a 2 a, 2]
Juni-Aufstand. »Auf viele geschlossene Läden schrieben die Insurgenten: ›Achtung vor dem Eigenthume, Tod den Dieben!‹ Auf vielen Fahnen der Barrikaden standen die Worte: ›Brod und Arbeit.‹ In der Rue St. Martin war am ersten Tage ein Juwelier-Laden offen, ohne daß demselben irgend eine Gefahr drohte, während wenige Schritte davon ein Laden, in dem sich ein Lager von alten Eisen befand, geplündert wurde … Viele Insurgenten hatten während des Kampfes ihre Weiber und Kinder auf den Barrikaden versammelt und riefen: ›Da wir sie nicht mehr ernähren können, so wollen wir wenigstens Alle zusammen sterben!‹ Während die Männer kämpfen, fabricirten die Weiber Pulver, und ihre Kinder gossen Kugeln, indem sie sich dabei jedes Stückes Blei oder Zinn bedienten, das in ihre Hände fiel. Manche Kinder bedienten sich der Fingerhüte, um Kugeln zu gießen, Mädchen schleppten während der Nacht, wenn die Kämpfenden schliefen, Pflaster-Steine nach den Barrikaden.« Engländer lc II p 291 und 293 [a 2 a, 3]
Barrikaden von 1848〈:〉 »On en compta plus de 400. Beaucoup, précédées de fossés et crénelées, montaient à la hauteur d’un premier étage.« Malet et Grillet: XIXe siècle Paris 1919 p 249 [a 2 a, 4]
»Im Jahre 1839 begründeten einige Arbeiter in Paris eine Zeitung unter dem Titel, La Ruche populaire … Das Bureau dieser Zeitschrift befand sich im ärmsten Stadttheile von Paris, in der Rue des quatre fils. Es war eine der wenigen von Arbeitern redigirten Zeitungen, welche in das Volk drangen, was durch die von ihr verfolgte Tendenz erklärt wird. Sie hatte nämlich als ihr Programm aufgestellt, das verborgene Elend zur Kunde der reichen Wohlthäter zu bringen … Im Bureau dieses Journals war ein Register des Elends aufgeschlagen, in das ein jeder Hungernde sich einschreiben konnte. Es war stark, dieses Register des Unglücks, und da um diese Zeit die Geheimnisse von Paris von Eugène Sue die Wohlthätigkeit in der feinen Welt in Mode gebracht hatten, so fuhren oft Equipagen vor das schmutzige Redactionslokal, wo sich blasirte Damen die Adressen von Unglücklichen holten, um denselben persönlich Almosen zu bringen und auf diese Art die abgestumpften Nerven wieder aufzureizen. Jede Nummer dieser Arbeiter-Revue begann mit einer summarischen Aufzählung der armen Leute, die sich bei dem Redacteur gemeldet hatten; – Details über ihr Unglück fand man in dem Register … Selbst nach der Februar-Revolution, als alle Klassen sich gegenseitig mit Mißtrauen betrachteten … fuhr die Ruche populaire fort, persönliche Berührungen zwischen Armen und Reichen zu vermitteln … Dies ist um so merkwürdiger, wenn man bedenkt, daß selbst um diese Zeit alle Artikel der Ruche populaire von wirklichen, praktisch beschäftigten Arbeitern geschrieben wurden.« Sigmund Engländer Geschichte der französischen Arbeiter-Associationen Hamburg 1864 II p 78-80,82/83 [a 3, 1]
»L’extension que l’industrie a prise à Paris depuis 30 ans a donné au métier de chiffonnier qui occupe le dernier degré de l’échelle industrielle, une certaine importance. Hommes, femmes, enfans, tous peuvent se livrer aisément à l’exercice de ce métier, qui n’exige aucun apprentissage et dont les instrumens sont aussi simples que les procédés; une hotte, un crochet et une lanterne, voilà tout le matériel du chiffonnier. Le chiffonnier adulte pour gagner de 25 à 40 sous par jour, selon les saisons, est obligé de faire communément trois rondes, deux de jour, et une de nuit; les deux premières ont lieu de cinq heures du matin à neuf heures, et de onze heures à« [von hier ab fehlen 4 Seiten im Exemplar der B〈ibliothèque〉 N〈ationale〉!] »Ils ont ainsi que les ouvriers l’habitude de fréquenter les cabarets … Comme eux et plus qu’eux, ils mettent de l’ostentation dans la dépense que cette habitude leur occasionne. L’eau-de-vie a, pour les vieux chiffonniers et surtout pour les vieilles chiffonnières, un attrait qu’aucun autre ne peut balancer … Les chiffonniers ne se contentent pas toujours de vin ordinaire dans les cabarets, ils se font apprêter du vin chaud et ils se formaliseraient grandement, si ce vin ne contenait, avec force sucre l’arôme produit par l’emploi du citron.« HA Frégier: Des classes dangereuses de la population 〈dans les grandes villes et des moyens de les rendre meilleures〉 Paris 1840 I p 104, 109 [a 3, 2]
Frégier spricht ausführlich von den écrivains publics, die im schlechtesten Ruf gestanden haben müssen und aus deren Kreisen Lacenaire hervorgegangen ist, der wegen seiner schönen Handschrift geschätzt war. – »On ma cité un ancien marin, doué d’un talent remarquable pour l’autographie, qui au cœur de l’hiver, n’avait pas de chemise sur le corps, et cachait sa nudité en fermant son gilet avec une épingle. Cet individu, qui était à peine vêtu, et qui, à son dénûment, joignait une saleté nauséabonde, dépensait de temps à autre de cinq à six francs à son dîner.« H-A Frégier: Des classes dangereuses de la population Paris 1840 I p 117/118 [a 3 a, 1]
»S’il arrive, qu’un entrepreneur adresse à un ouvrier, en présence de ses camarades, des reproches qui lui paraissent injustes … l’ouvrier laisse là ses outils et court au cabaret … Dans beaucoup d’établissemens industriels qui ne sont pas rigoureusement surveillés, l’ouvrier ne se contente pas d’aller au cabaret, avant l’heure où le travail commence, et à l’heure de ses repas qui ont lieu à 9 et à 2 heures; il y va encore à 4 heures et le soir en retournant au logis … Il est des femmes qui ne se font pas scrupule de suivre, avec leurs enfans déjà capables de travailler, leur mari à la barrière, pour aller, disent-elles, faire la noce …. On y dépense une grande partie des salaires de toute la famille, et l’on rentre chez soi, le lundi soir, dans un état voisin de l’ivresse, affectant, quelquefois les enfans, comme leurs parens, de paraître plus avinés qu’ils ne sont en effet, afin qu’il soit évident à tous les yeux qu’ils ont bu et largement bu.« H-A Frégier: Des classes dangereuses de la population Paris 1840 I p 79/80 und 86 [a 3 a, 2]
Über die Kinderarbeit bei den Textilarbeitern: »Les ouvriers … ne pouvant suffire aux frais de nourriture et d’entretien de leurs enfans avec leur modique salaire, qui ne dépasse pas souvent quarante sous par jour, ni en y ajoutant celui de leur femme qui s’élève à peine à la moitié de cette somme, se trouvent obligés … de placer leurs enfans dans les établissemens dont nous parlons, dès l’âge où ils sont capables de quelque travail. Cet âge est ordinairement de 7 à 8 ans … Les ouvriers dont nous parlons laissent leurs enfans en fabrique, ou dans les filatures jusqu’à l’âge de 12 ans. A cet âge ils s’occupent de leur faire faire leur première communion et les placent ensuite en apprentissage dans un atelier.« H-A Frégier le I p 98-100 [a 3 a, 3]
»Nous avons queuqu’ radis,
Pierre, il faut fair’ la noce;
Moi, vois-tu, les lundis
J’aime à rouler ma bosse.
J’sais du vin à six ronds
Qui n’est pas d’la p’tit’ bière,
Pour rigoler montons,
Montons à la barrière.«H. Gourdon de Genouillac: Les refrains de la rue de 1830 à 1870 Paris 1879 p 56 [a 3 a, 4]
»Und welcher Wein! Welche Verschiedenheit; vom Bordeaux bis zum Burgunder, vom Burgunder zum schweren St. Georges, Lünel und Frontignan des Südens, und von diesem zum sprudelnden Champagner! Welche Mannichfaltigkeit des Weißen und des Rothen, vom Petit Mâcon oder Chablis zum Chambertin, zum Chateau Larose, zum Sauterne, zum Roussilloner, zum Aï Mousseux! Und wenn man bedenkt, daß jeder dieser Weine einen verschiedenen Rausch macht, daß man mit wenig Flaschen alle Zwischenstufen von der Musardschen Quadrille bis zur Marseillaise, von der tollen Lust des Cancans bis zur wilden Gluth des Revolutionsfiebers durchmachen, und sich schließlich mit einer Flasche Champagner wieder in die heiterste Carnevalslaune von der Welt versetzen kann! Und Frankreich allein hat ein Paris, eine Stadt in der die europäische Civilisation zu ihrer vollsten Blüte sich entfaltet, in der alle Nervenfasern der europäischen Geschichte sich vereinigen, und von der in gemessenen Zeiträumen die elektrischen Schläge ausgehn, unter denen eine ganze Welt erbebt; eine Stadt, deren Bevölkerung die Leidenschaft des Genusses mit der Leidenschaft der geschichtlichen Aktion wie nie ein andres Volk vereinigt, deren Bewohner zu leben wissen wie der feinste Epikuräer Athens und zu sterben wie der unerschrockenste Spartaner, Alcibiades und Leonidas in Einem; eine Stadt, die wirklich, wie Louis Blanc sagt, Herz und Hirn der Welt ist.« Friedrich Engels: Von Paris nach Bern Die neue Zeit Stuttgart 1899 XVII, 1 p 10 – In seiner Vorbemerkung zu diesem Abdruck des nachgelassenen Manuscripts schreibt Eduard Bernstein: »Trotzdem sie Fragment ist, giebt uns diese Reiseskizze vielleicht ein abgerundeteres Bild ihres Verfassers, als irgend eine andere seiner Arbeiten.« lc p 8 [a 4, 1]
Ein Cuplet »Jenny, l’ouvrière«, dessen Refrain die Frauen begeisterte:
»Dans son jardin, sous la fleur parfumée,
Entendez-vous un oiseau familier:
C’est le chanteur de Jenny l’ouvrière,
Au cœur content, content de peu.
Elle pourrait être riche et préfère.
Ce qui lui vient de Dieu.«H. Gourdon de Genouillac: Les refrains de la rue de 1830 à 1870 Paris 1879 p 67/68 [a 4, 2]
Ein reaktionäres Cuplet, nach der Juniinsurrektion:
»Voyez, voyez ce funèbre cortége,
C’est l’archevêque, amis découvrons-nous;
Victime, hélas! d’un combat sacrilège,
Il est tombé pour le bonheur de tous.«H Gourdon de Genouillac: Les refrains de la rue de 1830 à 1870 Paris 1879 p 78 [a 4 a, 1]
»Die Proletarier haben … eine bittere, furchtbare Marseillaise componirt, die sie in den Werkstätten im Chore singen und die man nach dem Refrain beurtheilen kann:
Sème le champ, Proletaire;
C’est l’Oisif qui récoltera.«Die socialistischen und communistischen Bewegungen seit der dritten französischen Revolution. Anfang zu Steins Socialismus und Communismus des heutigen Frankreichs Leipzig und Wien 1848 p 210 [aus V Considérant: Theorie des Rechts des Besitzes und des Rechts auf die Arbeit] [a 4 a, 2]
Buret berichtet nach der Revue Britannique Décembre 1839(?)29(?): »Les associés de Brighton reconnaissent que les machines sont absolument bonnes. ›Mais, disent-ils, elles sont funestes dans leur application au régime actuel. Au lieu de servir docilement comme les fées servaient le Crispin du conte allemand, les machines ont agi au contraire comme le monstre Frankenstein (légende allemande) qui, après avoir reçu la vie, ne l’employait qu’à persécuter celui qui la lui avait donnée.‹« Eugène Buret: La misère des classes laborieuses en Angleterre et en France Paris 1840 II p 219 [a 4 a, 3]
»Si les vices des basses classes bornaient leurs effets à ceux qui les pratiquent, nous concevrions que les classes élevées refusassent de prendre la peine d’agiter ces tristes questions, et qu’elles abandonnassent librement le monde à l’action des causes bonnes ou mauvaises qui le régissent. Mais … tout se tient; si la misère est mère des vices, les vices sont pères du crime; et c’est de cette façon que les intérêts de toutes les classes … se tiennent.« Eugène Buret: La misère des classes laborieuses en Angleterre et en France Paris 1840 II p 262 [a 4 a, 4]
»Jenny l’Ouvrière mettait à vif une des plaies les plus terribles de l’organisme social, la fille du peuple … forcée de sacrifier sa vertu à sa famille et de se vendre … afin de donner du pain aux siens … Quant au prologue de Jenny l’Ouvrière, on n’admit, ni le point de départ du drame, ni les détails de misère et de faim.« Victor Hallays-Dabot: La censure dramatique et le théâtre (1850-1870) Paris 1871 p 75/76 [a 4 a, 5]
»Dans la pensée du chef de fabrique les ouvriers ne sont pas des hommes, mais des forces dont l’emploi coûte cher, des instruments rebelles et moins économiques que les outils de fer et de feu … Sans être cruel, il peut être complètement indifférent aux souffrances d’une classe d’hommes avec laquelle il n’a pas de commerce moral, pas de sentiments communs. Certes, madame de Sévigné n’était pas une méchante femme … et cependant madame de Sévigné, racontant les atroces châtiments exercés envers le peuple de Bretagne qui s’était ameuté à propos d’une taxe, madame de Sévigné, la mère passionnée, parie de pendre et de rouer … d’un ton badin, dégagé, qui ne trahit pas la moindre sympathie … Je doute que, sous l’empire des lois actuelles de l’industrie, il y ait plus de communauté morale entre les maîtres et leurs ouvriers qu’il n’y en avait au dix-septième siècle, entre de pauvres paysans et bourgeois et une belle dame de la cour.« Eugène Buret: De la misère des classes laborieuses en Angleterre et en France Paris 1840 II p 269-71 [a 5, 1]
»Beaucoup de filles … des manufactures abandonnent souvent l’atelier dès six heures du soir, au lieu d’en sortir à huit, et vont parcourir les rues dans l’espoir de rencontrer quelque étranger qu’elles provoquent avec une sorte d’embarras timide. – On appelle cela dans les fabriques faire son cinquième quart de journée.« Villermé: Tableau de l’état physique et moral des ouvriers I p 226 cit bei E Buret: De la misère des classes laborieuses Paris 1840 I p 415 [a 5, 2]
Die Prinzipien der Philanthropie finden bei Buret eine klassische Formulierung: »L’humanité et même la décence ne permettant pas de laisser mourir des êtres humains comme des animaux, on ne peut pas refuser l’aumône du cercueil.« Eugène Buret: De la misère des classes laborieuses Paris 1840 I p 266 [a 5, 3]
»La Convention, organe du peuple souverain, va faire disparaître tout d’un coup la mendicité et la misère … Elle assure de l’ouvrage à tous les citoyens qui en manquent … Malheureusement, la partie de la loi qui avait pour but de réprimer la mendicité comme un crime, était plus facilement applicable que celle qui promettait à l’indigence les bienfaits de la générosité nationale. Les mesures de répression furent appliquées, et elles sont restées dans le texte comme dans l’esprit de la loi, tandis que le système de charité qui les motivait en les justifiant, n’exista jamais que dans les décrets de la Convention!« E Buret: De la misère des classes laborieuses Paris 1840 I p 222/4 Die hier geschilderte Disposition machte sich Napoleon – Gesetz vom 5 Juli 1808 – zu eigen; das Gesetz der Convention ist vom 15 Oktober 1793: dem dreimal rückfälligen Bettler stellte es achtjährige Deportation nach Madagaskar in Aussicht. [a 5, 4]
Hippolyte Passy, ex-ministre, dans une lettre adressée à la Société de tempérance d’Amiens (voir le Temps 20 février 1836): »On est amené à reconnaître que, quelque exiguë que soit la part du pauvre, c’est l’art de l’appliquer à ses besoins réels, la capacité d’embrasser l’avenir dans ses conceptions, qui lui manque, et que de là vient sa détresse plus que de toute autre cause.« cit bei E Buret: De la misère des classes laborieuses Paris 1840 I p 78 [a 5 a, 1]
»Il fut un temps, et il n’est pas encore très-éloigné, où, tout en faisant un éloge pompeux et pathétique du travail, on ne laissait pas d’insinuer à l’ouvrier que celui dont il tirait sa subsistance n’était pas l’œuvre de sa volonté, mais bien un impôt levé sur lui par certaines gens qui s’engraissaient de ses sueurs … C’est ce qu’on appelait l’exploitation de l’homme par l’homme. Il est resté quelque chose de cette doctrine menteuse et sinistre dans les chansons des rues … On parle toujours du travail avec respect, mais ce respect a je ne sais quoi de forcé, de grimaçant … Il est vrai pourtant que cette manière d’envisager le travail est une exception. Le plus souvent on le chante comme une loi de la nature, un plaisir ou un bienfait …
Au paresseux livrons toujours bataille,
Grand ennemi de la société;
Car, s’il se plaint de coucher sur la paille,
C’est un malheur par lui bien mérité.
