k
[Die Kommune]
»Die Geschichte der Pariser Kommune ist zu einem großen Prüfstein für die Frage geworden, wie die revolutionäre Arbeiterklasse ihre Taktik und Strategie einzurichten hat, um den endgiltigen Sieg zu erfechten. Mit dem Falle der Kommune sind auch die letzten Ueberlieferungen der alten revolutionären Legende für immer gefallen; keine Gunst der Umstände, kein Heldenmuth, kein Märtyrerthum kann die klare Einsicht des Proletariats in … die unerläßlichen Bedingungen seiner Emanzipation ersetzen. Was für Revolutionen gilt, die von Minoritäten und im Interesse von Minoritäten durchgeführt werden, das gilt … nicht von der proletarischen Revolution … In der Geschichte der Kommune werden die Keime dieser Revolution noch überwuchert von den Schlingpflanzen, die aus der bürgerlichen Revolution des achtzehnten Jahrhunderts in die revolutionäre Arbeiterbewegung des neunzehnten Jahrhunderts hinübergewuchert waren. In der Kommune fehlte die feste Organisation des Proletariats als Klasse und die prinzipielle Klarheit über seinen weltgeschichtlichen Beruf; hieran mußte sie unterliegen.« [F. Mehring:] Zum Gedächtnis der Pariser Kommune Die neue Zeit XIV, i Stuttgart 1896 p 739/40 [k 1, 1]
»Nous ne dirons que deux mots des spectacles-conférences qui se sont multipliés dans ces dernières années … M. Ballande, en imaginant de consacrer l’après-midi du dimanche à la représentation à bon marché de chefs-d’œuvre ou de monuments curieux de l’art, que précéderait une explication historique et littéraire de l’ouvrage, avait rencontré une idée heureuse et saine … Mais le succès appelle les imitations, et il est rare que les imitations n’exagèrent pas les côtés fâcheux des choses qu’elles copient. C’est ce qui arriva. Des représentations de jour s’organisèrent au Châtelet et à l’Ambigu. Sur ces scènes, la question artistique passa au second plan; la politique domina; on alla chercher Agnès de Méranie, on exhuma Calas, Charles IX ou l’Ecole des rois … Une fois sur cette pente, par un étrange entraînement de la folie politique, les ouvrages les plus inoffensifs fournirent matière … aux déclamations les plus hétéroclites sur les choses du jour. Molière et Louis xiv auraient été parfois singulièrement surpris des attaques … auxquelles ils servaient de prétexte. Ce genre de conférences, dites théâtrales, échappait trop complètement à toute espèce de contrôle.« – »Quand les révolutions éclatent, on recueille plus d’un aveu, qui devrait être instructif. Voici ce que l’on peut lire dans le Mot d’Ordre du 17 mai 1871, au sujet des cartes de civisme: ›La lecture trop assidue du Chevalier de Maison-Rouge et autres romans d’Alexandre Dumas a certainement inspiré cet arrêté aux membres de la Commune. Nous regrettons d’être obligés de leur dire qu’on ne fait pas de l’histoire avec des lectures de romans.‹« Victor Hallays-Dabot: La censure dramatique et le théâtre (1850-1870) 〈Paris 1871〉 p 68/69 u p 55 [Das Mot d’Ordre ist vermutlich ein Organ von Rochefort][k 1, 2]
Die Kommune fühlte sich durchaus als Erbin von 1793. [k 1, 3]
Die Stelle bei Hallays-Dabot p 55 〈cit k 1,2〉 ist sehr wichtig für den Zusammenhang von Kolportage und Revolution. [k 1, 4]
»A quelques carrefours notre voie s’élargit inopinément en vastes coupoles … Assurément chacun de ces Colysées clandestins offrirait des points fort utilisables pour des concentrations de forces en quelques éventualités, de même que l’infini du réseau souterrain ouvre une mine toute prête en ses mille galeries sous tous les points de la capitale … Cette conception de l’Empire, le coup de foudre qui anéantit l’Empire ne lui laissa pas le temps de la réaliser; on s’explique moins que les chefs de la Commune … déterminés à tout, n’aient pas utilisé ce formidable moyen de destruction au fur et à mesure de l’entrée des troupes.« Nadar: Quand j’étais photographe Paris 〈1900〉 p 121 (Paris souterrain) Verweist auf »Lettre de N … (Paris), à Louis Blanc (Versailles) mai 1871« der eine solche Erwartung ausspricht. [k 1 a, 1]
»Si Rimbaud est en effet admirable ce n’est pas de s’être tu, mais d’avoir parlé. S’il s’est tu, c’est sans doute faute d’audience véritable. C’est parce que la société dans laquelle il vivait ne pouvait lui offrir cette audience. On doit se souvenir de ce fait très simple qu’Arthur Rimbaud en 1871 était venu tout naturellement à Paris s’engager dans l’armée de la Commune … Dans la caserne du Château-d’Eau le jeune Rimbaud ne doutait pas encore de l’utilité d’écrire et chantait les mains de la Gueuse, de la Jeanne-Marie des faubourgs qui n’est pas la Marianne de plâtre des mairies:
Ce ne sont pas mains de cousines
Mais d’ouvrières au gros front
Que hâle au bois puant l’usine
Un soleil ivre de goudron.
