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[Die Seine, ältestes Paris]

Vers 1830: »Le quartier était plein de ces jardins dont Hugo a laissé la description dans Ce qui se passait aux Feuillantines. Le Luxembourg, bien plus grand qu’aujourd’hui, était bordé directement par les maisons, chaque propriétaire avait une clef du jardin et eût pu s’y promener toute la nuit.« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris Paris 1926 p 367 [l 1, 1]

»Rambuteau fit planter« – auf dem Boulevard Saint-Denis und Bonne-Nouvelle – »deux rangées d’arbres pour remplacer ceux, anciens et beaux, qui avaient passé dans les barricades de 1830.« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris p 382 [l 1, 2]

»Les ménagères vont puiser leur eau à la Seine, les quartiers éloignés sont alimentés par les porteurs d’eau.« (Julimonarchie) Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris p 388/389 [l 1, 3]

Vor Haussmann: »Avant lui, les anciens aqueducs ne pouvaient amener l’eau plus haut qu’un deuxième étage.« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris p 418 [l 1, 4]

»L’anglomanie … agit sur les idées depuis la Révolution, sur les modes depuis Waterloo. De même que les Constituants copiaient les institutions, on va copier les parcs et les squares de Londres.« Dubech-D’Espezel lc p 404 [l 1, 5]

»La voie de la Seine commença, on le voit dans Strabon, à être utilisée et apréciée. Lutèce devint le centre d’une corporation de nautes ou mariniers qui, au temps de Tibère, élevèrent à l’empereur et à Jupiter l’autel fameux qui fut retrouvé sous Notre-Dame en 1711.« Dubech-D’Espezel lc p 18 [l 1, 6]

»L’hiver n’y est pas rude. On y voit de bonnes vignes et des figuiers mêmes, depuis qu’on prend soin de les revêtir de paille.« Julien im »Misopogon«. Dubech-D’Espezel lc p 25 [l 1, 7]

»Die Seine scheint die Pariser Luft auszuhauchen bis an ihre Mündung.« Friedrich Engels: Von Paris nach Bern Die neue Zeit Stuttgart 1899 XVII, 1 p 11 [l 1, 8]

»S’il est maintenant conquis de lire dans les jardins publics, il y est défendu de fumer, la liberté, comme on commence à dire, n’étant pas la licence.« Nadar: Quand j’étais photographe Paris 〈1900〉 p 284 (1830 et environs) [l 1, 9]

»Nous verrons tout à l’heure dresser l’Obélisque rapporté hier de Louqsor par le prince de Joinville. On est ému, car des bruits courent qui ne doivent pas rassurer l’ingénieur Lebas, commis à l’érection: les Anglais, toujours jaloux … auraient soldé un traître pour scier l’intérieur des câbles: oh! ces Anglais!« Nadar: Quand j’étais photographe Paris p 291 (1830 et environs) [l 1, 10]

1848 wurden in Paris Freiheitspappeln gepflanzt. Thiers: »Peuple, tu grandiras.« 1850 wurden sie auf Veranlassung des Polizeipräsidenten Carlier abgesägt. [l 1, 11]

Nach der Julirevolution⁠〈:〉 »Die Unzahl gefällter Bäume auf dem Wege nach Neuilly, den Champs élisées, den Boulevards. Auf dem Boulevard des Italiens steht kein einziger Baum mehr.« Friedr⁠〈ich〉 von Raumer: Briefe aus Paris und Frankreich im Jahre 1830 Lpz 1831 II p 146/7 [l 1, 12]

»Man sieht Gärten, freilich nur nach Quadratschuhen zu messen, allein sie bieten doch ein Plätzchen dar um im Grünen ein Buch zu lesen; hie und da zwitschert sogar ein Vogel. – Vollends aber ist der Platz St. Georges ein sehr anmuthiger. Hier haben sich ländlicher und städtischer Geschmack die Hand gereicht; er ist von Gebäuden umgeben die auf der einen Seite die Stadt, auf der Kehrseite das Land zeigen.« Dazu Springbrunnen, Terrassen, Treibhäuser, Blumenbeete. L Rellstab: Paris im Frühjahr 1843 Briefe, Berichte und Schilderungen Lpz 1844 I p 55/56 [l 1 a, 1]

»Paris est entre deux nappes, une nappe d’eau et une nappe d’air. La nappe d’eau, gisante à une assez grande profondeur souterraine … est fournie par la couche de grès vert située entre la craie et le calcaire jurassique; cette couche peut être représentée par un disque de vingt-cinq lieues de rayon; une foule de rivières et de ruisseaux y suintent; on boit la Seine, la Marne, l’Yonne, l’Oise, l’Aisne, le Cher, la Vienne et la Loire dans un verre d’eau du puits de Grenelle. La nappe d’eau est salubre, elle vient du ciel d’abord, de la terre ensuite; la nappe d’air est malsaine, elle vient de l’égout.« Victor Hugo: Œuvres complètes Roman 9 Paris 1881 p 182 (Les Misérables) [l 1 a, 2]