Dans nos chantiers, usines et fabriques,
Dès le matin rendons-nous à l’appel:
En conduisant nos grandes mécaniques,
Chantons d’accord ce refrain fraternel …«
Antoine RémyCharles Nisard: Des chansons populaires Paris 1867 II p 265-67 [a 5 a, 2]
»Les quinze années de la Restauration avaient été des années de grande prospérité agricole et industrielle … Le régime de la presse, les divers systèmes d’élection, si l’on excepte Paris et les grandes villes, ne passionnèrent qu’une partie de la nation, et la moins nombreuse, la bourgeoisie. Encore, dans cette bourgeoisie, beaucoup redoutaient-ils une révolution.« A Malet et P Grillet: XIXe siècle Paris 1919 p 72 [a 5 a, 3]
»Die Krise von 1857/58 … machte allen Illusionen des Imperialsozialismus ein jähes Ende. Alle Bemühungen, den Arbeitslohn auf einem Niveau aufrechtzuerhalten, das einigermaßen den immer steigenden Preisen der Lebensmittel und der Wohnungen angemessen gewesen wäre, erwiesen sich als machtlos.« D. Rjazanov: Zur Geschichte der ersten Internationale (Marx-Engels-Archiv I Frankfurt a/M (1928) p 145) [a 5 a, 4]
»A Lyon, la crise économique avait fait tomber le salaire des tisseurs en soie – les canuts – à 18 sous par journée de quinze à seize heures de travail. Le préfet avait tenté d’amener ouvriers et patrons à s’entendre pour établir un tarif minimum de salaires. La tentative ayant échoué, le 21 novembre 1831 éclata une insurrection sans caractère politique, un soulèvement de la misère. ›Vivre en travaillant ou mourir en combattant‹, lisait-on sur le drapeau noir que portaient devant eux les canuts … Après deux jours de combat, les troupes de ligne, que la garde nationale avait refusé de soutenir, durent évacuer Lyon. Les ouvriers désarmèrent d’eux-mêmes. Casimir Perier fit réoccuper la ville par une armée, – 36 000 hommes, – destitua le préfet, annula le tarif que celui-ci avait réussi à faire admettre par les patrons et licencia la garde nationale (3 décembre 1831) … Deux ans plus tard … des poursuites intentées contre une association d’ouvriers lyonnais, les Mutualistes, furent l’occasion d’un soulèvement qui dura cinq jours.« A Malet P Grillet: XIXe siècle Paris 1919 p 86-88 [a 6, 1]
»Une enquête sur la condition des ouvriers dans l’industrie textile, en 1840, révéla que par journée de 15 heures et demie de travail effectif, le salaire moyen était de moins de 2 francs pour les hommes, d’à peine 1 franc pour les femmes. Le mal … s’était aggravé … surtout à partir de 1834, parce que la tranquillité intérieure étant enfin assurée, les entreprises industrielles s’étaient multipliées si bien qu’en dix ans on vit la population des villes croître de deux millions d’hommes, par le seul afflux des paysans vers les usines.« A Malet P Grillet: XIXe siècle Paris 1919 p 103 [a 6, 2]
»En 1830, beaucoup jugeaient le Catholicisme agonisant en France et le rôle politique du clergé à jamais fini … Or … le 24 février 1848, les insurgés, commençant le sac des Tuileries, se découvraient devant le Crucifix qu’on emportait de la chapelle, et l’escortaient jusqu’à l’église Saint-Roch. La République proclamée, le suffrage universel envoyait à l’Assemblée nationale … trois évêques et douze prêtres … C’est que, pendant le règne de Louis-Philippe, le clergé s’était rapproché du peuple.« A Malet P Grillet: XIXe siècle Paris 1919 p 106, 107 [a 6, 3]
Am 8ten Dezember 1831 nimmt das großkapitalistische Journal des Débat〈s〉 zum lyoner Aufstand Stellung. »Der Artikel im ›Journal des Débats‹ rief eine große Sensation hervor. Der Feind der Arbeiter hatte die internationale Bedeutung des Lyoner Symptoms sehr deutlich hervorgehoben. Jedoch wollte weder die republikanische, noch die legitimistische Presse die Frage so gefährlich … darstellen … Die Legitimisten … protestierten in rein demagogischer Absicht, da es die Losung dieser Partei in jenem Moment war, die Arbeiterklasse gegen die liberale Bourgeoisie im Interesse der Wiederherstellung der älteren Linie der Bourbonen … auszuspielen; die Republikaner dagegen hatten ein Interesse daran, die rein proletarische Nuance der Bewegung möglichst abzuschwächen, … um … die Arbeiterklasse nicht als künftige Bundesgenossin im Kampfe gegen die Julimonarchie zu verlieren. Trotzdem war der unmittelbare Eindruck des Lyoner Aufstandes so eigenartig, so peinlich für die Zeitgenossen, daß dadurch schon den Lyoner Ereignissen ein besonderer Platz in der Geschichte gebührt. Dabei sollte man doch meinen, daß diese Generation, die den Juliaufstand … miterlebt hatte, über genügend kräftige Nerven verfügte. Und doch sahen sie im Lyoner Aufstande etwas ganz Neues …, was sie um so mehr erschreckte, als die Lyoner Arbeiter selbst dieses Neue offenbar nicht zu sehen und zu begreifen schienen.« E. Tarlé: Der Lyoner Arbeiteraufstand (Marx-Engels-Archiv hg. von D. Rjazanov II Frankfurt a/M 1928 p 102) [a 6 a, 1]
Tarlé zitiert eine Stelle zum lyoner Aufstand bei Börne, an der dieser seinem Unwillen über Casimir Périer Ausdruck gibt, weil, wie Tarlé schreibt »Périer sich über das Fehlen des politischen Elementes im Lyoner Aufstande freue und zufrieden sei, daß dies nur ein Krieg der Armen gegen die Reichen ist.« Die Stelle (Ludwig Börne: Gesammelte Schriften Hamburg und Frankfurt a/M 1862 X p 20) lautet: »Es sei nichts weiter, als ein Krieg der Armen gegen die Reichen, derjenigen, die nichts zu verlieren hätten, gegen diejenigen, die etwas besitzen! Und diese fürchterliche Wahrheit, die, weil sie eine ist, man in den tiefsten Brunnen versenken müßte, hielt der wahnsinnige Mensch hoch empor und zeigte sie aller Welt!« bei E Tarlé: Der Lyoner Arbeiteraufstand (Marx-Engels-Archiv II Frankfurt a/M 1928 p 112) [a 6 a, 2]
Buret war ein Schüler von Sismondi. Charles Andler schreibt ihm Einfluß auf Marx zu (Andler: Le manifeste communiste Paris 1901) Mehring (»Ein methodologisches Problem« Die neue Zeit Stuttgart XX, 1 p 450/51) stellt das entschieden in Abrede. [a 6 a, 3]
Einfluß der Romantik auf die politische Phraseologie, erläutert ein Kampf gegen die Kongregationen. »On est au début du romantisme, et l’on s’en apperçoit bien à la façon de dramatiser toutes choses. Un calvaire a été érigé au mont Valérien: ce calvaire … est dénoncé comme symbolisant l’emprise de la société religieuse sur la société civile. Le noviciat des jésuites ne s’appelle que ›l’antre de Montrouge.‹ On annonce un jubilé pour 1826; et déjà l’on croit voir surgir de tous côtés les hommes noires.« Pierre de la Gorce: La Restauration II Charles X Paris p 57 [a 7, 1]
»Nous ne sommes que des machines.
Nos Babels montent jusqu’au ciel.«(Refrain:) »Aimons-nous, et quand nous pouvons
Nous unir pour boire à la ronde,
Que le canon se taise ou gronde,
Buvons, (ter)
A l’indépendance du monde!«Pierre Dupont: Le chant des ouvriers Paris 1848 [a 7, 2]
Schlußstrophe und Refrain:
»S’il est vrai qu’une tourbe infâme
Disposant du fer et du feu,
Veuille enchaîner le corps et l’âme
Du peuple, ce vrai fils de Dieu,
Fais voir, en déjouant la ruse,
O République! à ces pervers,
Ta grande face de Méduse
Au milieu de rouges éclairs!
—
O République tutélaire,
Ne remonte jamais au ciel,
Idéal incarné sur terre
Par le suffrage universel!!«Aus der vierten Strophe:
»Ah! qu’une surprise nocturne
N’attente jamais au scrutin!