. . . . . . . .
Elles ont pâli, merveilleuses,
Au grand soleil, d’amour chargé,
Sur le bronze des mitrailleuses
A travers Paris insurgé …Alors, dans les Assemblées de la Commune … voisinaient avec les ouvrières de Paris …, avec les combattants du socialisme, le poète de l’Internationale, Potier, l’auteur de L’Insurgé, Jules Vallès, le peintre de l’Enterrement à Omans, Courbet, et le génial expérimentateur de la physiologie du cervelet, le grand Flourens.« Aragon: D’Alfred de Vigny à Avdeenko (Commune II, 20 Avril 1935 p 810 et 15) [k 1 a, 2]
»La Commune, où siégèrent seuls les élus des quartiers ouvriers, était formée d’une coalition de révolutionnaires sans programme commun. Les 78 membres, une vingtaine seulement avaient des projets de réforme sociale; la majorité d’entre eux étaient des démocrates jacobins de la tradition de 1793 (Delescluze).« A Malet P Grillet: XIXe siècle Paris 1919 p 481/82 [k 1 a, 3]
In der Kommune tauchte das Projekt einer Borne Maudite auf, die in der Ecke eines Platzes errichtet werden sollte, dessen Mitte von einem Ehrenmal eingenommen würde. Alle offiziellen Persönlichkeiten des zweiten Kaiserreiches finden sich (in dem Entwurf) auf ihr. Auch Haussmanns Name fehlt nicht. Eine »histoire infernale« des Regimes sollte auf diese Weise entstehen. Aber man gedachte bis auf Napoleon I zurückzugehen »le scélérat de Brumaire, – chef de cette Race maudite de bohémiens couronnés que nous a vomi la Corse, de cette lignée fatale de bâtards à ne s’y plus reconnaître.« Das in Form einer Affiche gedruckte Projekt ist vom 15 April 1871 datiert. (Ausstellung La Commune de Paris Mairie de Saint-Denis) [k 2, 1]
»Voilà tes fruits, Commune sanguinaire,
Oui … tu voulais annéantir Paris.«Der letzte Vers ist der Refrain eines als Flugblatt gedruckten Gedichts »Les ruines de Paris« (Ausstellung der Mairie de Saint-Denis) [k 2, 2]
Eine Lithographie von Marcier »Le départ de la Commune〈«〉, erschienen bei Deforet et César éditeurs zeigt ein Weib(?) auf einem Mittelding aus Hyäne und Klepper reitend, in ein gewaltiges Leichentuch gehüllt, die zerfetzte, schmutzigrote Fahne ausgespannt, eine undeutliche von trüben Flammen der brennenden Häuser erfüllte Gasse hinter sich lassend. (Ausstellung Mairie de Saint-Denis) [k 2, 3]
Die »Illustration« brachte nach der Einnahme von Paris eine Zeichnung, auf der die »Chasse à l’homme dans les catacombes« gezeigt wird. In der Tat wurden eines Tages die Katakomben nach Flüchtlingen durchsucht. Was man fand wurde niedergemacht. Die Truppen drangen von der Place Denfert-Rochereau aus ein, während die Ausgänge der Katakomben nach der plaine Montsouris zu besetzt wurden. (Ausstellung) [k 2, 4]
Ein kommunardisches Flugblatt bringt eine beschriftete Zeichnung darstellend »Les cadavres découverts dans les souterrains de l’Eglise Saint-Laurent«. Man gab an dort Frauenleichen gefunden zu haben, die don nicht länger als einige Jahre sich befunden haben könnten und derer Schenkel auseinandergerissen, deren Hände gefesselt seien. (Ausstellung) [k 2, 5]
Einblatt; Lithographie »Elle«〈.〉 Die Republik als ein schönes Weib, di« von einer Schlange umwunden wird, deren Kopf die Züge von Thiers hat Die Frau hat einen Spiegel hoch über dem Haupte. Darunter:
