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[Die Börse, Wirtschaftsgeschichte]

»Napoleon war der letzte Kampf des revolutionären Terrorismus gegen die durch die Revolution proklamirte bürgerliche Gesellschaft und deren Politik. Napoleon besaß allerdings schon die Einsicht in das Wesen des modernen Staats, daß derselbe auf der ungehinderten Entwicklung der bürgerlichen Gesellschaft, auf der freien Bewegung der Privatinteressen etc. als seiner Grundlage ruhe … Aber Napoleon betrachtete zugleich noch den Staat als Selbstzweck und das bürgerliche Leben nur als Schatzmeister … Er vollzog den Terrorismus, indem er an die Stelle der permanenten Revolution den permanenten Krieg setzte … Wenn er den Liberalismus der bürgerlichen Gesellschaft – den politischen Idealismus ihrer alltäglichen Praxis – despotisch unterdrückte, so schonte er nicht mehr ihre wesentlichen materiellen Interessen, Handel und Industrie, so oft sie mit seinen politischen Interessen in Konflikt geriethen. Seine Verachtung der industriellen Geschäftsmenschen war die Ergänzung zu seiner Verachtung der Ideologen … Wie der liberalen Bourgeoisie in Napoleon noch einmal der revolutionäre Terrorismus gegenüber trat, so trat ihr in der Restauration in den Bourbonen noch einmal die Kontrerevolution gegenüber. Endlich verwirklichte sie in dem Jahre 1830 ihre Wünsche vom Jahre 1789, nur mit dem Unterschied, daß ihre politische Aufklärung nun vollendet war, daß sie in dem konstitutionellen Repräsentativstaat nicht mehr das Ideal des Staats, nicht mehr das Heil der Welt und allgemein menschliche Zwecke zu erstreben meinte, sondern ihn vielmehr als den offiziellen Ausdruck ihrer ausschließlichen Macht und als die politische Anerkennung ihres besondern Interesses anerkannt hatte.« Karl Marx und Friedrich Engels: Die heilige Familie cit in Die neue Zeit III Stuttgart 1885 p 388/389 [g 1, 1]

Ein Schema aus Edgar Quinets »De la révolution et de la philosophie«; »Die Entwicklung der deutschen Philosophie … eine Art Theorie der französischen politischen Revolution. Kant ist die Konstituante, Fichte der Konvent, Schelling das Kaiserreich (durch die Achtung vor der physischen Kraft) und Hegel kommt ihm wie die Restauration und die Heilige Allianz vor.« Schmidt-Weißenfels: Portraits aus Frankreich Berlin 1881 p 120 (Edgar Quinet und der französische Nationalhaß) [g 1, 2]

Ministerium Guizot. »Corrompre les collèges électoraux était chose facile. Ces collèges se composaient en général de peu d’électeurs; beaucoup en comptaient à peine 200, parmi lesquels nombre de fonctionnaires. Les fonctionnaires obéissaient aux ordres reçus; quant à l’électeur ordinaire on l’achetait en donnant à ses protégés des bureaux de tabac, des bourses dans les collèges, ou bien en lui donnant à lui-même quelque importante fonction administrative. Dans la Chambre, comme dans les collèges électoraux, les fonctionnaires étaient fort nombreux: plus du tiers des députés – 184, en 1846, sur 459 – étaient des préfets, des magistrats, des officiers. Le ministre les tenait par l’espoir de l’avancement … Pour compléter la majorité, il suffisait de trente à quarante députés: Guizot les gagnait par des concessions de grandes entreprises, – on était au début de la construction des chemins de fer – ou par des intérêts dans les marchés de fournitures faites à l’Etat. La corruption fut ainsi érigée en système de gouvernement, et de nombreux scandales, à la fin du règne, prouvèrent avec éclat que les subalternes pratiquaient le système aussi bien que le premier ministre.« A Malet P Grillet: XIXe siècle Paris 1919 p 95, 97 Lamartine sprach damals warnend von einer »aristocratie électorale« (1847). [g 1 a, 1]

»Le 28 juillet 1831, un Parisien expose son portrait en même temps que celui de Louis-Philippe, en les accompagnant de la légende suivante: ›Il n’est point de distance entre Philippe et moi; Il est roi-citoyen, je suis citoyen-roi‹«. Gisela Freund: La photographie au point de vue sociologique (Mscr. p 31) nach Jean Jaurès: Histoire socialiste Le règne de Louis-Philippe p 49 [g 1 a, 2]

