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[Ecole polytechnique]
Sur le commerce: »Si la concurrence que se font les marchands … ou toute autre cause, ne lui permettent pas de vendre en temps opportun, il est forcé de … suspendre ses affaires et de jeter par contre-coup le trouble parmi les producteurs … C’est ce qui fait qu’on ne peut distinguer entre les crises commerciales et celles de l’industrie, tant l’industrie est dépendante des intermédiaires … Une vérification terrible se fait à la hâte de toutes les valeurs circulantes, et une énorme quantité d’entr’elles sont déclarées nulles … On appelle des crises ces moments de vérification des valeurs commerciales.« Eugène Buret: De la misère des classes laborieuses en Angleterre et en France Paris 1840 II p 211 u 213 [r 1, 1]
»En 1860, la France qui sommeillait entre les bras de la protection se réveilla brusquement ›sur l’oreiller du libre-échange‹, Napoléon iii, usant du droit que lui conférait la constitution de 1852, avait traité, en dehors du parlement, ouvert nos frontières aux produits des autres nations et plusieurs marchés étrangers à notre commerce libre … De longues années de prospérité avaient permis à nos forces industrielles … à soutenir la lutte mondiale.« Henry Fougère: Les délégations ouvrières aux expositions universelles sous le second empire Montluçon 1905 p 28 [r 1, 2]
Gründung der école polytechnique: »La Terreur au dedans, l’invasion sur les frontières …; le pays ruiné, désorganisé, ne pouvant ni tirer de l’étranger le salpêtre nécessaire à la poudre, ni utiliser, pour la fabrication des armes, ses manufactures presque toutes tombées aux mains des insurgés; tel est le cadre au milieu duquel vont se poursuivre les délibérations d’où sortira la nouvelle institution … ›Tout ce que le génie, le travail et l’activité peuvent créer de ressources, a dit Biot, avait été employé pour que la France pût seule se soutenir contre toute l’Europe … tant que durerait la guerre, fût-elle éternelle et terrible.‹ … La caractéristique de l’Ecole polytechnique … était la coexistence de l’enseignement purement théorique avec une série de cours d’application relatifs aux travaux civils, à l’architecture, à la fortification, aux mines, même aux constructions navales … Napoléon … décréta l’obligation du casernement pour les élèves … Ensuite vinrent les événements de … 1815, après lesquels … on ne cachait pas l’espoir de voir l’Ecole se recruter de plus en plus parmi les familles aristocratiques … L’institution perdit ainsi le caractère d’école préparatoire aux services publics … la science pure ne devait rien y gagner; car … les promotions … de 1817 à 1830 sont celles qui ont donné, de beaucoup, la moindre proportion de membres à l’Institut … En 1848, l’Ecole fut menacée de suppression.« A de Lapparent: Le centenaire de l’Ecole polytechnique Paris 1894 p 6/7, 12-15 [r 1, 3]
Abstimmung vom 18 März 1871 zur Stellung der Kommune gegenüber in der école polytechnique: »Quelques-uns … se demandent quel est ce comité qui se prétend élu par la fédération de trois cent mille citoyens … D’autres … proposent de reprendre la tradition du passé et de se mettre à la tête du mouvement. Après une discussion très vive, mais sans tumulte, on va aux voix: Les partisans du Comité central sont quatorze!« G Pinet: Histoire de l’Ecole polytechnique Paris 1887 p 293 [r 1 a, 1]
1871 stieß die Ecole Polytechnique auf, gerechtfertigtes, Mißtrauen. Man hörte Stimmen: »L’Ecole n’est plus comme en 1830!« (Pinet 〈lc〉 p 297) [r 1 a, 2]