Montons la garde autour de l’urne,
C’est l’arche de notre destin.«Pierre Dupont. Le chant du vote Paris 1850 [a 7, 3]
In einigen Kapiteln wie »Le vrai Sublime«, »Le fils de Dieu«, »Le Sublime des Sublimes«, »Le Marchand de vins«, »Le chansonnier des Sublimes« werden von Poulot Zwischentypen zwischen Arbeiter und Apache behandelt. Das Buch ist reformistisch, zuerst 1869 erschienen. Denis Poulot: Question sociale »Le Sublime« Nouvelle Edition Paris [a 7, 4]
Ein Vorschlag aus Louis Napoléons »Extinction du paupérisme« (p 123) cit bei Henry Fougère: Les délégations ouvrières aux expositions universelles sous le second empire Montluçon 1905 p 23: »Tout chef de fabrique ou de ferme, tout entrepreneur quelconque serait obligé par la loi, dès qu’il emploierait plus de dix ouvriers, d’avoir un prud’homme pour les diriger et de lui donner un salaire double de celui des simples ouvriers.« [a 7 a, 1]
»Ce peuple qui, sur l’or, jonché devant ses pas,
Vainqueur, marchait pieds nus et ne se baissait pas.«
Hégésippe Moreau.Motto der Zeitung »L’aimable faubourien Journal de la canaille〈«〉 cit Curiosités révolutionnaires Les journaux rouges par un Girondin Paris 1848 p 26 [a 7 a, 2]
Theorie von A Granier de Cassagnac: Histoire des classes ouvrières et des classes bourgeoises Paris 1838: die Proletarier stammten von Räubern und Prostituierten ab. [a 7 a, 3]
»Croyez-moi, le vin des barrières a sauvé bien des secousses aux charpentes gouvernementales.« Edouard Foucaud: Paris inventeur Physiologie de l’industrie française Paris 1844 p 10 [a 7 a, 4]
Charras, von der Ecole polytechnique, mit Bezug auf den General Lobau, der eine Proklamation nicht hatte unterzeichnen wollen: »Je vais le faire fusiller. – Y pensez-vous? répliqua vivement M. Mauguin? Faire fusilier le général Lobau, un membre du gouvernement provisoire? – Lui-même! reprit l’élève en conduisant le député à la fenêtre et en lui montrant une centaine d’hommes qui avaient combattu à la caserne de Babylone. Et je dirais à ces braves gens de fusiller le Bon Dieu qu’ils le feraient!« G Pinet: Histoire de l’Ecole polytechnique Paris 1887 p 158 [offenbar wörtlich nach Louis Blanc][a 7 a, 5]
Léon Guillemin: »Il eut deux providences, … Dieu et l’Ecole polytechnique; si l’une devait lui faire défaut, l’autre serait là.« Nach G Pinet 〈lc〉 p 161 [a 7 a, 6]
Lamennais und Proudhon wollten in einer fosse commune begraben werden (Delvau: Heures parisiennes 〈Paris 1866〉 p 50/51) [a 7 a, 7]
Szene aus der Februarrevolution. Die Tuilerien werden geplündert. »Cependant la foule s’était arrêtée avec respect devant la chapelle; un élève profita de ce moment pour faire enlever les vases sacrés et, le soir, il les fit transporter à l’église Saint-Roch. Il voulut porter lui-même le magnifique christ sculpté qui était placé sur l’autel; une masse de peuple le suivit avec recueillement, les fronts se découvrirent et les têtes s’inclinèrent sur son passage. Cette scène … a été reproduite par une estampe qu’on a pu voir longtemps après, à la vitrine de tous les marchands d’images, où le Polytechnicien était représenté tenant le christ entre ses bras, le montrant à la foule inclinée et s’écriant: ›Voilà notre maître à tous!‹ Ces paroles n’ont pas été prononcées, mais elles répondaient aux sentiments de la population, à une époque où … le clergé lui-même, persécuté sous le roi voltairien, accueillait la révolution avec enthousiasme.« G Pinet: Histoire de l’Ecole polytechnique Paris 1887 p 245/246 [a 8, 1]
Les polytechniciens »surveillèrent le club Blanqui qui s’était réuni dans une salle du rez-de-chaussée et où des orateurs démagogues, agitant les motions incendiaires les plus sinistres, parlaient déjà de mettre le Gouvernement provisoire en accusation.« G Pinet: Histoire de l’Ecole polytechnique Paris 1887 p 250 [a 8, 2]
In der Februarrevolution verbrannten Schüler der Ecole polytechnique in den Tuilerien Papiere, die ihnen für die Unterzeichner kompromittierend erschienen, die aber für die Revolution ein hohes Interesse gehabt hätten: Loyalitätserklärungen für Louis-Philippe. Pinet p 254 [a 8, 3]
Lissagaray in einem Aufsatz über die »Misérables« in der »Bataille«: »Il suffit de toucher au peuple pour devenir révolutionnaire.« [Victor Hugo devant l’opinion Paris 1885 p 129] [a 8, 4]
»Vers 1840 un certain nombre d’ouvriers prisent la résolution de plaider directement leur cause devant l’opinion publique …; de ce moment … le communisme, qui avait jusque là pris l’offensive, se tint prudemment sur la défense.« A Corbon: Le secret du peuple de Paris Paris 1863 p 117 Es handelt sich um die kommunistische Fraternité, die schon 1845 einging, die antikommunistische »L’Atelier«, die »Union« und die »Ruche populaire« die die früheste war. [a 8, 5]
Über die Arbeiter: »Il est, en général, impropre à l’entente des affaires positives. Les solutions qui lui vont le mieux sont donc celles qui semblent devoir le dispenser de se préoccuper incessamment de ce qu’il considère comme étant le côté inférieur, la corvée de la vie … Tenons donc pour certain que tout système, promit-il beaucoup plus de beurre que de pain, qui tendrait à river à l’atelier … notre ouvrier … lui répugnera.« A Corbon 〈lc〉 p 186/7 [a 8, 6]
»Die Arbeiterfrage pflanzte sich, ebenso wie die Armenfrage, gleich an der Eingangspforte der Revolution auf. Da die Kinder der Arbeiter- und Handwerkerfamilien den Bedarf der arbeitshungrigen Industrie nicht zu decken vermochten, so nahm man auch noch die Waisenkinder … hinzu … Die industrielle Ausbeutung des Kindes und der Frau … ist eine der glorreichsten Errungenschaften der Philanthropie. Auch eine wohlfeile Ernährung der Arbeiter, zu dem … Zwecke von Lohnherabsetzungen, war eine der philanthropischen Lieblingsideen der Fabrikbesitzer und Nationalökonomen des achtzehnten Jahrhunderts … Wenn die Franzosen die Revolution erst einmal mit kühlem Gleichmut und ohne Klassenvorurteile studieren, werden sie die Bemerkung machen, daß die Ideen, die deren Größe ausmachen, aus der Schweiz gekommen sind, wo sich die Bourgeoisie bereits der Herrschaft bemächtigt hatte: von Genf nämlich führte A. P. de Candolle die sogenannten ›ökonomischen Suppen‹ … ein, die im Paris der Revolution Furore machten … Selbst der trockene und zähe Volney konnte sich nicht enthalten, weich zu werden, ›wenn man diesen Verein von Männern in angesehener Stellung sich eifrig damit beschäftigen sieht, einen Topf mit kochender Suppe zu dirigieren‹.« Paul Lafargue: Die christliche Liebestätigkeit (Die neue Zeit Stuttgart XXIII, 1 p 148/149) [a 8 a, 1]
»Que trois hommes soient dans la rue à causer de salaires, qu’ils demandent à l’entrepreneur, riche de leur travail, un sol d’augmentation, le bourgeois s’épouvante, il crie, il appelle main-forte … La plupart des gouvernements … ont spéculé sur ce triste progrès de la peur … Tout ce que j’en puis dire ici, c’est que … nos grands Terroristes, n’étaient nullement des hommes du peuple, mais des bourgeois, des nobles, des esprits cultivés, subtils, bizarres, des sophistes et des scolastiques.« J Michelet: Le peuple Paris 1846 p 153/154 [a 8 a, 2]
Frégier, der Verfasser der »Classes dangereuses« war chef de bureau an der préfecture de police. [a 8 a, 3]
Über die Schilderung der Februarrevolution in der »Education sentimentale« – die nachzulesen ist – heißt es (mit Bezugnahme auf Stendhals Schilderung der Schlacht von Waterloo〈)〉: »Rien des mouvements généraux, rien des grands chocs; une suite de détails, qui ne peut jamais former un tout. Voilà le modèle qu’a imité M. Flaubert dans sa peinture des journées de février et de juin 1848, c’est de la description de désœuvré et de la politique de nihiliste.« J-J Nescio: La littérature sous les deux empires 1804-1852 Paris 1874 〈p 114〉 [a 8 a, 4]
Szene aus der Julirevolution. Eine Frau hat sich in Männerkleider geworfen und mitgekämpft, um sodann, als Frau, die Verwundeten zu pflegen, die in der Börse untergebracht waren. »Samedi soir, les canonniers qui conduisirent à l’Hôtel-de-Ville les pièces d’artillerie restées à la Bourse, mirent notre jeune héroïne sur un canon entouré de lauriers et l’emmenèrent avec eux. Le soir, vers dix heures, ils la ramenèrent en triomphe à la Bourse à la lueur des flambeaux; elle était assise dans un fauteuil orné de guirlandes et de lauriers.« CF Tricotel: Esquisse de quelques scènes de l’intérieur de la Bourse pendant les journées des 28, 29, 30 et 31 juillet dernier Au profit des blessés Paris 1830 p 9 [a 9, 1]
Lacenaire schrieb eine »Ode à la guillotine«, in der das Verbrechen in der allegorischen Gestalt eines Weibes verherrlicht wird. Es heißt von ihr
»Cette femme riait d’une effrayante joie,
Comme un peuple qui rit près d’un trône qu’il broie.«
Diese Ode entstand kurz vor Lacenaires Hinrichtung, nämlich im Januar 1836. Alfred Delvau: Les lions du jour Paris 1867 p 87 [a 9, 2]
Eine charitative Speisung von dem Hotel de Ville, wo sich Arbeitsuchende, im Winter vor allem Bauarbeiter, versammelten. »L’heure du repas public vient de sonner. Alors le Petit Manteau Bleu dépose entre les mains de l’un des assistants sa canne à bec d’ivoire, prend à sa boutonnière un couvert d’argent qui s’y trouve attaché, plonge la cuiller dans l’une et l’autre marmite, goûte, paie ceux qui servent, presse la main aux pauvres qui la lui tendent, reprend sa canne, serre son couvert et s’en va tranquillement … Il est parti. La distribution commence.« Le Petit Manteau Bleu war der Spitzname des aus den einfachsten Kreisen hervorgegangnen Philanthropen Champion. Die Stelle aus Ch L Chassin: La légende du Petit Manteau Bleu cit Alfred Delvau: Les lions du jour Paris 1867 p 283 [a 9, 3]
Der Autor wendet sich, in seiner Schrift gegen die Landflucht, an das Bauernmädchen: »Pauvre et belle enfant! Le tour de France, qui est un bien douteux pour tes frères, est toujours un mal pour toi. Jusqu’à 40 ans, s’il le faut, n’abandonne pas le tablier de ta mère …, et si tu as fait la folie de la quitter et que le chômage et la faim s’impatronisent obstinément dans ta chambrette, appelle, comme une vierge que j’ai connue, appelle un dernier hôte à ton secours: le choléra. Dans ses bras décharnés, du moins, sur son sein livide, tu n’auras plus à craindre pour ton honneur.« Und unmittelbar an diese Stelle anschließend: »Hommes de cœur qui lirez ceci, je vous adjure encore une fois à deux genoux et les mains jointes, de vulgariser par tous les moyens possibles la substance de cet avant-dernier chapitre.« Emile Crozat: La maladie du siècle ou les suites funestes du déclassement social Ouvrage écrit sous les tristes inspirations d’un avocat sans cause, d’un notaire et d’un avoué sans clientèle, d’un médecin sans pratiques, d’un négociant sans capitaux, d’un ouvrier sans travail Bordeaux 1856 p 28 [a 9, 4]
Insurrektionsbewegungen unter Louis-Philippe: »Alors apparut, pour la première fois en 1832, le drapeau rouge.« Charles Seignobos: Histoire sincère de la nation française Paris 1933 p 418 [a 9 a, 1]
»Il n’y avait en 1848 que quatre villes au-dessus de cent mille âmes, Lyon, Marseille, Bordeaux, et Rouen, et trois entre soixante-quinze mille et cent mille, Nantes, Toulouse et Lille. Paris, seul, était une très grande ville avec plus d’un million d’habitants, sans compter les faubourgs (annexés en 1860). La France restait un pays de petites villes.« Charles Seignobos: Histoire sincère de la nation française Paris 1933 p 396/397 [a 9 a, 2]
1840 macht das Kleinbürgertum einen Vorstoß auf das Wahlrecht, indem sie (sic) es für die Garde nationale fordert. [a 9 a, 3]
Assemblée nationale von 1848. »Mlle*** demande à emprunter 600 francs à l’Assemblée nationale pour payer son terme.« Historisches Faktum Paris sous la République de 1848 Exposition de la Bibliothèque et des Travaux historiques de la Ville de Paris 1909 p 41 [a 9 a, 4]
»Sitôt qu’on entendit parler d’un bataillon de femmes, les dessinateurs s’ingénièrent à leur trouver un costume … Eugénie Niboyet, directrice de La Voix des femmes … fixa l’opinion: ›Vésuvienne, dit-elle, cela signifie que chacune des contractantes a au fond du cœur tout un volcan de feux et d’ardeurs révolutionnaires‹ … Eugénie Niboyet convoquait ses ›sœurs‹ dans les salles basses du bazar Bonne-Nouvelle ou dans la salle Taranne.« Paris sous la République de 1848 Exposition de la Bibliothèque et des Travaux historiques de là Ville de Paris 1909 p 28 [a 9 a, 5]
Soziale Gegenstände nehmen in der Lyrik um die Jahrhundertmitte einen sehr großen Platz ein. Sie finden sich in allen Weisen, von den harmlosen eines Charles Colmance (La chanson des locataires, la chanson des imprimeurs) bis zu den revolutionären eines Pierre Dupont. Mit Vorliebe werden Erfindungen besungen und man hebt ihre soziale Bedeutung hervor. So entstand ein »poème à la louange de l’entrepreneur avisé qui le premier a renoncé au produit nocif [Bleiweiß] pour adopter ›le blanc de zinc innocent‹«. (Paris sous la République de 1848 Exposition de la Ville de Paris 1909 p 44) [a 9 a, 6]
Zu Cabet: »C’est à la fin de l’année 1848, que la découverte des gisements a été connue à Paris, et aussitôt des compagnies se sont formées, pour faciliter le voyage des émigrants. En mai 1849, on en compte une quinzaine. La ›Compagnie parisienne‹ a eu l’honneur de faire partir les premiers voyageurs et … ces nouveaux Argonautes se sont confiés à un Jason aveugle, qui n’a jamais vu la Californie, Jacques Arago … auteur … d’un voyage autour du monde, écrit en partie sur les notes d’autrui … Des journaux se fondent: La Californie, journal des intérêts généraux de l’Océan Pacifique, L’Aurifère, moniteur des mines d’or, L’Echo du Sacramento. Des sociétés anonymes lancent des actions à bas prix, cinq francs seulement, à la portée de toutes les bourses.« Viele Kokotten gehen nach Übersee; bei den Kolonisten herrscht Mangel an Frauen. Paris sous la République de 1848 Exposition de la Ville de Paris 1909 p 32 [a 10, 1]
Zu Cabet ist der folgende Vers zu vergleichen, der sich allerdings gegen die Saint-Simonisten richtet. Er entstammt Alcide Genty: A M. de Chateaubriand Poètes et prosateurs français Satire Paris 1838 (cit Carel Lodewijk de Liefde: Le Saint-Simonisme dans la poésie française entre 1825 et 1865 〈Haarlem 1927〉 p 171):
»L’insinuant Rodrigues aux tribus iroquoises
Colportera Barême et des vierges gauloises.« [a 10, 2]
Delphine Gay (Mme E de Girardin) erweist sich in ihrem Gedicht »Les ouvriers de Lyon« (Poésies complètes Paris 1856 p 210) als eine Vorläuferin der Gastwirtsphilosophie:
»Le pauvre est joyeux quand le riche s’amuse.« [a 10, 3]
»Sur deux rayons de fer un chemin magnifique
De Paris à Pékin ceindra ma république.
Là, cent peuples divers, confondant leur jargon,
Feront une Babel d’un colossal wagon.
Là, de sa roue en feu le coche humanitaire
Usera jusqu’aux os les muscles de la terre.
Du haut de ce vaisseau les hommes stupéfaits
Ne verront qu’une mer de choux et de navets.
Le monde sera propre et net comme une écuelle;
L’humanitairerie en fera sa gamelle,
Et le globe rasé, sans barbe ni cheveux,
Comme un grand potiron roulera dans les cieux.«Alfred de Musset: Namouna Paris p 113 (Dupont et Durand) [a 10, 4]
Saint-Simonistische Dichtung (Savinien Lapointe, Cordonnier: L’émeute)
»Non, l’avenir n’est plus sur une barricade!
