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[Reproduktionstechnik, Lithographie]
»La philosophie sociale de l’art du lithographe à ses débuts … Après les artisans de la légende napoléonienne, après les littéraires du romantisme, il y eut les chroniqueurs de la vie française au jour le jour. Les premiers préparèrent à leur insu les bouleversements politiques, les seconds hâtèrent l’évolution littéraire, les derniers firent la délimination très profonde entre le peuple et l’aristocratie.« Henri Bouchot: La lithographie Paris 〈1895〉 p 112,114 [i 1, 1]
Pigal stellt das Volk dar, Monnier das Kleinbürgertum, Lami die Aristokratie. [i 1, 2]
Genau wie später bei der Photographie ist in den Anfängen der Lithographie die bedeutsame Betätigung der Amateure zu beobachten. [i 1, 3]
»La lutte entre la lithographie et la gravure au pointillé s’accentue de jour en jour, et, dès la fin de 1817, la victoire reste à la lithographie, grâce à la caricature.« Henri Bouchot: La lithographie Paris 〈1895〉 p 50 [i 1, 4]
Die Lithographien vor 1817 rechnet Bouchot zu den Inkunabeln der Lithographie. Von 1818 bis 1825 vermehrt sich die lithographische Produktion Frankreichs beständig. Die politischen Umstände haben dort diesen Aufschwung weit merklicher als in den andern Ländern gemacht. Auch ihr Niedergang ist zum Teil politisch bedingt; er fällt mit dem Aufstieg Napoleons III zusammen. »Le fait est … que, de la pléiade du règne de Louis-Philippe, il restait à peine dans les premières années de Napoléon III quatre ou cinq survivants fatigués, désorientés.« Henri Bouchot: La lithographie Paris p 182 [i 1, 5]
Die Lithographie gegen Ende des zweiten Kaiserreichs: »Tant de choses luttaient contre elle! L’eau-forte ressuscitée, les procédés héliographiques naissants, un peu le burin. Matériellement elle sombrait sous les difficultés du tirage, l’encombrement de ces pierres très lourdes que les éditeurs ne consentaient plus à emmagasiner comme autrefois.« Henri Bouchot: La lithographie Paris p 193 [i 1, 6]
Raffet unternahm eine lithographische Reportage in der Krim. [i 1, 7]
1835-1845〈:〉 »Es darf … nicht übersehen werden, daß der ungeheuere Großbetrieb, der damals im Holzschnitt einsetzte, sehr rasch zum Fabrikmäßigen … führte. Der eine Holzschneider eines Werkes machte nur die Köpfe oder Figuren, der andere, die Minderbegabten oder die Lehrlinge die Staffage, die Hintergründe usw. Bei einer solchen Arbeitsteilung konnte nichts Einheitliches … herauskommen.« Eduard Fuchs: Honoré Daumier Holzschnitte 1833-1870 München 〈1918〉 p 16 [i 8]
Der erste Versuch der Einführung der Lithographie in Frankreich, der von Senefelders Associé André aus Offenbach unternommen wurde, scheiterte gänzlich. »Celui-ci n’était … installé en France que dans l’intention seulement de vendre les partitions musicales obtenues par le moyen de la lithographie. Le brevet avait été pris à son nom en 1802, il avait créé un atelier … bien éloigné … de soupçonner la fortune ultérieure de la trouvaille … Aussi bien le temps n’était-il point aux petits arts de traduction; le maître David écrasait la gravure de son hautain mépris; à grand’peine la taille-douce trouvait-elle grâce. L’entreprise d’André périclita très vite.« Henri Bouchot: La lithographie Paris 〈1895〉 28/29 [i 1 a, 1]
Über Dorés Beiträge zum »Journal illustré« und »Journal pour tous«: »Ces publications à deux sous, ces Journal pour Tous, ces Journal Illustré, ces Tour du Monde, où Doré se dépensait avec une prodigalité et une verve qui stupéfient, lui servaient, avant tout, de laboratoire de recherches. En effet, dans les grandes éditions de librairie, entreprises à hauts prix (pour l’époque), par Hachette ou par Garnier, l’imagination, la fantaisie, la verve de Gustave Doré étaient …, dans une certaine mesure, conditionnées, contenues par les exigences même d’une édition de luxe.« Roger Dévigne: Gustave Doré illustrateur de journaux à deux sous et reporter du crayon (Arts et métiers graphiques 50 15 décembre 1935 p 35) [i 1 a, 2]
»L’ouvrier de Paris en révolution reste dans le livre et dans l’image comme un grognard de la guerre des rues, un révolutionnaire expérimenté, circulant à moitié nu, une giberne et un sabre attachés en sautoir sur sa chemise, coiffé en roi d’Afrique, d’un képi galonné ou d’un chapeau à plumes, sans argent, éreinté, magnanime, noirci de poudre et suant sous le soleil, réclamant avec ostentation de l’eau quand on lui offre un verre de vin, s’installant sur le fauteuil du trône à la façon des sans-culottes de 93, fouillant ses compagnons à la sortie des appartements royaux, fusillant les voleurs. Regardez les dessins de Charlet et de Raffet, lisez les relations en forme d’apothéose vendues, quelques jours après la bataille, au profit des veuves, des orphelins et des blessés.« Gustave Geffroy; L’enfermé Paris 1926 I p 51 [i 1 a, 3]
Gewisse Flugschriften von Marx sind lithographiert gewesen. (Nach Cassou: Quarante-huit 〈Paris 1939〉 p 148 [i 2]