Zwei charakteristische Stellen über die Auffassung des Vormärz von der Industrie und vom Arbeiter bei Edouard Foucaud: Paris inventeur Physiologie de l’industrie française Paris 1844: »L’intelligence industrielle est fille du ciel: elle n’a d’amour et d’abandon que pour ceux que la société … nomme des manœuvriers, et que les intelligents appellent frères ou travailleurs.« (p 181) »Au XIXe siècle, la chose des Romains … le serf de Charlemagne, le manant de François 1er, cette trinité misérable, que l’esclavage avait abrutie, mais que le génie de l’émancipation a fait rayonner, s’appelle aujourd’hui peuple.« (p 220/221) [r 1 a, 3]
»A moins que d’être riche … ou d’avoir le cerveau étroit … le repos de la rente, pour le travailleur, est écrasant. Le ciel a beau être sans nuages, la maison qu’il habite verdoyante, embaumée par les fleurs et égayée par les chants des oiseaux, son esprit inactif reste insensible aux charmes de la solitude. Si, par hasard, son oreille surprend quelque bruit aigu parti d’une manufacture éloignée, ou même le clapotement monotone du moulin d’une usine, aussitôt son front s’éclaircit; il n’entend plus le chant mélodieux des oiseaux; il ne sent plus le parfum exquis des fleurs; la fumée épaisse qui s’échappe de la haute cheminée de l’usine, le bruit retentissant que l’enclume lui renvoie, le font tressaillir de joie, en lui rappelant les beaux jours d’un travail manuel, sollicité par l’inspiration du cerveau.« Edouard Foucaud: Paris inventeur Physiologie de l’industrie française Paris 1844 p 222/23 [r 1 a, 4]
»›Au milieu du désordre qui régnait, écrit Vaulabelle, leur uniforme connu, aimé de tous, leur donnait une sorte de caractère officiel qui les rendit … les agents les plus actifs et les plus utiles du pouvoir qui s’organisait.‹ … ›Quand nous avions à donner un ordre exigeant l’appui d’une force quelconque, dit M. Mauguin, nous en confiions en général l’exécution à un élève de l’Ecole polytechnique. L’élève descendait le perron de l’Hôtel de Ville; avant d’etre parvenu aux derniers degrés il s’adressait à la foule devenue attentive et prononçait simplement ces mots: deux cents hommes de bonne volonté! Puis il achevait de descendre et s’engageait seul dans le passage. A l’instant même on voyait se détacher des murailles et marcher derrière lui, les uns avec des fusils, les autres seulement avec des sabres, un homme, deux hommes, vingt hommes, puis cent, quatre cents, cinq cents, il y en avait toujours le double de ce qui avait été demandé.‹« G. Pinet Histoire de l’Ecole polytechnique Paris 1887 p 156/57 [Die beiden zitierten Stellen Vaulabelle: Histoire des deux restaurations VIII p 291 und Lettre de M. Mauguin au journal La Presse, Saumur, 8 mars 1853.] [r 2, 1]
Die Schüler der Ecole polytechnique veranstalten eine Umlage, um der Tribune die Zahlung einer Geldstrafe zu erleichtern. (Pinet 〈lc〉 p 220 [r 2, 2]
Lamartine in »Destinées de la poésie« nach Michiels: »M. Lamartine, qui a vu de ses propres yeux la servitude intellectuelle de l’Empire, la décrit … ›C’était une ligue universelle des études mathématiques contre la pensée et la poésie. Le chiffre seul était permis, honoré, protégé, payé. Comme le chiffre ne raisonne pas …, le chef militaire de cette époque ne voulait pas d’autre … séide.‹« Alfred Michiels: Histoire des idées littéraires en France au XIXe siècle Paris 1863 II p 94 [r 2, 3]
Pinet〈: Histoire de l’Ecole polytechnique Paris 1887〉 (p VIII) nennt die Enzyklopädisten »les véritables fondateurs« der Ecole polytechnique. [r 2, 4]
»On essaya par tous les moyens, sans parvenir à y réussir, de gagner l’Ecole à la cause des Bourbons.« Pinet: Histoire de l’Ecole polytechnique p 86 [r 2, 5]
Gebräuche und Schülergesetze der Ecole polytechnique, im »Code X« zusammengefaßt. »Il repose tout entier sur ce principe, admis à l’Ecole depuis sa fondation: ›Toute résolution votée est obligatoire, quelles qu’en puissent être les conséquences.‹« Pinet p 109/110 [r 2, 6]