»De cent façons tu peux la prendre
Elle est à louer, mais pas à vendre.« [k 2, 6]
Die Illusionen, die noch der Kommune zugrunde lagen, kommen schlagend in Proudhons Formel zum Ausdruck, seinem Appell an die Bourgeoisie: »Sauvez le peuple, sauvez vous-mêmes, commr faisaient vos pères, par la Révolution.« Max Raphael: Proudhon Marx, Picasso Paris 〈1933〉 p 118 [k 2 a, 1]
Zu erinnern an Chevaliers Formel: »Gloire à nous! nous sommes entrés dans le trésor des rois, escortés par la misère et par la faim, nous nous sommes promenés au milieu de la pourpre, de l’or et des diamans; lorsque nous sommes sortis, nous avions pour compagnons la faim et la misère.« Religion Saint-Simonienne La Marseillaise (Extrait de l’Organisateur du 11 septembre 1830) [Verf〈asser〉 Michel Chevalier laut Cat〈alogue〉 de la B〈ibliothèque〉 Nationale)] p 2 [k 2 a, 2]
Eines der letzten Widerstandszentren der Kommune: die place de la Bastille. [k 2 a, 3]
Charles Louandre »Les idées subversives de notre temps« Paris 1872 ist ein charakteristischer Vertreter des reaktionären Pamphlets, das auf die Kommune folgte. [k 2 a, 4]
Eine Karikatur auf Courbet: der Maler auf einer zerbrochnen Säule stehend. Darunter »Actualité«. C〈abinet〉 d〈es〉 E〈stampes〉 kc 164 a 1 〈s. Abbildung 15〉 [k 2 a, 5]
[image]
Actualité (Courbet).
Photo Bibliothèque Nationale
Abbildung 15
»Louise Michel, rapportant dans ses souvenirs une conversation qu’elle eut avec Gustave Courbet, nous montre le grand peintre communard, extasié d’avenir, se perdre dans des rêveries qui, pour sentir leur XIXe siècle, n’en sont pas moins – sinon à cause même de cela – d’une touchante et merveilleuse grandeur. ›Chacun, prophétise Courbet, se livrant sans entraves à son génie, Paris doublera son importance. Et la ville internationale européenne pourra offrir aux arts, à l’industrie, au commerce, aux transactions de toutes sortes, aux visiteurs de tous pays, un ordre impérissable, l’ordre par les citoyens qui ne pourra être interrompu par les prétextes de prétendants monstrueux‹. Songe candide par ses aspects d’Exposition Universelle, mais qui, tout de même, implique de profondes réalités, et tout d’abord la certitude d’un ordre unanime à fonder, ›l’ordre par les citoyens‹.« Jean Cassou: La semaine sanglante (Vendredi 22 mai 1936) [k 2 a, 6]
Im ersten und besonders im zweiten Kaiserreich sieht Engels Staaten, die als vermittelnde Instanz zwischen den ungefähr gleichstarken Bourgeois und Proletariern auftreten können, (cf G Mayer: F〈riedrich〉 Engels II Berlin 〈1933〉 p 441) [k 2 a, 7]
Der Verzweiflungskampf der Commune: »Delescluze lance alors sa fameuse proclamation: ›Assez de militarisme! Plus d’états-majors galonnés et dorés sur toutes les coutures! Place au peuple, aux combattants aux bras nus! L’heure de la guerre révolutionnaire a sonné …‹ Dans le cœur de tous un impatient enthousiasme s’éveille. On va se faire tuer comme il l’entendront les stratèges polonais, chacun va retrouver son quartier, le pavé familier, le coin de rue où il fait bon vivre et mourir, la traditionnelle barricade! Cette proclamation, c’est le dernier