Anfang des neunzehnten Jahrhunderts wurden noch trains de bois (Flöße?) die Seine hinuntergeführt und Ch L Viel bemängelt in seiner Schrift »De l’impuissance des mathématiques pour assurer la solidité des bâtiments⁠〈«〉 die Pfeiler des pont du Louvre, an denen solche trains de bois zerschellt seien. [l 1 a, 3]

Über die filets de Saint-Cloud spricht u. a. Mercier (Tableau de Paris Amsterdam 1782 III p 197): »Les corps des malheureux qui se noient … s’arrêtent, excepté pendant les temps de glaces, aux filets de Saint-Cloud.« Viele, u. a. Dulaure, sprechen von diesen Netzen; andere wie Gozlan und Touchard-Lafosse bestreiten, daß es sie gegeben hat. In den Archiven von Paris findet sich kein Hinweis auf sie. Die Überlieferung behauptet, sie seien im Jahre 1810 entfernt worden. Nach Firmin Maillard: Recherches historiques et critiques sur la Morgue Paris 1860 Das letzte Kapitel dieses Buches (p 137): »Les filets de Saint-Cloud⁠〈«〉. [l 1 a, 4]

Über »Une rivière souterraine dans Paris«, die Anfang des 17ten Jahrhunderts zum großen Teil abgedeckt wurde: »Le ruisseau … ainsi … descendait un peu la pente jusque vers la maison qui, au XVe siècle déjà, avait deux Saumons pour enseigne, et dont le passage de ce nom a pris la place. Là, s’étant grossi des eaux qui venaient des Halles, il s’engouffrait sous terre, à l’endroit où s’ouvre aujourd’hui la rue Mandar, et où l’entrée du grand égout, longtemps béante, donna passage aux bustes de Marat et de Saint-Fargeau … après thermidor … Le ruisseau se perdait … dans la Seine bien au-dessous de la ville … C’était bien assez que le ruisseau fangeux empestât au passage les quartiers qu’il traversait et qui formaient une des parties les plus populeuses de Paris … Quand la peste venait s’y abattre, on la voyait poindre d’abord dans les rues dont le ruisseau, par son infect voisinage, faisait d’avance un foyer de pestilence.« Edouard Fournier: Enigmes des rues de Paris Paris 1860 p 18/19, 21/22 (Une rivière souterraine dans Paris) [l 2, 1]

»On se rappelle la lampe divine au bec d’argent, aux lueurs ›blanches comme la lumière électrique‹ qui, dans les Chants de Maldoror, descend lentement la Seine en traversant Paris. Plus tard, à l’autre extrémité du Cycle, dans Fantômas, la Seine connaîtra aussi vers le Quai de Javel d’inexplicables lueurs errant dans ses profondeurs.« Roger Caillois: Paris, mythe moderne (N⁠〈ouvelle〉 R⁠〈evue〉 F⁠〈rançaise〉 XXV 284 1 mai 1937 p 687) [l 2, 2]

»Auch die Seinekais verdanken Haussmann die letzte Vollendung. Jetzt erst wurden die Promenaden oben und die Bäume unten am Ufer angepflanzt, die … die große Straße, die der Fluß darstellt, mit den Avenuen und Boulevards auch in der Form verbinden.« Fritz Stahl: Paris Berlin 〈1929〉 p 177 [l 2, 3]

»Si Lutèce n’était pas encore en relations directes avec les grandes villes du Nord, elle était sur la route commerciale qui doublait le fleuve par terre … C’était la grande voie romaine de la rive droite, qui deviendra la rue Saint-Martin. Au carrefour de Château-Landon se détachait une seconde route, celle de Senlis. Une troisième, la route de Melun, chaussée lancée sur un marais profond vers la Bastille, existait peut-être dès le Haut-Empire …: ce sera la rue Saint-Antoine.« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris Paris 1926 p 19 [l 2, 4]

»Partant des boulevards, descendez la rue de Rougemont: vous verrez que lie Comptoir d’Escompte occupe le fond d’une dépression accusée: vous êtes dans le premier lit de la Seine.« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris Paris 1926 p 14 [l 2 a, 1]

»Die Bürgerstadt, Paris-Ville, scharf unterschieden von Paris-Cité, wuchs auf dem rechten Ufer und auf den Brücken, die damals überall bebaut wurden. Der maßgebende Teil waren die Kaufleute, unter denen wieder die Hanse derer führte, die Handel zu Wasser trieben. Der bedeutendste Markt entstand an der Stelle, wo die Straße, auf der die Seefische ankamen, und die Straße, auf der die Marschenbauern der Umgegend ihr Gemüse nach der Stadt brachten, sich kreuzten, bei der Kirche St. Eustache. Es ist dieselbe Stelle, an der sich heute die Zentralhallen erheben.« Fritz Stahl: Paris Berlin 〈1929〉 p 67 [l 2 a, 2]