Michelet über die Ecole Polytechnique et Normale: »Après ces grandes épreuves, il semblait qu’il y eût un moment de silence pour toutes les passions humaines; on put croire qu’il n’y aurait plus d’orgueil, intérêt, ni d’envie. Les hommes les plus hauts dans l’Etat, dans la science, acceptèrent les plus humbles fonctions de l’enseignement. Lagrange et Laplace enseignèrent l’arithmétique. Quinze cents élèves, hommes faits, et plusieurs déjà illustres, vinrent … s’asseoir sur les bancs de l’école normale, et apprendre à enseigner. Il vinrent, comme ils purent, en plein hiver, dans ce moment de pauvreté et de famine … Un grand citoyen, Carnot … fut le véritable fondateur de l’école Polytechnique. Ils apprirent, comme on combattait … Spectateurs de l’invention continuelle de leurs maîtres, ils allaient inventant aussi. Imaginez ce spectacle d’un Lagrange qui, au milieu de son enseignement, s’arrêtait tout à coup, rêvait … On attendait en silence. Il s’éveillait à la longue, et leur livrait, tout ardente, la jeune invention, à peine née de son esprit … Quelle chute, après ce temps-là! … Lisez, après les rapports faits à la Convention, ceux de Fourcroy, de Fontanes, vous tombez … de la virilité à la vieillesse.«J Michelet: Le peuple Paris 1846 p 336-338 [r 2 a, 1]
»Parnasse du triangle et de l’hypoténuse« nennt Paul-Ernest de Rattier: Paris n’existe pas Paris 1857 die Ecole polytechnique (p 19). [r 2 a, 2]
Ch F Viel mußte als Gegner der Ingenieurkonstruktion wie auch als Royalist Gegner der Ecole polytechnique sein. Er beklagt den Verfall der Architektur als Kunst »à dater de l’époque terrible, où le trône de nos Rois a été renversé«. Charles-François Viel: De la chute imminente de la science de la construction des bâtimens en France I Paris 1818 p 53 Das Studium der Architektur als Kunst sei schwieriger als das der mathematischen Lehre von der Konstruktion: Beweis, die vielen Preise, die den Schülern der Ecole polytechnique in diesem Fach zufallen. Verächtlich spricht der Verfasser von den neuen Ausbildungsstätten »ces institutions nouvelles où l’on professe tout ensemble« und schreibt auf derselben Seite: »Rendons ici hommage au Gouvernement qui a si bien jugé la différence qui existe entre les mathématiques et l’architecture, qu’il a conservé l’école spéciale de Paris, pour l’enseignement de cet art, et a recréé le pensionnat de Rome.« Charles-François Viel: De l’impuissance des mathématiques pour assurer la solidité des bâtimens Paris 1805 p 63 Viel betont (le p 31/32) das Irrationale im echten Studium der Architektur: »Les formes sont préexistantes à la construction et constituent essentiellement la théorie de l’art de bâtir.« Noch 1819 (De la chute … II p 120) denunziert er »l’esprit du siècle sur les beaux arts en général, et qui la classe au rang des arts industriels.« [r 2 a, 3]
Seit Napoleon I wurde ständig der Vorwurf gegen die Ecole polytechnique erhoben, sie gebe der praktischen Ausbildung eine zu umfängliche theoretische Unterlage. Sie führten 〈sic〉 1855 zu Reformvorschlägen, gegen die sich Arago mit der größten Bestimmtheit wandte. Gleichzeitig verwahrt er sich auch gegen die Behauptung, die Schule sei eine Pflanzstätte revolutionären Geistes: »On m’a parlé d’un reproche adressé à l’instruction polytechnique, et suivant lequel les études mathématiques, celles du calcul différentiel et du calcul intégral par exemple, auraient pour résultat de transformer ceux qui s’y livrent en socialistes de la plus mauvaise espèce … Comment le promoteur d’un tel reproche n’a-t-il pas vu qu’il ne tendrait à rien moins qu’à ranger les Huyghens, les Newton, les Leibniz, les Euler, les Lagrange, les Laplace parmi les socialistes démagogues les plus fougueux? On est vraiment honteux d’être amené à faire de tels rapprochements.« Arago: Sur l’ancienne Ecole polytechnique Paris 1853 p 42 [r 3, 1]