cri du blanquisme, le sursaut suprême du XIXe siècle. On veut encore croire. Croire au mystère, au miracle, au feuilleton, à la puissance magique de l’épopée. On n’a pas compris que l’autre classe s’est organisé scientifiquement, s’est confiée à des armées implacables. Depuis longtemps déjà ses dirigeants ont une conscience claire de la situation. Ce n’est pas pour rien qu’Haussmann avait dissous dans ses larges avenues toutes droites les quartiers grouillants et tortueux, les nids du mystère et du feuilleton, les jardins secrets de la conjuration populaire.« Jean Cassou; La semaine sanglante (Vendredi 22 mai 1936) [k 3, 1]
Engels und die Kommune: »Solange das Zentralkomitee der Nationalgarde die kriegerischen Handlungen leitete, blieb er hoffnungsvoll. Der Rat, ›die Nordseite der Anhöhen von Montmartre, die preußische Seite, zu befestigen‹, den Marx damals nach Paris gelangen ließ, ging zweifellos von ihm aus. Er befürchtete, daß die Erhebung sonst ›in eine Mausefalle geraten würde‹. Aber die Kommune befolgte diese Warnung nicht und verpaßte, wie Engels bedauernd feststellte, auch den richtigen Zeitpunkt, um zum Angriffe vorzugehen … Anfänglich dachte Engels noch, der Kampf werde sich in die Länge ziehen … Im Generalrat betonte er …, daß die Pariser Arbeiter militärisch besser organisiert seien als bei irgendeinem früheren Aufstande; die unter Napoleon III. vorgenommenen Straßenverbreiterungen müßten, erfolgte der Sturm auf die Stadt, ihnen zugute kommen; zum erstenmal würden Barrikaden von Kanonen und regulär organisierten Truppen verteidigt werden.« Gustav Mayer: Friedrich Engels Zweiter Band Engels und der Aufstieg der Arbeiterbewegung in Europa Berlin 〈1933〉 p 227 [k 3, 2]
»1884 gestand er« [Engels] »Bernstein, daß in Marxens Schrift ›die unbewußten Tendenzen der Kommune ihr als mehr oder weniger bewußte Pläne zugute gebracht‹ seien, und er fügte hinzu, daß dies ›unter den Umständen gerechtfertigt, selbst nötig‹ gewesen wäre … Die Mehrheit der Teilnehmer an dem Aufstande hatte aus Blanquisten bestanden, also aus national gesinnten Revolutionären, die auf die unmittelbare politische Aktion und auf eine aus wenigen entschlossenen Männern bestehende autoritäre Diktatur ihre Hoffnung setzten. Der Internationale hatte nur eine Minderheit angehört, die noch dazu der Geist Proudhons beherrschte und die man deshalb nicht als soziale Revolutionäre, geschweige als Marxisten bezeichnen durfte. Das hinderte nicht, daß in ganz Europa die Regierungen und das Bürgertum diese Erhebung … als vom Generalrat der Internationale angezettelt betrachteten.« Gustav Mayer: Friedrich Engels Zweiter Band Engels und der Aufstieg der Arbeiterbewegung in Europa Berlin p 228 [k 3 a, 1]
Die erste communio: die Stadt. »Die deutschen Kaiser, z. B. Friedrich I. und II., erließen Edikte gegen diese ›communiones‹ [Gemeinschaften], ›conspirationes‹ …, ganz im Geist des deutschen Bundestags … Oft ist es komisch, wie das Wort ›communio‹ … ganz in derselben Weise angeschimpft wird, wie der Kommunismus heutzutag. So schreibt z. B. der Pfaffe Guilbert von Noyon: ›Communio ist ein neuer und sehr schlechter Name.‹ Die Spießbürger im 12. Jahrhundert haben oft etwas Pathetisches in der Art, wie sie die Bauern einladen, in die Städte, die communio jurata … zu fliehn.« Marx an Engels 27 Juli 1854 aus London [Karl Marx/Friedrich Engels: Ausgewählte Briefe hg von V. Adoratskij Moskau Leningrad 1934 p 60/61][k 3 a, 2]