Grands! pendant que vos mains dressaient des échafauds,
Les miennes répandaient des fleurs sur les tombeaux;
Chacun sa mission ou sa pénible tâche:
Au poëte, des chants; à tout pouvoir la hache!«Olinde Rodrigues: Poésies sociales des ouvriers Paris 1841 p 237, 239 [a 10, 5]
Aus Alfred de Vigny: La maison du berger über die Eisenbahn:
»Que Dieu guide à son but la vapeur foudroyante
Sur le fer des chemins qui traversent les monts,
Qu’un ange soit debout sur sa forge bruyante,
Quand elle va sous terre ou fait trembler les ponts
…
…
Evitons ces chemins. – Leur voyage est sans grâces,
Puisqu’il est aussi prompt, sur ses lignes de fer,
Que la flèche lancée à travers les espaces
Qui va de l’arc au but en faisant siffler l’air.
Ainsi jetée au loin, l’humaine créature
Ne respire et ne voit, dans toute la nature,
Qu’un brouillard étouffant que traverse un éclair.
…
…
La distance et le temps sont vaincus. La science
Trace autour de la terre un chemin triste et droit.
Le Monde est rétréci par notre expérience
Et l’équateur n’est plus qu’un anneau trop étroit.«Alfred de Vigny: Poésies complètes (Nouvelle édition) Paris 1866 p 218, 220/221 [a 10 a, 1]
Zu Cabet ist 〈das〉 merkwürdige, schöne Gedicht von Elise Fleury, ouvrière en broderie »Le Havre« zu vergleichen. (Olinde Rodrigues: Poésies sociales des ouvriers Paris 1841 p 9) Es gibt die Beschreibung eines Ozeandampfers und konfrontiert die Luxuskabinen mit dem Zwischendeck. [a 10 a, 2]
»Un opuscule en vers (Les principes du petit manteau bleu sur le système de la communauté, par Loreux, communiste. Paris. 1847) est une espèce de dialogue entre un partisan et un adversaire du communisme … Pour soulager toute … misère, le communiste Loreux ne fait pas appel à l’envie et à la vengeance, mais à la bonté et à la générosité.« Jean Skerlitch: L’opinion publique en France d’après la poésie politique et sociale de 1830 à 1848 Lausanne 1901 p 194 [a 10 a, 3]
1847 eine Hungersnot; viele Gedichte auf sie … [a 10 a, 4]
August 1834, Aufstand der Mutualisten in Lyon, ungefähr gleichzeitig mit dem Aufstand der rue Transnonain. A Lyon: »L’armée eut 115 hommes tués et 360 blessés, et les ouvriers 200 tués et 400 blessés. Le gouvernement voulut accorder des indemnités, et une commission fut nommée, qui proclama le principe suivant: ›Le gouvernement ne voudra pas que le triomphe de l’ordre social coûte des larmes et des regrets. Il sait que le temps qui efface insensiblement la douleur que causent les pertes personnelles les plus chères, est impuissant à faire oublier les pertes de fortune‹ … Toute la morale de la monarchie de Juillet se trouve dans cette phrase.« Jean Skerlitch: L’opinion publique en France d’après la poésie politique et sociale Lausanne 1901 p 72 [a 10 a, 5]
»J’ameuterai le peuple à mes vérités crues,
Je prophétiserai sur le trépied des rues …«Hégésippe Moreau cit bei Jean Skerlitch: L’opinion publique en France d’après la poésie politique et sociale de 1830 à 1848 p 85 [a 11, 1]
»Dès les premiers jours qui suivent la Révolution de 1830, une chanson, Requête d’un ouvrier à un juste milieu, circulait à Paris. Le refrain en était très expressif:
J’ai faim!
C’est bien, mang’ ton poing.
Gard’ l’aut’ pour demain.
C’est mon refrain.… Barthélémy … dit … que … l’ouvrier sans travail est obligé de travailler au ›chantier du tumulte‹ … Dans la Némésis de Barthélémy … le pontife Rothschild, avec une foule de fidèles, dit la ›messe de l’agio‹, chante le ›psaume de la rente‹.« Jean Skerlitch: L’opinion publique en France d’après la poésie Lausanne 1901 p 97/8 et 159 [a 11, 2]
»Dans la journée du 6 juin, une battue des égouts avait été ordonnée. On craignit qu’ils ne fussent pris pour refuge par les vaincus, et le préfet Gisquet dut fouiller le Paris occulte pendant que le général Bugeaud balayait le Paris public; double opération connexe qui exigea une double stratégie de la force publique représentée en haut par l’armée et en bas par la police. Trois pelotons d’agents et d’égoutiers explorèrent la voirie souterraine de Paris.« Victor Hugo: Œuvres complètes Roman 9 Paris 1881 p 196 (Les Misérables) [a 11, 3]
»Déployant ses ailes dorées,
L’industrie aux cent mille bras,
Joyeuse, parcourt nos climats,
Et fertilise nos contrées
Le désert se peuple à sa voix,
Le sol aride se féconde,
Et, pour les délices du monde,
Au monde elle donne des lois.« 〈p 205〉Refrain: »Honneur à nous, enfans de l’industrie!
Honneur, honneur à nos travaux!
Dans tous les arts, vainqueurs de nos rivaux,
Soyons l’espoir, l’orgueil de la patrie.« 〈p 204〉Cinquante chants français Paroles de différents auteurs Mises en musique avec accompagnement de piano par Rouget de Lisle Paris (1825) [Bibl〈iothèque〉 Nat〈ionale〉 Vm7. 4454] p 202 (No 49 Chant des industriels 1821 Text von de Lisle) Im gleichen Band No 23 die Marseillaise. [a 11, 4]
Revolutionäre Taktik und Barrikadenkämpfe nach den »Miserables«. – Nacht vor dem Barrikadenkampf: »L’invisible police de l’émeute veillait partout, et maintenait l’ordre, c’est-à-dire la nuit … L’œil qui eût regardé d’en haut dans cet amas d’ombre eût entrevu peut-être çà et là, de distance en distance, des clartés indistinctes faisant saillir des lignes brisées et bizarres, des profils de constructions singulières, quelque chose de pareil à des lueurs allant et venant dans des ruines; c’est là qu’étaient les barricades.« Œuvres complètes Roman 8 Paris 1881 p 522/523 – Die folgende Stelle aus dem Kapitel »Faits d’où l’histoire sort et que l’histoire ignore«. »Les réunions étaient quelquefois périodiques. A de certaines, on n’était jamais plus de huit ou dix, et toujours les mêmes. Dans d’autres, entrait qui voulait, et la salle était si pleine qu’on était forcé de se tenir debout. Les uns s’y trouvaient par enthousiasme et passion; les autres parce que c’était leur chemin pour aller au travail. Comme pendant la révolution, il y avait dans ces cabarets des femmes patriotes qui embrassaient les nouveaux venus. D’autres faits expressifs se faisaient jour. Un homme entrait dans un cabaret, buvait et sortait en disant: Marchand de vin, ce qui est du, la révolution le payera … Un ouvrier buvant avec un camarade lui faisait tâter comme il avait chaud; l’autre sentait un pistolet sous sa veste … Toute cette fermentation était publique, on pourrait presque dire tranquille … Aucune singularité ne manquait à cette crise encore souterraine, mais déjà perceptible. Les bourgeois parlaient paisiblement aux ouvriers de ce qui se préparait. On disait: Comment va l’émeute? du ton dont on eût dit: Comment va votre femme?« Victor Hugo: Œuvres complètes Roman 8 Paris 1881 p 43,50/51 (Les Misérables) [a 11 a, 1]
Barrikadenkämpfe nach den »Misérables«. Aus dem Kapitel »Originalité de Paris«. »Hors des quartiers insurgés, rien n’est d’ordinaire plus étrangement calme que la physionomie de Paris pendant une émeute … On se fusille dans un carrefour, dans un passage, dans un cul-de-sac … les cadavres encombrent le pavé. A quelques rues de là, on entend le choc des billes de billard dans les cafés … Les fiacres cheminent; les passants vont dîner en ville. Quelquefois dans le quartier même où l’on se bat. En 1831, une fusillade s’interrompit pour laisser passer une noce. Lors de l’insurrection du 12 mai 1839, rue Saint-Martin, un petit vieux homme infirme traînant une charrette à bras surmontée d’un chiffon tricolore dans laquelle il y avait des carafes remplies d’un liquide quelconque, allait et venait de la barricade à la troupe et de la troupe à la barricade, offrant impartialement des verres de coco … Rien n’est plus étrange; et c’est là le caractère propre des émeutes de Paris qui ne se retrouve dans aucune autre capitale. Il faut pour cela deux choses, la grandeur de Paris et sa gaîté. Il faut la ville de Voltaire et de Napoléon.« V〈ictor〉 H〈ugo: Œuvres complètes〉 Roman 8 〈Paris 1881〉 p 429-431 [a 11 a, 2]
Zum exotischen Motiv, verbunden mit dem der Emanzipation:
»Tous les sérails sont ouverts,
L’Isman dans le vin s’inspire,
L’Orient apprend à lire,
Barrault traverse les mers.«Jules Mercier: L’arche de Dieu (Foi nouvelle Chants et chansons de Barrault, Vinçard … 1831 à 1834 Paris 1 Janvier 1835 I Cahier p 28) [a 12, 1]
»De l’Orient fondez la liberté,
Un cri de Femme, au jour de délivrance,
Va, du sérail, par l’écho répété,
De l’Occident rompre l’affreux silence.«Vinçard: Le 1er départ pour l’Orient (Foi nouvelle Chants et chansons de Barrault, Vinçard … 1831 à 1834 Paris 1 janvier 1835 1 Cahier p 48) [a 12, 2]
Eine sonderbare Strophe aus »Le Départ« von Vinçard:
»Dépouille d’un monde en servage
Les vieux langes et le jargon,
Du Peuple apprend le gros langage,
La chansonnette et le juron.«
Foi nouvelle 1831 à 1834 Paris 1 janvier 1835 p 89/90 [a 12, 3]
»Notre drapeau n’a plus assez du ciel de France,
Aux minarets d’Egypte il faut qu’il se balance,
…
Alors ils nous verront, en travailleurs agiles,
Avec nos lanières de fer
Dompter les sables du désert;
Et comme des palmiers, croîtront partout des villes.«F Maynard: A l’Orient (Foi nouvelle Paris 1 janvier 1835 p 85 et 88) [a 12, 4]
In J Arago’s »Aux juges des insurgés« Flugblatt von 1848 erscheint die Deportation als Instrument kolonialer Entfaltung. Nachdem der Verfasser die sämtlichen überseeischen Besitzungen Frankreichs in bilderreicher Sprache hat Revue passieren lassen, ohne eine von ihnen als Deportationsland geeignet zu finden, faßt er Patagonien ins Auge. Er gibt eine hochpoetische Schilderung des Landes und seiner Einwohnerschaft. »Ces hommes, les plus grands du globe; ces femmes, dont les plus jeunes sont fort appétissantes après une heure de natation; ces antilopes, ces oiseaux, ces poissons, ces eaux phosphorescentes, ce ciel tout léopardé de nuages courant çà et là comme un troupeau de biches errantes … tout cela c’est la Patagonie, tout cela c’est une terre vierge, riche, indépendante … Est-ce que vous craignez que l’Angleterre ne vienne vous dire que vous n’avez pas le droit de poser votre pied sur cette partie du continent américain … Laissez, citoyens, laissez gronder l’Angleterre … et si elle arme … transportez en Patagonie les hommes que vos lois ont frappés; puis vienne le jour de la lutte, et ceux-là même que vous avez exilés seront aux avant-postes, debout, implacables, barricades solides et mouvantes.« [a 12, 5]
Edmé Champion – selfmade-man, Philanthrop (1764-1852)〈.〉 »Toutes les fois qu’il traversait la Cité, il n’oubliait jamais de jeter un coup d’œil dans la Morgue« berichtet von ihm Charles-Louis Chassin: La légende du Petit-Manteau-Bleu Paris (ca 1860) p 15. Champion war Goldschmi〈e〉d gewesen und schützte wahrend der Revolution frühere Kunden aus der Aristokratie, was ihn selbst in Gefahr brachte. [a 12 a, 1]
Balzac in der »Eugénie Grandet« mit Beziehung auf die Zukunftsträume des Geizigen: »L’avenir, qui nous attendait par delà le requiem, a été transposé dans le présent.« Noch wahrer ist das mit Beziehung auf die Zukunftsängste der Armen. [a 12 a, 2]
Aus einer Situationsanalyse des Polizeipräsidenten Gisquet, um 1830. Es heißt da von den Arbeitern: »Ils n’ont pas, comme les classes aisées de la bourgeoisie, la crainte de compromettre, par une plus large extension des principes libéraux, une fortune toute faite … De même que le tiers-état a profité de la suppression des privilèges de la noblesse …, de même la classe ouvrière profiterait aujourd’hui de tout ce que la bourgeoisie perdrait à son tour.« cit Charles Benoist: L’homme de 1848 I (Revue des deux mondes 1 juillet 1913 p 138) [a 12 a, 3]
»La grande populace et la sainte canaille