»Paris est aussi triste que possible, écrivait en pleine exposition l’auteur de Colomba, tout le monde a peur sans trop savoir pourquoi. C’est une sensation comme celle que fait éprouver la musique de Mozart lorsque le Commandeur va paraître … Le moindre événement est attendu comme une catastrophe.« Adolphe Démy: Essai historique sur les expositions universelles de Paris Paris 1907 p 173/74 [g 1 a, 3]

Schlaglichter auf Napoleons Verhältnis zur Bourgeoisie gegen 1814. »L’Empereur avait montré la plus grande répugnance à donner des armes à la population parisienne. Par crainte de l’esprit révolutionnaire, il avait refusé les services de 50.000 ouvriers, la plupart anciens soldats; il n’avait voulu organiser que des compagnies …, composées de citoyens de la haute bourgeoisie, c’est-à-dire de ceux qui n’étaient pas éloignés de regarder les alliés comme des libérateurs … Le nom de Napoléon était maudit. Voici une lettre écrite au colonel Greiner, commandant en second de l’Ecole … 11 avril 1814. Lâche esclave d’un maître aussi lâche, rends-moi mon fils. Plus féroce encore que le tyran, tu as surpassé ses cruautés en livrant au feu de l’ennemi des enfants confiés à ta garde sur la foi d’une loi, qui garantissait leur éducation. Où sont-ils? Tu vas en répondre sur ta tête. Toutes les mères marchent contre toi et moi seul suffirais pour t’arracher la vie si mon fils ne reparaît bientôt.« G Pinet: Histoire de l’Ecole polytechnique Paris 1887 p 73/74 u 80/81 Der Brief ist von dem Vater von Enfantin. [g 2, 1]

»Der Protestantismus … schaffte im Himmel die Heiligen ab, damit man auf Erden ihre Festtage beseitigen konnte. Die Revolution von 1789 verstand ihre Sache noch besser. Die reformierte Religion hatte den Sonntag beibehalten; die revolutionären Bourgeois fanden, ein Ruhetag auf sieben Tage sei zuviel, und setzten daher an Stelle der siebentägigen Woche die zehntägige Dekade, damit der Tag der Ruhe nur alle zehn Tage wiederkehrte; und um die Erinnerung an die kirchlichen Feiertage … zu Grabe zu tragen, ersetzten sie im republikanischen Kalender die Heiligennamen durch solche von Metallen, Pflanzen und Tieren.« Paul Lafargue: Die christliche Liebestätigkeit [Die neue Zeit Stuttgart XXIII, 1 p 145/146][g 2, 2]

»Die Armenfrage nahm gleich in den ersten Tagen der Revolution … den Charakter großer Schärfe und Dringlichkeit an. Bailly, den man eben erst, um die Not der … Arbeiter zu lindern, zum Bürgermeister von Paris gewählt hatte, packte sie in Massen zusammen und pferchte sie – an 18 000 Menschen – wie wilde Tiere auf dem Hügel Montmartre ein; die Stürmer der Bastille bewachten dort die Arbeiter mit Kanonen, die brennenden Lunten in der Hand … Hätte der Krieg nicht die arbeits- und mittellosen Stadtarbeiter und Bauern … dem Heere zugeführt und an die Grenzen geworfen, so würde in ganz Frankreich … eine Volkserhebung stattgefunden haben.« Paul Lafargue: Die christliche Liebestätigkeit [Die neue Zeit Stuttgart XXIII, 1 p 147〈][g 2, 3]

»Notre siècle, où le souverain est partout, excepté sur le trône.« Balzac: Préface d’»Un grand homme de province à Paris« cit Georges Batault: Le pontife de la démagogie Victor Hugo 〈Paris 1934〉 p 230/231 [g 2 a, 1]

Über das Schrifttum Napoleons III: »Des lieux communs développés avec une solennité continue … un perpétuel cliquetis d’antithèses, puis, tout à coup, une formule heureuse qui captive par son air de grandeur ou séduit par sa générosité … des idées si confuses qu’on ne les distingue plus dans les profondeurs où elles semblent enfouies et qui, au moment où on désespère de les dégager, éclatent avec un son claironnant.« Pierre de la Gorce: Napoléon III et sa politique Paris p 4,5 cit bei Batault: Le pontife de la démagogie p 33/34 [g 2 a, 2]

Übergang vom napoleonischen Kriegsregiment zum Friedensregime der Restauration. Eine Gravure zeigt »Le soldat laboureur« »les soldats moissonneurs« »Générosité d’un soldat français« »la tombe des braves«. C⁠〈abinet〉 d⁠〈es〉 E⁠〈stampes〉 [g 2 a, 3]