Ibsen sah weiter als manche Führer der Kommune in Frankreich. Am 20 Dezember 1870 schreibt er an Brandes: »Wovon wir bis heute leben, das alles sind ja doch nur Brosamen vom Revolutionstisch des vorigen Jahrhunderts, und an der Kost haben wir doch jetzt lange genug gekaut und wiedergekäut. … Freiheit, Gleichheit und Brüderlichkeit sind nicht mehr dieselben Dinge, die sie in den Tagen der seligen Guillotine waren. Das ist es, was die Politiker nicht verstehen wollen, und darum hasse ich sie.« Henrik Ibsen: Sämtliche Werke X 〈Berlin 1905〉 p 156 [k 3 a, 3]
Es war der Proudhonist Beslay, der als Delegierter der Kommune sich durch de Plœuc, den sous-gouverneur der Banque de France am 30 März bestimmen ließ, im Interesse Frankreichs die zwei Milliarden〈,〉 »die wahren Geiseln«〈,〉 unangetastet zu lassen. Mit Hilfe der Proudhonisten des Conseil setzte er seine Absicht durch. [k 4, 1]
Blanqui in der »Patrie en danger«, der Zeitschrift, die er während der Belagerung herausgab: »C’est Berlin qui doit être la ville sainte de l’avenir, le rayonnement qui éclaire le monde. Paris, c’est Babylone usurpatrice et corrompue, la grande prostituée que l’envoyé de Dieu, l’ange exterminateur, la Bible à la main, va balayer de la face de la terre. Ignorez-vous que le Seigneur a marqué la race germaine du sceau de la prédestination? … Défendons-nous. C’est la férocité d’Odin, doublée de la férocité de Moloch, qui marche contre nos cités, la barbarie du Vandale et la barbarie du Sémite.« cit Gustave Geffroy: L’enfermé Paris 1897 p 304 [k 4, 2]
Georges Laronze in der Histoire de la Commune de 1871 Paris 1928 p 143 über die Erschießung der Geiseln: »Lorsque tombèrent les otages, la Commune avait perdu le pouvoir. Elle avait gardé sa responsabilité.« [k 4, 3]
Der pariser Verwaltungsapparat in der Kommune: »Elle gardait intact tout l’organisme, animée d’un désir piquant de remettre en marche ses moindres rouages, d’accroître encore, fort bourgeoisement, le nombre des fonctionnaires de classe moyenne.« Georges Laronze: Histoire de la Commune de 1871 Paris 1928 p 450 [k 4, 4]
Soldatenformationen in der Kommune: »Une troupe peu soucieuse de franchir les remparts, à la lutte en rase campagne préférant l’atmosphère de bataille de son quartier, la fièvre des réunions publiques, des clubs, des opérations de police, et, s’il le fallait, la mort derrière les pavés amoncelés d’une rue de Paris.« Georges Laronze: Histoire de la Commune de 1871 Paris 1928 p 532 [k 4, 5]
Courbet tritt mit einigen andern Communards gegen Protot auf, um die Sammlungen von Thiers vor der Zerstörung zu bewahren. [k 4, 6]
Die Mitglieder der Internationale ließen sich auf Rat von Varlin in das Comité central de la garde nationale wählen. [k 4, 7]
»Cette orgie de pouvoir, de vin, de filles et de sang qu’on appelle la Commune.« Charles Louandre: Les idées subversives de notre temps Paris 1872 p 92 [k 4, 8]