Se ruaient à l’immortalité.«Aus einem Revolutionslied um 1830 (cit Charles Benoist: L’homme de 1848 I (Revue des deux mondes 1 juillet 1913 p 143) [a 12 a, 4]
Rumford hat in seinen ökonomischen Essays Rezepte zur Verbilligung der philanthropischen Suppen durch Ersatzmittel zusammengestellt. »Ses potages ne sont pas trop chers, puisque pour 11 fr. 16 on a de quoi nourrir, deux fois par jour, 115 personnes: la seule question est de savoir si elles sont vraiment nourries.« Charles Benoist: De l’apologie du travail à l’apothéose de Touvrier (Revue des deux mondes 15 janvier 1913 p 384) Die genannten Suppen wurden verschiedentlich von französischen Industriellen zur Zeit der großen Revolution eingeführt. [a 12 a, 5]
1837 – die ersten Banketts für das allgemeine Wahlrecht und die Petition von 240 000 Unterschriften – eine Zahl, die der der damals Wahlberechtigten gleichkam [a 12 a, 6]
Um 1840 ist der Selbstmord der Vorstellungswelt der Arbeiter geläufig. »On se dispute les exemplaires d’une lithographie représentant le suicide d’un ouvrier anglais par désespoir de ne pouvoir gagner sa vie. Chez Sue lui-même, un ouvrier va se pendre, avec ce billet dans la main: ›Je me tue par désespoir: il m’a semblé que la mort me serait moins dure si je mourais sous le toit de celui qui nous aime et nous défend.‹ L’auteur ouvrier d’un petit livre très lu par les ouvriers, le typographe Adolphe Boyer, se suicide aussi, par désespoir.« Charles Benoist: L’homme de 1848 II (Revue des deux mondes 1 février 1914 p 667) [a 12 a, 7]
Aus Robert (du Var): Histoire de la classe ouvrière (1845/1848): »Tu l’as vu par cette histoire, ô travailleur! quand, esclave, tu eus compris l’évangile, tu devins, d’autorité, serf; quand, serf, tu eus compris les philosophes du XVIIIe siècle, tu devins prolétaire; eh bien! aujourd’hui tu as compris le socialisme …; qui peut t’empêcher de devenir associé? Tu es Roi, Pape, Empereur – sous ce rapport ta destinée est entre tes mains.« cit Charles Benoist: L’homme de 1848 II (Revue des deux mondes 1 février 1914 p 668) [a 13, 1]
Eine Bemerkung Tocquevilles über den Geist der vierziger Jahre: »Les grands propriétaires aimaient à rappeler qu’ils avaient toujours été ennemis de la classe bourgeoise et toujours favorables à la classe populaire; les bourgeois eux-mêmes se souvenaient avec un certain orgueil que leurs pères avaient été ouvriers, et, quand ils ne pouvaient pas remonter … jusqu’à un ouvrier …, ils tâchaient du moins de dater d’un malotru qui eût fait sa fortune par lui-même.« cit Charles Benoist: L’homme de 1848 II (Revue des deux mondes 1 février 1914 p 669) [a 13, 2]
»La question du paupérisme … a traversé en peu d’années des phases bien diverses. Dans les derniers temps de la restauration, le débat roule tout entier sur l’extinction de la mendicité, et la société cherche moins à soulager la misère qu’à … l’oublier en la rejetant dans l’ombre. A la révolution de juillet, une réaction s’opère par la politique. Le parti républicain s’empare du paupérisme, qu’il transforme en prolétariat … Les ouvriers prennent la plume … Les tailleurs, les cordonniers et les typographes, qui formaient alors les corps de métiers révolutionnaires, marchent à l’extrême avant-garde … Vers 1835, la polémique est … suspendue par les nombreuses défaites du parti républicain; vers 1840, elle reprend … et se bifurque … en deux écoles aboutissant, l’une au communisme, l’autre à l’association des intérêts entre l’ouvrier et le maître.« Charles Louandre: Statistique littéraire De la production intellectuelle en France depuis quinze ans (Revue des deux mondes 15 octobre 1847 p 279) [a 13, 3]
Der Blanquist Tridon: »O force, reine des barricades … toi qui brilles dans l’éclair et dans l’émeute … c’est vers toi que les prisonniers tendent leurs mains enchaînées.« cit Charles Benoist: Le »Mythe« de la classe ouvrière (Revue des deux mondes 1 mars 1914 p 105) [a 13, 4]
Gegen Arbeitshäuser, für Einschränkung der Armentaxe: F-M-L Naville: De la charité légale et spécialement des maisons de travail et de la proscription de la mendicité 2 vol Paris 1836 [a 13, 5]
Eine Prägung von 1848: »Dieu est ouvrier.« [a 13 a, 1]
Charles Benoist behauptet bei Corbon: Le secret du peuple de Paris das hochmütige Bewußtsein der zahlenmäßigen Überlegenheit über die anderen Klassen vorzufinden. (Benoist: Le »Mythe« de la classe ouvrière, Revue des deux mondes 1 mars 1914 p 99) [a 13 a, 2]
Die Flugschriften des Jahres 1848 werden von dem Begriff der Organisation beherrscht. [a 13 a, 3]
»En 1867, pouvaient se tenir des conférences où 400 délégués ouvriers appartenant à 117 professions … discutèrent … de l’organisation de Chambres d’ouvriers en syndicats mixtes … Jusque-là toutefois, bien qu’en face d’eux, du côté des patrons, on pût compter 42 Chambres syndicales … les syndicats ouvriers étaient très rares. Avant 1867, en marge et au défi de la loi, on ne citait que les typographes (1839), les mouleurs (1863), les relieurs (1864), les chapeliers (1865). Après les conférences du passage Raoult … ces syndicats se multiplièrent.« Charles Benoist: Le »mythe« de la classe ouvrière (Revue des deux mondes 1 mars 1914 p 111) [a 13 a, 4]
1848 war Toussenel Mitglied der von Louis Blanc präsidierten Commission du travail im Luxembourg. [a 13 a, 5]
London in seiner Bedeutung für Barbier und Gavarni darzustellen. Gavarnis Serie »Was man in London ganz umsonst sieht«. [a 13 a, 6]
Marx sagt im »18ten Brumaire« von den Kooperativen, daß in ihnen die Arbeiterschaft »prinzipiell darauf verzichtet, die alte Welt mit ihren eigenen großen Gesamtmitteln umzuwälzen, vielmehr hinter dem Rücken der Gesellschaft, auf Privatweise, innerhalb seiner beschränkten Existenzbedingungen, seine Erlösung zu vollbringen sucht〈«〉. cit E Fuchs: Die Karikatur der europäischen Völker II (München 1921) p 472 [a 13 a, 7]
Über die von Rodrigues herausgegebnen »Poésies sociales des ouvriers« schreibt die Revue des deux mondes: »Vous passez d’une réminiscence de M. de Béranger à une contrefaçon grossière du genre de M. de Lamartine et de M. Victor Hugo.« (p 966) Und der Klassencharakter dieser Kritik macht sich (p 969) sehr unbefangen bemerkbar, wenn ihr Verfasser vom Arbeiter meint: »S’il prétend concilier l’exercice de son état avec des études littéraires, il éprouvera combien les grandes fatigues du corps nuisent au développement de l’esprit.« Zur Bekräftigung erzählt der Verfasser das Los eines Arbeiterdichters, der verrückt geworden sei. Lerminier: De la littérature des ouvriers (Revue des deux mondes XXVIII Paris 1841) [a 13 a, 8]
Agricol Perdiguiers »Livre du compagnonage« sucht die mittelalterlichzünftigen Formen des Zusammenschlusses zwischen den Arbeitern der neuen Form der Assoziation dienstbar zu machen. Dieser Versuch wurde von Lerminier »De la littérature des ouvriers« (Revue des deux mondes XXVIII Paris 1841 p 955 ff) schroff abgelehnt. [a 14, 1]
Adolphe Boyer: De l’état des ouvriers et de son amélioration par l’organisation du travail Paris 1841. Der Verfasser dieser Schrift war Buchdrucker. Sie hat keinen Erfolg. Er begeht Selbstmord und fordert (nach Lerminier) die Arbeiter auf, seinem Beispiel zu folgen. Die Schrift erschien 1844 in Straßburg deutsch. Sie war sehr gemäßigt und suchte den compagnonnage der Assoziation dienstbar zu machen. [a 14, 2]
»Quand on considère la vie rude et pénible qu’ont à mener les classes laborieuses, on demeure convaincu que, parmi les ouvriers, les hommes les plus remarquables … ne sont pas ceux qui se hâtent de prendre une plume …: ce ne sont pas ceux qui écrivent, mais ceux qui agissent … La division du travail, qui assigne aux uns l’action, aux autres la pensée, est donc toujours dans la nature des choses.« Lerminier: De la littérature des ouvriers (Revue des deux mondes XXVIII Paris 1841 p 975) Und unter agir versteht der Verfasser in erster Linie die Verrichtung von Überstunden! [a 14, 3]
Die Arbeiterassoziationen legten ihre Fonds auf der Sparkasse oder in Schatzanweisungen an. Lerminier: De la littérature des ouvriers Revue des deux mondes Paris 1841 p 963 lobt sie dafür. Ihre Versicherungsinstitutionen, so sagt er weiter, entlasten die öffentliche Fürsorge. [a 14, 4]
Proudhon bekommt von dem Finanzier Millaud eine Einladung zum Diner. »Proudhon s’en tira … en répondant qu’il vivait entièrement au sein de sa famille et qu’il était toujours couché à 9 heures du soir.« Firmin Maillard: La cité des intellectuels Paris 〈1905〉 p 383 [a 14, 5]
Aus einem Gedicht von Dauhéret auf Ledru-Rollin:
»Le drapeau rouge, que tout Français vénère,
C’est le manteau que le Christ a porté.
Rendons hommage au brave Robespierre
Et à Marat, qui le fit respecter.«cit Auguste Lepage: Les cafés politiques et littéraires de Paris Paris 〈1874〉 pu [a 14, 6]
Georg Herwegh: Die Epigonen von 1830 Paris Nov. 1841:
»O nehmt sie fort, die Trikolore,
Die eurer Väter Thaten sah,
Und schreibet warnend an die Thore:
›Hier ist der Freiheit Capua!‹«Georg Herwegh: Gedichte eines Lebendigen II Zürich und Winterthur 1844 p 15 [a 14 a, 1]
Heine über die Bourgeoisie in der Februarrevolution: »Die Strenge, womit das Volk gegen … Diebe verfuhr, die man auf der That ertappte, war manchen … nicht ganz recht, und es ward gewissen Leuten beinahe unheimlich zu Mute, als sie vernahmen, daß man Diebe auf der Stelle erschieße. Unter einem solchen Regimente, dachten sie, ist man am Ende doch seines Lebens nicht sicher.« Heinrich Heine: Die Februarrevolution (Sämtliche Werke ed Wilhelm Bölsche Leipzig Vp 363) [a 14 a, 2]
Amerika in der Hegelschen Philosophie: »Hegel … n’a pas donné d’expression directe à cette conscience de terminer une époque de l’histoire, mais une expression indirecte. Il la manifeste par ce fait qu’il pense, en jetant un regard vers le passé dans ›la vieillesse de l’esprit‹, et en même temps en cherchant une découverte possible dans le domaine de l’esprit, tout en réservant expressément la connaissance de cette découverte. De rares indications sur l’Amérique qui, à cette époque, apparaissait comme le futur pays de la liberté [Anm. A. Ruge, Aus früherer Zeit, IV, p. 72 à 84. Mais déjà Fichte pensa à émigrer en Amérique, lors de l’écroulement de la vieille Europe (Lettre à sa femme du 28 mai 1807).] et sur le monde slave, visent à la possibilité, pour l’esprit universel, d’émigrer hors d’Europe, afin de préparer de nouveaux protagonistes du principe de l’esprit … achevé avec Hegel. ›L’Amérique est donc le pays de l’avenir, dans lequel l’importance de l’histoire universelle doit se manifester, à une époque prochaine, par exemple dans la lutte de l’Amérique du Nord et du Sud.‹ … Mais ›ce qui jusqu’aujourd’hui se passe ici, en Amérique, n’est que l’écho du vieux monde et l’expression d’une vivacité étrangère; et, en tant que pays d’avenir, celui-ci ne nous regarde pas. Le philosophe n’a rien à voir avec des prophéties.‹« [Hegel: Philosophie der Geschichte ed Lasson p 200 (et 779?)] K Löwith: L’achèvement de la philosophie classique par Hegel et sa dissolution chez Marx et Kierkegaard [Recherches philosophiques fondées par A Koyré, Η-Ch Puech, A Spaier IV 1934-1935 Paris p 246/247][a 14 a, 3]
Auguste Barbier stellte das düstere Pendant zur saint-simonistischen Dichtung dar; er verleugnet die Verwandtschaft zu ihr meist ebensowenig wie in diesen Schlußversen des Prologue:
»Si mon vers est trop cru, si sa bouche est sans frein,
C’est qu’il sonne aujourd’hui dans un siècle d’airain.
Le cynisme des mœurs doit salir la parole,
Et la haine du mal enfante l’hyperbole.