»Lorsque vers 1829, M. de Saint-Cricq, directeur des douanes, proclama l’encombrement commercial, … nous fûmes incrédules. Il était si réel qu’il fit la révolution de Juillet. A la veille de Février 1848, dans le rude hiver qui précède, l’encombrement revient, et le chômage. Au bout de vingt anneés, 1869, le voici revenu. Personne ne veut plus entreprendre. Le gouvernement actuel, avec ses compagnies du Crédit mobilier et autres, l’essor qu’elles donnèrent à la Bourse, détourna dix années les capitaux de l’industrie et de l’agriculture, qui donne un intérêt si faible. Son traité du libre échange, ouvrant en 1860 la France à l’industrie anglaise … a fait du premier coup une énorme ruine. La Normandie ne peut se relever, dit-elle. Encore moins les forges du Nord.« J Michelet: Nos fils Paris 1870 p 300/01 [g 2 a, 4]

Ein Kupfer von 1818 »L’Etrangomanie blamée ou d’être Français il n’y a pas d’affront«. Rechts Säule mit den Großtaten des Krieges, der Dichtung, der Kunst in Inschriften. Darunter ein junger Mann mit der Ehrentafel der Industrie; seinen Fuß hat er auf einem Blatt mit der Inschrift stehn »Produits des Manufactures Etrangères«. Ihm gegenüber ein anderer Franzose, der rühmend auf die Säule weist. Im Hintergrund debattiert ein englischer Zivilist mit einem französischem Krieger, alle vier Personen haben Spruchbänder. Am Himmel ein über die Erde hinschwebender, in eine Trompete stoßender sehr stark verkleinerter Engel. Eine Tafel ist an seiner Tuba befestigt, an der steht »A l’immortalité«. C⁠〈abinet〉 d⁠〈es〉 E⁠〈stampes; s. Abbildung 14〉 [g 2 a, 5]

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L’Étrangomanie blamée ou d’être Français il n’y a pas d’affront.

Photo Bibliothèque Nationale

Abbildung 14

»Si vous passez devant la Bourse à midi, vous y trouverez une longue queue … Cette queue se compose de gens de toute condition, bourgeois, rentiers, épiciers, concierges, commissionnaires, facteurs, artistes, comédiens qui viennent là pour avoir la première place après l’enceinte circulaire … Installés à proximité du parquet, à côté du crieur public, ils achètent des actions qu’ils réalisent dans la même bourse. Ce vieillard à cheveux blancs, qui offre une prise de tabac au gardien qui passe, est le doyen de ces spéculateurs … A l’aspect général du parquet et de la coulisse, à la physionomie des agents de change, il devine la hausse ou la baisse avec un instinct merveilleux.« Paris-Boursier (Les Petits Paris) Paris 1854 p 44-46 [Taxile-Delord] [g 3, 1]

Über die Börse: »La Bourse ne date guère que de M. de Villèle; il y avait plus d’initiative et de saint-simonisme qu’on ne le croit généralement dans la tête de ce ministre toulousain … sous son règne, les charges d’agent de change se vendirent jusqu’à un million. La spéculation, cependant, bégayait à peine ses premières primes; les quatre petits milliards de la dette française, les quelques millions de la dette espagnole et de la dette napolitaine, étaient l’alphabet dans lequel elle apprenait à lire … On croyait à la ferme, à la maison … on disait d’un homme riche: Il a des terres au soleil et pignon sur rue! … C’est à partir de 1832, après les … prédications du saint-simonisme … que le pays s’est trouvé … mûr pour ses grandes destinées financières. En 1837, on vit un élan irrésistible entraîner tous les esprits vers la Bourse; la création des chemins de fer donna une nouvelle force à cet élan … La petite-coulisse fait les affaires de la petite bourgeoisie; la contre-petite-coulisse remue les capitaux du prolétariat. L’une opère pour les portiers, les cuisiniers, les cochers, les rôtisseurs, les marchands de merceries, les garçons de café; l’autre descend un cran plus bas dans la hiérarchie sociale. Un jour nous nous sommes dit: ›Le savetier, le marchand d’allumettes chimiques, le vidangeur, le marchand de pommes de terre frites, ne savent comment utiliser leurs capitaux, ouvrons-leur le grand marché de la Bourse … Nous ouvrîmes alors la contre-petite-coulisse. Nous vendions pour 3 francs 50 centimes de rente ferme; nous faisions des primes d’un centime, les affaires abondaient dans la contre-petite-coulisse, lorsqu’est survenue la débâcle du mois dernier.‹« Paris-Boursier (Les Petits Paris) [Taxile Delord] Paris 1854 p 6-8, 56/7 [g 3, 2]