Im »Curé de Village« den Balzac 1837 bis 1845 schrieb〈,〉 finden sich (im Briefe des Grégoire Gérard an seinen Gönner den Bankier Grossetête) sehr heftige Anklagen gegen die Ecole Polytechnique. Balzac befürchtet von dem forcierten Studium der exakten Wissenschaften verwüstende Einflüsse auf die geistige Konstitution und die Lebensdauer der Zöglinge. Noch kennzeichnender sind die folgenden Reflexionen: »Je ne crois pas qu’un ingénieur sorti de l’Ecole puisse jamais bâtir un de ces miracles d’architecture que savait élever Léonard de Vinci, à la fois mécanicien, architecte, peintre, un des inventeurs de l’hydraulique, un infatigable constructeur de canaux. Façonnés, dès le jeune âge, à la simplicité absolue des théorèmes, les sujets sortis de l’Ecole perdent le sens de l’élégance et de l’ornement; une colonne leur semble inutile, ils reviennent au point où l’art commence, en s’en tenant à l’utile.« H de Balzac: Le curé de village éd Siècle Paris p 184 [r 3, 2]
Die Rede Aragos in der Sache der fortifications richtet sich gegen den Rapport von Thiers und gegen Lamartine. Die Rede ist vom 29ten Januar 1841. Eines ihrer wichtigsten Stücke ist überschrieben: »Les forts détachés examinés par leur côté politique. Est-il vrai que les gouvernements n’aient jamais regardé les citadelles comme des moyens de maîtriser, d’opprimer les populations?« Daraus: »M. Thiers n’admet pas que pour faire rentrer les populations dans l’obéissance, aucun gouvernement se portât jamais à bombarder les villes … Cette illusion fait assurément honneur à son humanité, à son goût pour les beaux-arts; mais … peu de personnes la partageront … Aussi … on a pu signer les protestations de 1833 contre les forts détachés, contre les bastilles, sans encourir les épithètes de béotiens, d’insensés et autres aménités analogues.« Arago: Sur les fortifications de Paris Paris 1841 p 87, 92-94 [r 3, 3]
Arago kämpft für die enceinte continue gegen die forts détachés: »Le but qu’il faut se proposer en fortifiant Paris, est évidemment de donner à cette immense ville les moyens de se défendre à l’aide de sa seule garde nationale, de ses ouvriers, de la population des environs et de quelques détachements de troupes de ligne … Ceci convenu, les meilleurs remparts pour Paris seront ceux que la population trouvera les meilleurs; les remparts qui se coordonneront le plus intimement avec les goûts, les habitudes, les idées, les besoins de la bourgeoisie armée. Poser ainsi la question, c’est repousser entièrement le système des forts détachés. Derrière une enceinte continue, le garde national aura à toute heure des nouvelles de ses proches. En cas de blessure leurs soins ne lui manqueront pas. Dans une semblable position, les timides eux-mêmes vaudraient des soldats aguerris. On se ferait, au contraire, étrangement illusion en imaginant que des citoyens assujétis aux obligations journalières de chefs de famille, de chefs de commerce, iraient sans de vives répugnances s’enfermer entre les quatre murailles des forts; qu’ils se prêteraient à une séquestration complète, tout juste au moment où la difficulté des circonstances exigerait plus impérieusement leur présence au foyer domestique, au comptoir, au magasin, ou à l’atelier. J’entends déjà la réponse à ces graves difficultés: les forts seront occupés par la troupe de ligne! On reconnaît donc que dans le système des forts la population ne pourrait pas se défendre seule. C’est … un immense, un terrible aveu.« Arago: Sur les fortifications de Paris Paris 1841 p 80/81 [r 3 a, 1]