Or donc je puis braver le regard pudibond:
Mon vers rude et grossier est honnête homme au fond.«
Auguste Barbier: Poésies Paris 1898 p 4 [a 15, 1]
Ganneau veröffentlicht anonym: Waterloo Paris Au bureau des publications évadiennes 1843 Die Flugschrift ist der Apotheose Napoleons gewidmet – »Jésus le Christ-Abel, Napoleon le Christ-Caïn« (p 8) – und schließt mit der Beschwörung der »Unité Evadienne« (p 15) und der Signatur »Au nom du Grand Evadah, au nom du Grand Dieu, Mère, Père … le Mapah.« (p 16) [a 15, 2]
Ganneau’s »Page prophétique« wurde zum ersten Mal 1840, zum zweiten Mal in der Revolution von 1848 herausgegeben und trägt in letzterer Ausgabe am Kopf folgende Mitteilung: »Cette Page prophétique, saisie le 14 juillet 1840, a été trouvée par le citoyen Sobrier, ex-délégué au département de la police, dans le dossier du citoyen Ganneau (Le Mapah). – (Le rapport porte: ›Page révolutionnaire tirée à 3,500 exemplaires et distribuée sous les portes cochères.‹)« [a 15, 3]
Ganneau’s »Baptême, Mariage« konstituiert die Ere Evadah vom 15 August 1838 an. Das Flugblatt ist rue Saint-Denis 380, passage Lemoine erschienen. Unterzeichnet: Le Mapah. Es verkündet: »Marie n’est plus la Mère: Elle est l’Epouse; Jésus-Christ n’est plus le Fils: Il est l’Epoux. L’ancien monde (compression) finit; Le nouveau monde (expansion) commence!« Es erscheinen »Marie-Eve, unité Génésiaque femelle« und »Christ-Adam, unité Génésiaque mâle« »sous le nom Androgyne Evadam!« [a 15, 4]
»Le ›Devoir Mutuel‹ de Lyon, qui joua un rôle essentiel dans les insurrections de 1831 et de 1834, marque la transition de la vieille Mutualité à la Résistance.« Paul Louis: Histoire de la classe ouvrière en France de la Révolution à nos jours Paris 1927 p 72 [a 15, 5]
Am 15ten Mai 1848 revolutionäre Demonstration der pariser Arbeiter für die Wiederherstellung Polens. [a 15, 6]
»Jésus-Christ …, n’ayant point donné son Code politique, a laissé son œuvre incomplète.« Honoré de Balzac: Le curé de village (Lettre de Gérard à Grossetête) ed Siècle XVII p 183 [a 15 a, 1]
Die meisten Arbeiterenquêten der Frühzeit wurden von Unternehmern, deren Vertretern, Fabrikinspektoren und Verwaltungsbeamten durchgeführt. »Dort, wo die die Untersuchung durchführenden Ärzte und Philanthropen selbst Arbeiterfamilien aufsuchten, geschah es meist in Begleitung der Unternehmer oder deren Stellvertreter. Le Play z. B. empfiehlt Besuche in Arbeiterfamilien, ›wobei man sich der Empfehlung einer sorgfältig ausgesuchten Autorität bedient‹; er rät zu äußerst diplomatischem Verhalten den einzelnen Familienmitgliedern gegenüber, ja zur Zahlung kleiner Entschädigungssummen oder zur Verteilung von Geschenken: man soll ›mit Unterschied die Klugheit der Männer, die Grazie der Frauen, das Wohlverhalten der Kinder loben und in gescheiter Weise an alle kleine Geschenke verteilen.‹ (Les Ouvriers Européens. Paris. Bd. I, S. 223.) Im Laufe der ausführlichen Kritik der Erhebungsmethoden, die Audiganne in den Diskussionen seines Arbeiterkreises aufkommen läßt, spricht man sich über Le Play folgendermaßen aus: »Niemals ist ein falscherer Weg ungeachtet der allerbesten Absichten eingeschlagen worden. Es handelt sich nur um das System. Ein falscher Gesichtspunkt, eine falsche Beobachtungsmethode führt eine gänzlich willkürliche Folge von Vorstellungen herbei, die ohne irgendeine Beziehung zur Realität der Gesellschaft stehen und wo eine unüberwindliche Vorliebe für den Despotismus und die Starrheit durchschaute (Audiganne, a. a. O., S. 61.) Als weit verbreiteten Fehler in der Durchführung von Erhebungen bezeichnet Audiganne die Feierlichkeit, die von den Enquêteuren bei Besuchen von Arbeiterfamilien in Szene gesetzt wird: ›Wenn nicht eine einzige Spezialerhebung unter dem zweiten Kaiserreich irgendein greifbares Resultat ergeben hat, so trägt zu einem großen Teil der Pomp, mit dem man sich umgeben hat, die Schuld daran.‹ (a. a. O., S. 93.) Auch Engels und Marx schildern die Methoden, mit denen die Arbeiter zu Aussagen bei derartigen sozialen Recherchen veranlaßt, ja selbst zur Eingabe von Gesuchen gegen die Verkürzung der Arbeitszeit gebracht wurden.« Hilde Weiß: Die »Enquete Ouvrière« von Karl Marx [Zeitschrift für Sozialforschung hg. von Max Horkheimer V, 1 Paris 1936 p 83/84] Das zitierte Buch von Audiganne sind die »Mémoires d’un ouvrier de Paris« (Paris 1873). [a 15 a, 2]
1854 begab sich die Affäre der Charpentiers, die, auf der Grundlage eines Streikbeschlusses der charpentiers von Paris eine Anklage wegen Verletzung des Koalitionsverbots gegen die Führer der charpentiers zur Folge hatte. Sie wurden vor der ersten Kammer und in der Berufung von Berryer verteidigt. Aus dessen Ausführungen in der Berufungsverhandlung: »Ce ne peut pas être cette résolution sainte, cette résolution libre d’abandonner son travail plutôt que de n’en pas retirer le juste salaire, qui a été punie par la loi. Non! c’est la résolution de contraindre la liberté d’autrui; c’est l’interdiction du travail, l’empêchement de se rendre dans les ateliers … Il faut donc, pour qu’il y ait coalition, qu’il y ait une contrainte à la liberté de l’homme, une violence faite à la liberté d’autrui. Et en effet, si ce n’était pas là le véritable sens des articles 415 et 416, n’y aurait-il pas dans notre loi une inégalité monstrueuse entre la condition des ouvriers et celle des entrepreneurs? Ceux-ci peuvent se concerter entre eux, décider que le prix de travail est trop élevé … La loi … ne punit la coalition des entrepreneurs que lorsqu’il y a concert injuste et abusif … Sans reproduire les mêmes mots, la loi reproduit la même pensée à l’égard des ouvriers. C’est par la saine interprétation de ces articles que vous consacrerez l’égalité de condition qui doit exister entre ces deux classes d’individus.« Berryer: Œuvres Plaidoyers II 1836-1856 Paris 1876 p 245/246 [a 16, 1]
Affaire des charpentiers: »Me Berryer termine sa plaidoirie en s’élevant aux considérations … sur la position actuelle, en France, des classes inférieures condamnées, dit-il, à voir périr à l’hôpital, ou sur le marbre de la morgue, les deux cinquièmes de leurs membres.« Berryer: Œuvres Plaidoyers II 1836-1856 Paris 1876 p 250 (Der Hauptangeklagte in dem Prozeß wurde zu 3 Jahren Gefängnis verurteilt – ein Urteil, das in der Berufung bestätigt wurde.) [a 16, 2]
»Les poëtes ouvriers des derniers temps ont imité les rhythmes de Lamartine … sacrifiant trop souvent ce qu’ils pouvaient avoir d’originalité populaire … Ils s’habillent, ils mettent des gants pour écrire, et perdent ainsi la supériorité que donnent au peuple, quand il sait s’en servir, sa main forte et son bras puissant.« J Michelet: Le peuple Deuxième édition Paris 1846 p 195 An anderer Stelle (p 107) betont der Verfasser den »caractère particulier de tristesse et de douceur« dieser Dichtungen. [a 16, 3]
»Als Engels … in Paris das ›Glaubensbekenntnis‹, mit dessen Ausarbeitung die dortige Bundesgemeinde ihn beauftragt hatte, aufs Papier warf, stieß er sich … an der Bezeichnung, die Schapper und Moll ihrem Entwurf gegeben hatten. Auch die Katechismusform, die für solche auf die Arbeiter berechneten programmatischen Kundgebungen damals üblich war und deren zuletzt noch Considérant und Cabet sich bedient hatten, erschien ihm nicht mehr am Platze.« Gustav Mayer; Friedrich Engels I Berlin 〈1933〉 p 283 [a 16, 4]
Die Gesetzgebung zur Repression der Arbeiterschaft geht bis auf die französische Revolution zurück. Es handelt sich um die Versammlung und die Koalition der Arbeiter, um kollektiv vorgebrachte Lohnforderungen und Streik, die man unter Strafe stellte. »La loi du 17 juin 1791, et celle du 12 janvier 1794, contiennent des mesures qui, jusqu’à ce jour, ont paru suffisantes pour réprimer ces délits.« Chaptal: De l’industrie françoise Paris 1819 II p 351 [a 16 a, 1]
»Weil Marx seit seiner Ausweisung der Boden Frankreichs verschlossen war, entschied sich Engels im August 1846, seinen Wohnsitz nach der französischen Hauptstadt zu verlegen, in der Absicht, die dortigen deutschen Proletarier für ihren revolutionären Kommunismus zu gewinnen. Nun entsprachen jedoch diese Schneider und diese Möbelschreiner und Gerbergesellen, die Grün umwarb, keineswegs dem Proletariertypus, auf den Engels … zählte. Den meisten, die nach Paris gekommen waren, um sich an diesem Vorort der Mode und des Kunstgewerbes für ihren Beruf konkurrenzfähiger zu machen, saß der alte Zunftgeist noch tief im Nacken.« Gustav Mayer: Friedrich Engels Erster Band Friedrich Engels in seiner Frühzeit (Zweite Auflage) Berlin 〈1933〉 p 249/250 [a 16 a, 2]
Das brüsseler »Kommunistische Korrespondenzkomitee« vom Jahre 1846 von Marx und Engels: »Proudhon hatten Marx und er … vergebens zu gewinnen sich bemüht. Wir erfahren von einem erfolglosen Versuch, den Engels jetzt unternahm, um den alten Cabet, das Oberhaupt des experimentell utopischen Kommunismus auf dem Kontinent …, für die Beteiligung an der Korrespondenz zu gewinnen … Erst einige Monate später … knüpfte er zu dem Kreise der Réforme, zu Louis Blanc und namentlich zu Flocon, nähere Beziehungen an.« Gustav Mayer: Friedrich Engels Erster Band: Friedrich Engels in seiner Frühzeit (Zweite Auflage) Berlin 〈1933〉 p 254 [a 16 a, 3]
Guizot schreibt nach der Februarrevolution: »J’ai depuis longtemps un double sentiment: l’un que le mal est beaucoup plus grand que nous ne le croyons et ne le disons; l’autre que nos remèdes sont frivoles et ne vont guère au-delà de la peau. Pendant que j’ai eu mon pays et ses affaires dans les mains, ce double sentiment s’est accru de jour en jour, et à mesure que je réussissais et durais, je sentais que ni mon succès ni ma durée n’allaient au fond, que l’ennemi vaincu gagnait sur moi et que pour le vaincre réellement, il aurait fallu faire des choses qu’il était impossible seulement de dire«, cit Abel Bonnard: Les modérés (Le drame du présent I) Paris 〈1936〉 p 314/315 [a 16 a, 4]
»Um in der Agitation wirkliche Erfolge zu erzielen, muß der einzelne im Namen einer Kollektivität auftreten können … Diese Erfahrung hatte Engels während seiner ersten Pariser Wirkungsperiode machen müssen. Um wieviel leichter erschlossen sich ihm das zweitemal jene Türen, die er offen finden wollte! Weil der französische Sozialismus noch immer in fast allen seinen Schattierungen den politischen Kampf ablehnte, konnte sich Engels in Paris die Kampfgenossen für die herannahende Entscheidungsschlacht nur in den Reihen jener mehr oder weniger staatssozialistisch gesinnten Demokraten suchen, die sich um die Réforme scharten, und die gleich ihm unter der Führung eines Louis Blanc und Ferdinand Flocon die Eroberung der politischen Macht durch die Demokratie als die erste Voraussetzung jeder sozialen Umgestaltung ansahen. Bereit, mit jeder entschieden demokratischen Richtung des Bürgertums Hand in Hand zu gehen, brauchte Engels die Zusammenarbeit mit dieser Partei, auf deren Programm die Abschaffung der Lohnarbeit stand, nicht zu scheuen, obgleich er wissen mußte, wie abgeneigt Ledru-Rollin, ihr parlamentarischer Führer, dem Kommunismus war … Durch frühere Erfahrungen gewitzigt, erschien er bei Louis Blanc als offizieller Abgesandter der Londoner, Brüsseler und rheinischen deutschen Demokraten und als ›Agent der Chartisten‹.« Gustav Mayer: Friedrich Engels Erster Band Friedrich Engels in seiner Frühzeit Berlin 〈1933〉 p 280/281 [a 17, 1]
»Unter der provisorischen Regierung war es Anstand und noch mehr, es war Notwendigkeit, den großmütigen Arbeitern, die, wie man in Tausenden von offiziellen Plakaten abdrucken ließ, ›drei Monat Elend zur Verfügung der Republik bereitstellten‹, es war Politik und Schwärmerei zugleich, ihnen vorzupredigen, die Februarrevolution sei in ihrem eigenen Interesse gemacht, und es handele sich in der Februarrevolution vor allem um die Interessen der Arbeiter. Seit der Eröffnung der Nationalversammlung wurde man prosaisch. Es handelte sich nur noch darum, die Arbeit auf ihre alten Bedingungen, wie der Minister Trelat sagte, zurückzuführen.« Karl Marx: Dem Andenken der Juni-Kämpfer [in Karl Marx als Denker, Mensch und Revolutionär hg von D. Rjazanov Wien Berlin 〈1928〉 p 38 — Erschienen in der Neuen Rheinischen Zeitung ca 28 Juni 1848][a 17, 2]
Schlußsatz des Aufsatzes über die Junikämpfer, der der Darstellung der Maßnahmen folgt, mit denen der Staat das Gedächtnis der Opfer aus der Bourgeoisie ehren wird: »Aber die Plebejer, vom Hunger zerrissen, von der Presse geschmäht, von den Ärzten verlassen, von den Honetten Diebe gescholten, Brandstifter, Galeerensklaven, ihre Weiber und Kinder in noch grenzenloseres Elend gestürzt, ihre besten Lebenden über die See deportiert, – ihnen den Lorbeer um die drohend finstere Stirn zu winden, das ist das Vorrecht, das ist das Recht der demokratischen Presse.« Karl Marx: Dem Andenken der Juni-Kämpfer [in Karl Marx als Denker, Mensch und Revolutionär hg. von D Rjazanov Wien Berlin p 40 – Erschienen Neue Rheinische Zeitung ca 28 Juni 1848][a 17, 3]