Handelskrise von 1857 als Ursache des italienischen Feldzugs. [g 3, 3]

»Enfantin exhorte ses amis politiques … à fonder à côté du ›crédit industriel‹, qui existe, un ›crédit intellectuel‹,« Das war im Jahre 1863! CL de Liefde: Le Saint-Simonisme dans la poésie française 1825-1865 〈Haarlem 1927〉 p 113 [g 3 a, 1]

Balzacs Porträt des Agioteurs Diard in »Les Marana«⁠〈:〉 »Il demanda tant du cent sur l’achat de quinze voix législatives qui, dans l’espacé d’une nuit, passèrent des bancs de la Gauche aux bancs de la Droite. Les actions ne sont plus ni des crimes, ni des vols, c’est faire du gouvernement, commanditer l’industrie.« (cit Abbé Charles Calippe: Balzac Ses idées sociales Reims Paris 〈1906〉 p 100) [g 3 a, 2]

»C’est en … 1838 que le gouvernement, par l’organe de M. Martin du Nord, eut la bonne pensée d’apporter aux chambres le projet du grand réseau du chemin de fer national, entreprise gigantesque, dont l’exécution était réservée à l’Etat … Les Débats publièrent contre le malencontreux projet gouvernemental un article foudroyant dont il ne se releva pas. Deux ans après, les deux principales lignes de l’Ouest et du Midi étaient concédées par l’Etat à deux grandes compagnies … Cinq ans après … le père Enfantin était secrétaire du conseil d’administration du chemin de fer de Lyon … l’alliance de Saint-Simon et de Juda … s’était conclue pour tout jamais … Tout cela était l’œuvre du Père … Trop de noms juifs illustraient le personnel de l’Eglise saint-simonienne, pour que le fait de la constitution de la féodalité financière par les disciples de Saint-Simon ait droit de nous surprendre.« A Toussenel: Les juifs rois de l’époque Paris 〈1886〉 ed Gonet p 130-133 [g 3 a, 3]

»Nicht die französische Bourgeoisie als solche herrschte unter dem Bürgerkönigtum, sondern lediglich … die Finanzaristokratie. Die gesamte Industrie dagegen war in der Opposition.« Eduard Fuchs: Die Karikatur der europäischen Völker München 〈1921〉 I p 365 [g 3 a, 4]

»Avant 1830, la grande agriculture est maîtresse de la puissance publique; après 1830, les fabricants prennent sa place, mais leur règne s’était déjà élaboré sous le régime que les barricades avaient renversé … Pour 15 fabriques qui possédaient des machines en 1814, il y en avait 65 en 1820 et 625 en 1830.« Paul Louis: Histoire de la classe ouvrière en France de la Révolution à nos jours Paris 1927 p 48/49 [g 3 a, 5]

»L’esclavage des gouvernemens va croissant, et l’ascendant des agioteurs est parvenu à tel point, que le tripot de la Bourse est devenu boussole d’opinion.« cit F Armand et R Maublanc: Fourier Paris 1937 II p 32 [g 4, 1]

Fouriers Börse: »La Bourse d’une Phalange est bien plus animée et plus intriguée que celles de Londres ou Amsterdam, chaque individu étant obligé d’y négocier une foule de rendez-vous pour les lendemain et surlendemain, soit en affaires, soit en plaisirs … En supposant 1,200 individus présents, et 20 séances à traiter par individu, il y a dans cette réunion 24,000 négociations à conclure, et chacune peut impliquer 20, 40, 100 individus qu’il faut consulter nominativement, mettre en lutte cabalistique. … On négocie par signaux et sans bruit. Chaque négociateur déploie en [ ] les écussons des groupes ou phalanges pour qui il traite, et certains signes convenus indiquent à quel degré en est le traité, si l’on a demi, ou tiers, ou quart des adhésions.« Publication des manuscrits de Fourier Paris 1851-58 4 vols Année 1851 p 191/92 [g 4, 2]

Der Name »Bourse de travail« ist von Fourier oder einem Fourieristen geprägt. [g 4, 3]

An der Börse wurden 1816 7 Werte notiert, 1847 über 200. [g 4, 4]

1825, nach Marx, die erste Krisis der modernen Industrie; d. h. erste Krise des Kapitalismus. [g 4, 5]