Marx über die Juni-Insurrektion: »Damit die letzte Illusion des Volkes verschwinde, damit gänzlich mit der Vergangenheit gebrochen werde, mußte auch die gewohnte poetische Zutat der französischen Emeute, die enthusiastische Bourgeoisjugend, die Zöglinge der école polytechnique, die dreikrempigen Hüte auf der Seite der Unterdrücker stehen.« Karl Marx: Dem Andenken der Juni-Kämpfer [Karl Marx als Denker, Mensch und Revolutionär hg von D Rjazanov Wien Berlin 〈1928〉 p 36〈]〉 [r 3 a, 2]
Noch 1871 kommt Blanqui in seiner Verteidigungsstrategie von Paris auf die Nutzlosigkeit der Forts zurück, die Louis-Philippe gegen Paris errichtet hat. [r 3 a, 3]
Die nachrevolutionären Tendenzen der Architektur, die bei Ledoux zur Geltung kommen, sind durch abgelöste blockartige Baukörper gekennzeichnet, denen sich Treppen, Postamente oft »baukastenartig« anfügen. Man könnte in diesem Stil einen Reflex der napoleonischen Kriegskunst erblicken. Damit hängt das Bestreben zusammen, durch Massen bestimmte Wirkungen zu erzeugen. Nach Kaufmann »wollte die revolutionäre Baukunst Eindruck erwecken durch die gewaltigen Massen, die Wucht der Formen – daher die Vorliebe für das Ägyptische, die nicht erst der Napoleonische Feldzug hervorrief – und endlich durch die Behandlung des Materials. Die zyklopische Bossierung der Salinengebäude, die machtvolle Fügung des Justizpalastes von Aix, der tiefe Ernst des für diese Stadt bestimmten Gefängnisses … geben von diesem Wollen Kunde.« Emil Kaufmann: Von Ledoux bis Le Corbusier Wien Leipzig 1933 p 29 [r 4, 1]
Ledoux’ geplanter Zollgürtel von Paris: »Von Anbeginn steckte er sein Ziel möglichst hoch. Seine Barrieren sollten den Ruhm der Residenzstadt weithin verkünden. Von den mehr als 40 Wachthäusern glich nicht eines dem anderen, und in seinem Nachlaß fand sich noch eine Anzahl unausgeführter Pläne zu weiteren.« Emil Kaufmann: Von Ledoux bis Le Corbusier Ursprung und Entwicklung der autonomen Architektur Wien Leipzig 1933 p 27 [r 4, 2]
»Schon kurz nach 1800 war es so weit gekommen, daß die Ideen, die bei Ledoux und Boullée als elementare Ausbrüche leidenschaftlicher Naturen erscheinen, offiziell gelehrt wurden … Nur drei Jahrzehnte liegen zwischen dem Alterswerk Blondels, das noch … die Lehrmeinung der französischen Klassik verkörpert und dem ›Precis des leçons d’architecture‹ von Durand, dessen Won in Empire und Nachempire maßgebenden Einfluß hatte. Es sind die drei Jahrzehnte, in die das Wirken Ledoux’ fällt. Durand, der von der Ecole royale polytechnique in Paris die Norm verkündete, … weicht in allen wesentlichen Punkten von Blondel ab. Sein Lehrbuch beginnt … mit heftigen Angriffen gegen zwei berühmte Werke der klassisch-barocken Kunst. Sankt Peter in Rom samt dem dazugehörigen Platz und das Pariser Pantheon werden als Gegenbeispiele vorgeführt … Während Blondel vor ›monotoner Planimetrie‹ warnt und die Prospektwirkung nie vergessen haben will, sieht Durand in den elementaren Planschemen die allein richtigen Lösungen.« Emil Kaufmann: Von Ledoux bis Le Corbusier Wien Leipzig 1933 p 50/51 [r 4, 3]
Die Institution des ponts et chaussées hatte das einzigartige Privileg gehabt, unangefochten durch die große Revolution zu kommen. [r 4 a, 1]
Die Schüler der école polytechnique bei Barthélémy:
»Gloire à vous, jeunes gens de plaisirs et de fêtes!
Quels bravos sont sortis de nos cœurs de poètes
Quand vous avez paru dans le poudreux chemin,
Sous les habits du luxe, un fusil à la main!«Barthélemy et Méry: L’insurrection Paris 1830 p 20 [r 4 a, 2]