Zu Burets »De la misère des classes laborieuses en Angleterre et en France« und Engels »Lage der arbeitenden Klasse in England«: »Charles Andler möchte das Engelssche Buch nur als ›une refonte et une mise au point‹ des Buretschen gelten lassen. Uns zeigte sich eine Übereinstimmung nur darin, daß beide … zum Teil auf dem gleichen Quellenmaterial fußen … Des Franzosen Wertmaßstäbe bleiben im Naturrecht verankert …, während der Deutsche … die ökonomischen und sozialen Entwicklungstendenzen … zur Erklärung … heranzieht. Während Engels die einzige Rettung von der Fortbildung der bestehenden Zustände zum Kommunismus erwartet, setzt Buret seine Hoffnung auf die völlige Mobilisierung des Grundbesitzes, auf Sozialpolitik und ein konstitutionelles Fabriksystem.« Gustav Mayer: Friedrich Engels Erster Band Friedrich Engels in seiner Frühzeit Berlin 〈1933〉 p 195 [a 17 a, 1]
Engels über den Juni-Aufstand: »›Zwischen dem Paris von damals und von jetzt‹, schrieb er in ein wohl für das Feuilleton der Neuen Rheinischen Zeitung bestimmtes Reisetagebuch, ›lag der fünfzehnte Mai und fünfundzwanzigste Juni … Die Granaten Cavaignacs hatten die unüberwindbare Pariser Heiterkeit in die Luft gesprengt; die Marseillaise und der Chant du Départ waren verstummt, nur die Bourgeois summten noch ihr Mourir pour la Patrie zwischen den Zähnen, die Arbeiter, brotlos und waffenlos, knirschten in verhaltenem Groll.« cit Gustav Mayer: Friedrich Engels Erster Band Friedrich Engels in seiner Frühzeit Berlin 〈1933〉 p 317 [a 17 a, 2]
Engels nannte während der Juni-Insurrektion »Ostparis und Westparis die Symbole für die zwei großen feindlichen Lager, in die sich hier zum erster Male die ganze Gesellschaft spalte.« Gustav Mayer: Friedrich Engels Erster Band Friedrich Engels in seiner Frühzeit Berlin 〈1933〉 p 312 [a 17 a, 3]
Marx nennt die Revolution »unseren guten Freund, unseren Robin Hood den alten Maulwurf, der so schnell in der Erde arbeiten kann – die Revolution.« In derselben Rede, zum Schluß: »Im Mittelalter existierte in Deutschland, um die Untaten der Herrschenden zu rächen, ein geheimes Tribunal, das ›Femgericht‹. Wenn an einem Hause ein rotes Zeichen zu sehen war, so wußte man, daß sein Eigentümer der Feme verfallen war. Heute steht auf allen Häusern Europas das geheimnisvolle rote Kreuz. Die Geschichte selbst sitzt zu Gericht – der das Urteil vollstreckt, ist das Proletariat.« Karl Marx: Die Revolutionen von 1848 und das Proletariat. Rede bei der Feier des vierjährigen Bestehens des »People’s Paper« Erschienen in »The People’s Paper« 19 April 1856 [in Karl Marx als Denker, Mensch und Revolutionär hg von D. Rjazanov Wien Berlin 〈1928〉 p 42 u p 43][a 17 a, 4]
Marx nimmt Cabet gegen Proudhon als »respektabel wegen seiner praktischen Stellung zum Proletariat« in Schutz. Marx an Schweitzer London 24. Januar 1865 (Karl Marx Friedrich Engels: Ausgewählte Briefe hg von V. Adoratskij Moskau Leningrad 1934 p 143) [a 18, 1]
Marx über Proudhon: »Die Februarrevolution kam Proudhon in der Tat sehr ungelegen, da er just einige Wochen zuvor unwiderleglich bewiesen hatte, daß ›die Aera der Revolutionen‹ für immer vorüber sei. Sein Auftreten in der Nationalversammlung, so wenig Einsicht in die vorliegenden Verhältnisse es bewies, verdient alles Lob. Nach dem Juniaufstand war es ein Akt großen Mutes. Es hatte außerdem die günstige Folge, daß Herr Thiers in seiner Gegenrede gegen Proudhons Vorschläge, die dann als besondere Schrift veröffentlicht ward, ganz Europa bewies, auf welchem Kleinkinderkatechismus-Piedestal dieser geistige Pfeiler der französischen Bourgeoisie stand. Herrn Thiers gegenüber schwoll Proudhon in der Tat zu einem vorsündflutlichen Kolosse auf … Seine Angriffe gegen Religion, Kirche usw. besitzen … ein großes lokales Verdienst zu einer Zeit, wo die französischen Sozialisten es passend hielten, dem bürgerlichen Voltairianismus des 18. und der deutschen Gottlosigkeit des 19. Jahrhunderts durch Religiosität überlegen zu sein. Wenn Peter der Große die russische Barbarei durch Barbarei niederschlug, so tat Proudhon sein Bestes, das französische Phrasenwesen durch die Phrase niederzuwerfen.« Marx an Schweitzer London 24 Januar 1865 (Karl Marx Friedrich Engels: Ausgewählte Briefe hg v V. Adoratskij Moskau Leningrad 1934 p 143/144 [a 18, 2]
»Amüsiert euch an folgendem: Journal des Economistes, August d. J. enthält in einem Artikel über … den Kommunismus folgendes: … ›M. Marx est un cordonnier, comme un autre Communiste allemand, Weitling, est un tailleur … M. ne sort … point … des formules abstraites et il se garde bien d’aborder aucune question véritablement pratique. Selon lui (gib acht auf den Unsinn) l’émancipation du peuple allemand sera le signal de l’émancipation du genre humain; la tête de cette émancipation serait la philosophie et son cœur le prolétariat. Lorsque tout sera préparé, le coq gaulois sonnera la résurrection germanique … Marx dit qu’il faut créer en Allemagne un prolétariat universel(!!) afin de réaliser la pensée philosophique du communisme.‹« Engels an Marx ca 16 September 1846 (Karl Marx Friedrich Engels(: Briefwechsel) I Band 1844-1853 hg vom Marx-Engels-Lenin-Institut Moskau Leningrad 〈Zürich〉 1935 p 45/46) [a 18, 3]
»Das totale Vergessen der revolutionären bzw. konterrevolutionären Kausalität ist notwendige Folge jeder siegreichen Reaktion.« Engels an Marx Manchester 18 Dezember 1868 anläßlich von E〈ugène〉 Ténots Büchern über den Staatsstreich von 1851 (Karl Marx Friedrich Engels: Ausgewählte Briefe hg von V. Adoratskij Moskau Leningrad 1934 p 209) [a 18, 4]
An Nationalfeiertagen konnte〈n〉 gewisse Objekte gratis aus den monts-de-piété ausgelöst werden. [a 18 a, 1]
Laffitte nennt sich selbst »un citoyen qui possède« cit Abel Bonnard: Les modérés (Le drame du présent I) Paris p 79 [a 18 a, 2]
»La poésie … a consacré la grande erreur de séparation entre la force du Travail et l’Art. Après Alfred de Vigny maudisseur du chemin de fer, Verhaeren invective contre les Villes Tentaculaires. La poésie a fui les formes de la civilisation moderne … Elle n’a pas su voir que dans n’importe quelle activité humaine l’art a des éléments à choisir et qu’il s’affaiblit lorsqu’il nie à tout ce qui l’entoure la possibilité de l’inspirer.« Pierre Hamp: La littérature, image de la société (Encyclopédie française XVI Arts et littératures dans la société contemporaine I p 64,2) [a 18 a, 3]
»Von 1852 bis 1865 lieh Frankreich dem Ausland 4 ½ Milliarden … Unmittelbarer noch als die bürgerlichen Republikaner wurden die Arbeiter von der wirtschaftlichen Entwicklung erfaßt. Die Folgen des Handelsvertrages mit England und die durch den amerikanischen Sezessionskrieg heraufbeschworene Arbeitslosigkeit in der Baumwollindustrie vermittelten ihnen … die Erkenntnis, daß ihre eigene Situation direkt von der internationalen ökonomischen abhing.« S. Kracauer: Jacques Offenbach und das Paris seiner Zeit Amsterdam 1937 p 328 u 330 [a 18 a, 4]
Die Friedenshymne von Pierre Dupont wurde noch während der Weltausstellung 1878 auf den Straßen gesungen. [a 18 a, 5]
1852 Begründung des Crédit mobilier (Péreire) zur Finanzierung der Eisenbahnen; des Crédit foncier; des Bon Marché. [a 18 a, 6]
»Unter dem Einfluß der Opposition gegen die von den Saint-Simonisten angeregte Demokratisierung des Kredits setzte vom Krisenjahr 1857 an eine Reihe von Finanzprozessen ein, in denen Durchstechereien, betrügerische Bankrotte, Vertrauensmißbräuche und künstliche Haussen zur Verhandlung kamen. Gewaltiges Aufsehen erregte der Prozeß gegen Mirès, der 1861 begann und sich jahrelang hinzog.« S Kracauer: Jacques Offenbach und das Paris seiner Zeit Amsterdam 1937 p 262 [a 18 a, 7]
Louis-Philippe zu Guizot: »Wir werden niemals etwas in Frankreich bewirken, und ein Tag wird nahen, an dem meine Kinder kein Brot haben werden.« S Kracauer: Jacques Offenbach und das Paris seiner Zeit Amsterdam 1937 p 139 [a 18 a, 8]
Viele Manifeste sind dem kommunistischen vorausgegangen. (1843 Considérants »Manifeste de la démocratie pacifique«.) [a 19, 1]
Fourier spricht von den savetiers als »gens aussi polis que d’autres en association«. Fourier: Le nouveau monde industrielle et sociétaire Paris 1829 p 221 [a 19, 2]
1822 hatte Frankreich nur 16 000 passiv und 110 000 aktiv Wahlberechtigte. Nach dem Gesetz von 1817 war man passiv wahlberechtigt mit 40 Jahren und 1000 frcs, aktiv mit 30 Jahren und 300 frcs direkter Steuern. (Säumigen Steuerzahlern legte man einen Mann (Soldaten?) in Garnison, für den sie bis zur Abgeltung ihrer Verpflichtungen zu sorgen hatten.) [a 19, 3]
Proudhon über Hegel: »L’antinomie ne se résout pas; là est le vice fondamental de toute la philosophie hégélienne. Les deux termes dont elle se compose, se balancent … Une balance n’est point une synthèse.« »… N’oublions pas«, fügt Cuvillier hinzu, »que Proudhon avait été longtemps comptable.« An anderer Stelle spricht Proudhon von den seine Philosophie bestimmenden Gedanken als »idées élémentaires, communes à la tenue des livres et à la métaphysique«. Armand Cuvillier: Marx et Proudhon (A la lumière du marxisme II Paris 1937 p 180/181) [a 19, 4]
Den folgenden Grundgedanken Proudhons findet Marx in der »Heiligen Familie« schon 1830 bei dem englischen Ökonomen Sadler dargestellt. Proudhon sagt: »[Cette force immense qui résulte de l’union et de l’harmonie des travailleurs, de la convergence et de la simultanéité de leurs efforts, le capitaliste ne l’a pas payée.‹ C’est ainsi que 200 grenadiers ont réussi, en quelques heures, à élever sur la place de la Concorde l’obélisque de Louqsor, tandis qu’un seul, travaillant 200 jours, ne serait parvenu à aucun résultat. ›Séparez les travailleurs l’un de l’autre, il se peut que la journée payée à chacun surpasse la valeur de chaque produit individuel: mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Une force de mille hommes agissant pendant vingt jours a été payée comme la force d’un seul le serait pendant 55 années; mais cette force de mille a fait en vingt jours ce que la force d’un seul, répétant son effort pendant un million de siècles, n’accomplirait pas: le marché est-il équitable?‹« Armand Cuvillier: Marx et Proudhon (A la lumière du marxisme II Paris 1937 p 196) [a 19, 5]
Zum Unterschied von Saint-Simon und Fourier desinteressiert Proudhon sich an der Historie. »L’histoire de la propriété, chez les nations anciennes, n’est plus pour nous qu’une affaire d’érudition et de curiosité.« (cit Cuvillier: Marx et Proudhon 〈lc〉 p 201) Konservatismus verbunden mit Mangel an historischem Sinn ist ebenso kleinbürgerlich wie Konservatismus verbunden mit historischem Sinn feudal ist. [a 19 a, 1]
Proudhons Apologie des Staatsstreichs; sie findet sich in seinem Brief an Louis Napoléon vom 21 April 1858, wo über das dynastische Prinzip ausgeführt wird »que ce principe, qui n’était autre, avant 89, que l’incarnation, dans une famille élue, du droit divin ou de la pensée religieuse, … est aujourd’hui ou peut se définir … l’incarnation dans une famille élue du droit humain ou de la pensée rationnelle de la révolution.« (cit Armand Cuvillier: Marx et Proudhon – A la lumière du marxisme II Première partie Paris 1937 p 219) [a 19 a, 2]
Cuvillier stellt Proudhon als Vorläufer eines »socialisme national« im Sinne des Faschismus dar. [a 19 a, 3]
»Proudhon a cru qu’on pouvait supprimer les revenus sans travail et la plus-value sans changer l’organisation de la production … Proudhon a conçu ce rêve insensé de socialiser l’échange dans un milieu de production non socialisé.« A Cuvillier: Marx et Proudhon (A la lumière du marxisme II Première partie Paris 1937 p 210) [a 19 a, 4]
»La valeur mesurée par le travail … est …, aux yeux de Proudhon, le but même du progrès. Pour Marx, il en est tout autrement. La détermination de la valeur par le travail n’est pas un idéal, c’est un fait: elle existe dans notre société actuelle.« Armand Cuvillier: Marx et Proudhon (A la lumière du marxisme II Première partie Paris 1937 p 208) [a 19 a, 5]
Proudhon hat sich höchst gehässig gegen Fourier geäußert, nicht minder abfällig gegen Cabet. Letzteres hat Marx ihm verübelt, der in Cabet, seiner politischen Rolle in der Arbeiterschaft wegen, einen höchst respektablen Mann sah, [a 19 a, 6]
Blanqui’s Ausruf beim Betreten des Salons der Mlle de Montgolfier am Abend des 29 Juli 1830: »Enfoncés, les Romantiques!« [a 19 a, 7]
Beginn der Juni-Insurrektion: »Le 19 juin, on annonce la dissolution des Ateliers nationaux comme imminente, la foule se masse autour de l’Hôtel de Ville. Le 21 juin, le Moniteur annonce que, le lendemain, les ouvriers de dix-sept à vingt-cinq ans seront enrôlés dans l’armée ou dirigés sur la Sologne et autres régions. Ce fut ce dernier expédient qui exaspéra le plus les ouvriers parisiens. Tous ces hommes habitués au fin travail des doigts, devant un établi et un étau, se refusèrent à l’idée d’aller remuer des terres et tracer des routes dans un pays de marécages. Un des cris de l’insurrection fut: ›On n’part pas! On n’part pas!‹« Gustave Geffroy: L’enfermé Paris 19 261 p 193 [a 20, 1]
Blanqui im Libérateur, mars 1834: »Il démolit par une comparaison le fameux lieu commun: ›Les riches font travailler le pauvres‹. ›A peu près, dit-il, comme les planteurs font travailler les nègres, avec cette différence que l’ouvrier n’est pas un capital à ménager comme l’esclave‹.« Gustave Geffroy: L’enfermé Paris 1926 I p 69 [a 20, 2]
Motive Garats vom 2 April 1848: »Etablissement d’un cordon sanitaire autour des demeures des riches, destinés à mourir de faim.« Gustave Geffroy: L’enfermé Paris 1926 I p 152 [a 20, 3]
Refrain von 1848:
»Chapeau bas devant la casquette,
A genoux devant l’ouvrier!« [a 20, 4]
50 000 Arbeiter in der pariser Juni-Insurrektion. [a 20, 5]
Proudhon definiert sich selbst »homme nouveau, homme de polémique, non de barricades; homme qui aurait pu arriver à son but en dînant tous les jours avec le préfet de police, et prenant tous les De la Hodde du monde pour confidents.« So 1850 (cit Geffroy: L’enfermé Paris 1926 I p 180/181) [a 20, 6]
»Sous l’Empire et jusqu’à la fin, il y eut un renouveau et un développement des idées du dix-huitième siècle … On se dit volontiers, en ce temps-là, athée, matérialiste, positiviste, et le républicain vaguement religiosâtre ou nettement catholique de 1848, devint une … curiosité.« Gustave Geffroy: L’enfermé Paris 1897 p 247 [a 20, 7]
Blanqui im Verfahren wegen der Société des amis du peuple auf die Frage des Präsidenten: »Quelle est votre profession? Blanqui. Prolétaire. Le president. Ce n’est pas là une profession. Blanqui. Comment, ce n’est pas une profession! c’est la profession de trente millions de Français qui vivent de leur travail et qui sont privés de droits politiques. Le président. Eh bien! soit. Greffier, écrivez que l’accusé est prolétaire.« Défense du citoyen Louis Auguste Blanqui devant la cour d’assises 1832 Paris 1832 p 4 [a 20, 8]
Baudelaire über Barbiers »Rimes héroïques«: »Ici, pour tout dire, apparaît et éclate toute la folie du siècle dans son inconsciente nudité. Sous prétexte de faire des sonnets en l’honneur des grands hommes, le poëte a chanté le paratonnerre et la machine à tisser. On devine jusqu’à quel prodigieux ridicule cette confusion d’idées et de fonctions pourrait nous entraîner.« Baudelaire: L’art romantique (éd Hachette III) Paris p 336 [a 20 a, 1]
Blanqui in seiner Défense du citoyen Louis Auguste Blanqui devant la cour d’assises 1832 Paris 1832 p 14: »Vous avez confisqué les fusils de juillet. Oui; mais les balles sont parties. Chacune des balles des ouvriers parisiens est en route pour faire le tour du monde.« [a 20 a, 2]
»L’homme de génie représente à la fois la plus grande force et la plus grande faiblesse de l’humanité … Il raconte aux nations que l’intérêt du faible et l’intérêt du génie se confondent, qu’on ne peut attenter à l’un sans attenter à l’autre, et qu’on aura touché la dernière limite de la perfectibilité, alors seulement que le droit du plus faible aura remplacé sur le trône le droit du plus fort.« Auguste Blanqui: Critique sociale Paris 1885 II Fragments et notes p 46 (Propriété intellectuelle – 1867 – Schluß!) [a 20 a, 3]
Über den Beifall, den Lamartine Rothschild zollte: »M. de Lamartine, ce capitaine Cook de la politique au long cours, ce Sindbad le Marin du XIXe siècle, … ce voyageur non moins errant qu’Ulysse, mais plus heureux, qui a pris les sirènes pour équipage de son navire et promené sur les rivages de tous les partis la musique si variée de ses convictions, M. de Lamartine, dans son odyssée sans fin, vient d’échouer doucement sa barque éolienne sous les portiques de la Bourse.« Auguste Blanqui: Critique sociale Paris 1885 II p 100 (Lamartine et Rothschild Avril 1850) [a 20 a, 4]
Doktrin von Blanqui: »Non! Personne ne sait ni ne détient le secret de l’avenir. A peine des pressentiments, des échappées de vue, un coup d’œil fugitif et vague, sont-ils possibles au plus clairvoyant. La Révolution seule, en déblayant le terrain, éclaircira l’horizon, lèvera peu à peu les voiles, ouvrira les routes ou plutôt les sentiers multiples qui conduisent vers l’ordre nouveau. Ceux qui prétendent avoir, dans leur poche, le plan complet de cette terre inconnue, ceux-là sont des insensés.« Auguste Blanqui: Critique sociale Paris 1885 II p 115/116 (Les sectes et la Révolution Octobre 1866) [a 20 a, 5]
Parlament von 1849: »Dans un discours prononcé à l’Assemblée Nationale, le 14 avril, M. Considérant, le disciple … de Fourier, disait: ›Les temps de l’obéissance sont passés; les hommes se sentent égaux, ils veulent être libres: ils ne croient pas et ils veulent jouir: voilà l’état des âmes.‹ – ›Dites l’état des brutes!‹ interrompit M. de Larochejaquelein.« LB Bonjean: Socialisme et sens commun Paris Mai 1849 p 28/29 [a 21, 1]
»M. Dumas (de l’Institut) s’écrie: ›La poussière aveuglante des folles théories soulevées par la trombe de Féyrier s’est dissipée dans l’espace, et, derrière ce nuage évanoui, Tannée 1844 reparaît avec sa majestueuse figure et sa sublime doctrine des intérêts matériels.‹« Auguste Blanqui: Critique sociale Paris 1885 II p 104 (Discours de Lamartine 1850) [a 21, 2]
Blanqui schreibt eine Polemik »Rapport gigantesque de Thiers sur l’assistance publique« im Jahre 1850. [a 21, 3]
»La matière va-t-elle … faire figure d’un point dans le ciel? ou se contenter de mille, dix mille, cent mille points qui élargiraient d’une insignifiance son maigre domaine? Non, sa vocation, sa loi, c’est l’infini. Elle ne se laissera point déborder par le vide. L’espace ne deviendra pas son cachot.« A Blanqui: L’éternité par les astres Hypothèse astronomique Paris 1872 p 54 [a 21, 4]
Am Ende einer Versammlung, Beginn der dritten Republik: »Louise Michel annonça qu’on allait quêter pour les femmes et les enfants des camarades emprisonnés. ›Ce que nous vous demandons, dit-elle, ce n’est pas un acte de charité, c’est un acte de solidarité, parce que ceux qui font la charité, quand ils l’ont faite, ils sont fiers et ils sont contents; mais nous, nous ne sommes jamais satisfaits.‹« Daniel Halévy: Pays parisiens Paris 〈1932〉 p 165 [a 21, 5]
Nouvelle Némésis von Barthélemy Paris 1844 enthält XVI Les Travailleurs – eine »Satire«, die sich der Forderungen der Arbeiterschaft mit großem Nachdruck annimmt. Barthélemy kennt schon den Begriff Proletarier. [a 21, 6]
Barrikaden〈:〉 »A neuf heures du soir, par une belle nuit d’été, Paris sans réverbères, sans boutiques, sans gaz, sans voitures, offrait un tableau unique de désolation. A minuit, avec ses pavés amoncelés, ses barricades, ses murs en ruines, ses mille voitures échouées sur la boue, ses boulevards dévastés, ses rues noires désertes, Paris ne ressemblait à rien de connu; Thèbes et Herculanum sont moins tristes: pas un retentissement, pas une ombre, pas un vivant, hormis l’ouvrier immobile qui gardait la barricade avec son fusil et ses pistolets. Pour cadre à tout cela, le sang de la veille et l’incertitude du lendemain.« Barthélemy et Méry: L’insurrection Poème Paris 1830 p 52/53 (Notes) ◼ pariser Antike ◼ [a 21 a, 1]
»Qui le croirait! on dit qu’irrités contre l’heure,
De nouveaux Josués, au pied de chaque tour,
Tiraient sur les cadrans pour arrêter le jour.«Hierzu die Anmerkung: »C’est un trait unique dans l’histoire d’une insurrection; c’est le seul acte de vandalisme exercé par le peuple contre les monumens publics, et quel vandalisme! qu’il exprime bien la situation des esprits au 28 au soir! avec quelle rage on regardait tomber l’ombre, et l’impassible aiguille marcher vers la nuit comme dans les jours ordinaires! Ce qu’il y a de plus singulier dans cet épisode, c’est qu’on a pu le remarquer à la même heure, dans différens quartiers; ce ne fut pas une idée isolée, un caprice d’exception, mais un sentiment à peu près général.« Barthélémy et Méry: L’insurrection Poème dédié aux Parisiens Paris 1830 p 22 u 52 [a 21 a, 2]
In der Juli-Revolution war kurze Zeit ehe die Trikolore sich durchsetzte, die schwarze Fahne die der Insurgenten. Mit ihr war der weibliche 〈Körper〉 bedeckt, wohl derselbe, der beim Schein der Fackeln durch Paris getragen wurde. Vgl Barthélemy et Méry: L’insurrection Paris 1830 p 51 [a 21 a, 3]
Eisenbahnpoesie:
»Sous le niveau du rail il faut que chacun passe;
Partout où le wagon coupe le libre espace,
On ne distingue plus les petits et les grands:
L’égalité du sol égalise les rangs.«Barthélemy: Nouvelle Némésis XII La Vapeur Paris 1845 〈p 46〉 [a 22, 1]
Beginn der préface von Tissot: De la manie du suicide et de l’esprit de révolte: »Il est impossible de ne pas être frappé de deux phénomènes moraux qui sont comme l’expression d’un mal qui travaille maintenant d’une manière particulière les membres et le corps de la société: nous voulons parler du Suicide et de la Révolte. Impatient de toute loi, mécontent de toute position, on se soulève également contre la nature humaine et contre l’homme, contre soi-même et contre la société … L’homme de notre temps, et le Français plus qu’aucun autre peut-être, après avoir rompu violemment avec le passé … effrayé d’un avenir dont l’horizon lui paraît déjà si sombre, se tue s’il est faible … sans foi à … l’amélioration des hommes, et surtout à une providence qui sait tirer le bien du mal.« J Tissot: De la manie du suicide et de l’esprit de révolte Paris 1840 〈p V〉. Der Verfasser gibt in der Vorrede an, die Bücher von Frégier, Villermé und Degéraude bei der Abfassung seines Werkes nicht gekannt zu haben, [a 22, 2]
Anläßlich des Méphis von Flora Tristan: »Ce nom de prolétaire qui, aujourd’hui, se définit de façon si précise, … sonne alors tout romantiquement et ténébreusement. C’est le paria, le galérien, le carbonaro, l’artiste, le régénérateur, l’adversaire des Jésuites. De sa rencontre avec une belle Espagnole naîtra la femme inspirée qui doit rédimer le monde.« Jean Cassou: Quarante-huit Paris 〈1939〉 p 12 [a 22, 3]
Blanqui spricht anläßlich der exotischen Unternehmungen von Considérant und Cabet von expériences »dans un coin de l’espèce humaine«, cit Cassou: Quarante-huit 〈lc〉 p 41 [a 22, 4]
Die Arbeitslosigkeit in England ist zwischen 1850 und 1914 nur einmal über 8 % gestiegen. (1930 betrug sie 16 %.) [a 22, 5]
»Le typographe Burgy, dans son livre Présent et avenir des ouvriers, prêche … le célibat à ses compagnons: le tableau de la condition prolétarienne ne serait pas complet si l’on n’y ajoutait le trait de la résignation et du défaitisme.« Jean Cassou: Quarante-huit Paris 〈1939〉 p 77 [a 22 a, 1]
Guizot in »Du mouvement et de la résistance en politique«: »Tout homme qui, avec une intelligence au-dessus de la moyenne, n’a ni propriété ni industrie, c’est-à-dire ne veut pas ou ne peut pas payer un tribut à l’Etat, doit être considéré comme un homme dangereux au point de vue politique.« cit Cassou: Quarante-huit p 152 [a 22 a, 2]
Guizot 1837 in der Kammer: »Vous n’avez, contre cette disposition révolutionnaire des classes pauvres, vous n’avez aujourd’hui, indépendamment de la force légale, qu’une seule garantie efficace, puissante: le travail, la nécessité incessante du travail.« cit Cassou lc p 152/153 [a 22 a, 3]
Blanqui in der lettre à Maillard: »Grâce au ciel, il y a beaucoup de bourgeois dans le camp Prolétaire. Ce sont eux qui en font même la principale force, ou du moins la plus persistante. Ils lui apportent un contingent de lumières que le peuple malheureusement ne peut pas encore fournir. Ce sont des Bourgeois qui ont levé les premiers le drapeau du Prolétariat, qui ont formulé les doctrines égalitaires, qui les propagent, qui les maintiennent, les relèvent après leur chute. Partout ce sont des bourgeois qui conduisent le peuple dans ses batailles contre la Bourgeoisie.« An einer unmittelbar folgenden Stelle wird die Ausbeutung des Proletariats als politischen Stoßtrupps durch die Bourgeoisie behandelt. Maurice Dommanget: Blanqui à Belle-Ile 〈Paris 1935〉 p 176/177 [a 22 a, 4]
»A la misère, terrible fléau qui vous harcèle sans trêve, il faut opposer un remède aussi terrible, et le célibat paraît le plus certain parmi ceux que la science sociale vient nous indiquer.« Im Anschluß an einen Hinweis auf Malthus: »De nos jours l’impitoyable Marcus [wohl für Malthus], sondant les sinistres conséquences d’un accroissement de population sans limites …, a osé proposer d’asphyxier tous les enfants d’indigents au-dessus de trois par famille, et de récompenser les mères pour l’accomplissement d’un acte d’une si cruelle nécessité … Voilà le dernier mot des économistes de l’Angleterre!« [Jules Burgy:] Présent et avenir des ouvriers Paris 1847 p 30, 32/3 [a 22 a, 5]
»Il est, il est sur terre une infernale cuve,
On la nomme Paris; c’est une large étuve,
Une fosse de pierre aux immenses contours
Qu’une eau jaune et terreuse enferme à triples tours;
C’est un volcan fumeux et toujours en haleine
Qui remue à longs flots de la matière humaine.«Auguste Barbier: Jambes et Poèmes Paris 1845 p 65 (La Cuve) [a 23, 1]
»La race de Paris, c’est le pâle voyou
Au corps chétif, au teint jaune comme un vieux sou;
C’est cet enfant criard que l’on voit à toute heure
Paresseux et flânant, et loin de sa demeure
Battant les maigres chiens, ou le long des grands murs
Charbonnant en sifflant mille croquis impurs;
Cet enfant ne croit pas, il crache sur sa mère,
Le nom du ciel pour lui n’est qu’une farce amère.«
Auguste Barbier lc p 68 (La Cuve) Hugo hat in der Figur von Gavroche diese Züge schon retuschiert. [a 23, 2]